Avis : La Tour infernale - Page 3

Un grand classique du film catastrophe, maîtrisé de bout en bout, servi par un casting irréprochable autant dans les rôles phares que dans les seconds.

Malgré quelques longueurs, ce film au casting très impressionnant reste une référence du genre (film catastrophe).

Je ne m'attendais pas du tout à ce que ce film de catastrophe soit si bien réussit, je trouve que ce film a bien vieilli pour un film des années 70. Le seul truc qui ne va pas, c'est le nouveau doublage, la voix de Steve Mcqueen ne va pas du tout. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.

Classique du film catastrophe la tour infernale m’a convaincu d’une chose, je ne suis pas un grand fan de ce genre de film. Malgré son casting XXL, le fait qu’il prenne le temps de poser ses personnages pour intéresser le spectateur à leur destin, ces personnages justement ne m’ont pas assez intéressé car un peu trop caricaturaux à mon goût justement pour qu’il y ait une plus grande chance d’identification. Il faut aussi reconnaître que le film est beaucoup trop long par rapport à la matière qu’il a à développer et beaucoup de scènes passent pour du remplissage. Je ne peux pas dire que cela m’a franchement déplu mais cela m’a laissé indifférent.

Au départ c'est pas mal. Mais franchement, le film dure 1h voire 1h30 de trop. Quel infernal ennui sur la fin !

Ah les films a grand spectacle des années 70, c'était quand même quelque chose, mais malheureusement aucun d'entre eux n'échappe aux coups de vieux et donc "La Tour Infernale" n'y échappe pas non plus. Le casting tout d'abord: McQueen, Newman, Dunaway, Holden et Astaire, ça fait rêver de voir tous ces grands noms réunis dans le même film. Nous sommes en 1974, le film dit "catastrophe" en est à ses balbutiements, l'année précédente en 1973, sortait "L'aventure du Poseidon" qui a obtenu un franc succès mais c'est bel et bien "La Tour Infernale" qui va devenir la référence du film catastrophe. Là où le film est réussi c'est sur l'intensité, en effet on suit de manière progressive l'embrasement de cette tour titanesque et les scènes "a grand spectacle" sont plus intenses les unes que les autres. Un film incontournable mais qui n'a pas échappé au coup de vieux.

Un film très largement surnoté, qui a mal passé l'épreuve du temps. Steve Mc Queen assure bien son rôle de héros intègre, et les effets spéciaux sont spectaculaires pour l'époque. Mais 2h45 sur un immeuble qui brûle, ça finit par emmerder, on s'en serait douté...

de très bon comédien, une histoire bien prenante, avec tout les ingrédient réunis. des effets spéciaux qui ne choque pas au vu de notre époque, et qui devais être très bon à ce moment la. Malgré tout des longueur et la durée du film n'aide vraiment pas

Une réalisation peaufinée avec de gros moyens qui fait facilement tenir le spectateur aidée par 2 immenses acteurs. Un bon film de genre toujours actuel.

