Avis : Le Secret de la planète des singes - Page 6

Un gros raté comparé au Premier volet,il y a de la redite et des passages qui sont bizarre dans le mauvais sens du terme. Le seul bon point est l'idée de la métaphore entre Dieu et la bombe atomique. Mais bon sa reste plaisant à suivre.

Un second film après le succès du premier en 1968 avec Charlton Heston. Une idée assez légitime car la fin mélodramatique du premier pouvait laisser un peu sur sa faim, voyant la statue de la liberté enfoncé dans le sable sur une plage. C'est une sorte de course poursuite sur fond d'une recherche, l'ensemble finalement se complique et différents thèmes plus ou moins bienvenu sont déclinés pour arriver finalement avec un combat final assez sanglant. Il n'y a pas l'originalité du premier mais une complexification du monde des singes qui n'aboutit que sur peu de choses.

Après la sortie du chef - d’œuvre de