Des stars, des flammes et de l'action ! On peut résumer un peu simplement cette superproduction qui en donne vraiment pour son argent. Pour la première fois, 2 grandes major (Warner et Fox) s'associaient intelligemment pour produire ce film a très gros budget en 1974 (14 millions de $) car chacune possédait les droits des 2 ouvrages qui l'ont inspiré. L'énorme succès contribua à la vogue de ces films-catastrophe (qui fut assez éphémère), et de tous, il est sans aucun doute le plus réussi. Genre mis à la mode avec Airport en 1970 (à la trame peu spectaculaire), il décollera véritablement avec 747 en péril, suivi de L'Aventure du Poséïdon et de Tremblement de terre ; historiquement, la Tour infernale est donc le 4ème film du genre. La recette de ces films est pratiquement toujours la même : le spectaculaire y est exploité à fond, les personnages principaux et certains personnages secondaires sont incarnés par de grandes stars, le suspense est travaillé, les scènes d'action ou de destruction sont techniquement soignées ; la panique n'est pas oubliée, de même que la dose de sentimentalisme pimente chaque morceau de bravoure, que ce soit actions d'éclat, punition des gens sans morale ou exaltation de l'héroïsme. Ce film contient tout ça savamment agencé, avec aussi un démarrage toujours assez long, le temps de présenter les personnages pour lesquels on va vibrer, mais ici j'ai trouvé que cette phase parfois pénible est assez rapide. Indiscutablement, la Tour infernale est le mieux fait dans le genre, et aussi l'un des plus terrifiants pour son déluge de feu et la sensibilisation sur les risques de construction de ces modernes tours de Babel. S'il n'échappe pas aux codes que je décris plus haut, le film produit du grand spectacle à suspense et gratifie le spectateur en quête d'émotions fortes de performances d'acteurs prestigieux, à l'image de Paul Newman prêt à tirer les victimes d'escaliers de secours démolis, ou de Steve McQueen en brave soldat du feu. Même William Holden dans un rôle plus ingrat, tire son épingle du jeu. Chacun des acteurs dans son rôle va révéler des caractères, le courage, la lâcheté, l'abnégation ou la jalousie... le souci permanent du grand spectacle n'empiète pas sur la psychologie et l'observation aiguë de la réalité humaine, c'est ça qui renforce la trame dramatique qui est déjà suffisamment efficace, j'ai pu le constater en revoyant après bien des années ce film qui a pourtant plus de 40 ans, mais ça fonctionne encore. Voici donc du grand cinéma palpitant et qui secoue bien les nerfs grâce à de prodigieux trucages et de beaux acteurs. Seul bémol : comme pour le DVD des Dents de la mer, le doublage français d'origine qui était bon, a été refait avec des voix impersonnelles, mieux vaut préférer la VO...

Fleuron du genre, et ça se comprend: il y a des héros courageux, valeureux, un ignoble méchant, des rebondissements à n'en plus finir, des morts déchirantes, des retrouvailles inespérées, une petite morale à la fin... C'est à dire que "La tour infernale" est fait de tous ces petits détails qui font que le film peut marcher, mais en plus il ne s'arrête pas là: la psychologie des personnages est souvent bien retranscrite, l'impression de huis-clos qui devient de plus en plus mortel à chaque minute crée du suspense, certaines scènes mettent les nerfs en belote, et ce divertissement est en conséquence très efficace. Bien sûr, c'est très manichéen, d'autant que ça tire parfois très (trop) fort sur le tragique et le pathos. Et il y a certainement trop de personnages. Mais l'ensemble est honnête, peut-être sans génie, mais de bonne facture tout de même.

Un des meilleurs films catastrophes qu'il existe avec 2 acteurs principaux au top de leurs forme. On ne s'ennuis pas une minute et le film n'a pas vieillit

"The towering inferno" , un des premiers films catastrophes réalisé sur le sol américain par John Guillermin et Irwin Allen, ne m'a semblé ni plus ni moins qu'un blockbuster qui pétarade à grande échelle. Un divertissement pour le grand public qui les séduira par son happy-end. Malgré une distribution efficace( à contrario d'un Mc Queen généralement absent), quelques scènes explosives , un scénario tiré du bouquin de "l'Aventure du Poséidon", ce long métrage enflammé n'évite malheureusement pas certains clichés et beaucoup d'autres platitudes comme les pompiers qui n'ont pas de masques pour sauver les invités par exemple, ou les scènes faciles entre mille à deviner ce à quoi il va en retourner. Ce "film-dédicace" sur le métier de pompier m'a semblé peu efficace et rares sont les scènes qui démontrent aussi magistralement le dur métier de soldat du feu.

Un film catastrophe et spectaculaire qui s’inscrit dans les grands films hollywoodiens de l’époque.

Un scénario rare, intelligent s'attaquant à la cupidité de l'Homme et beaucoup de rebondissements.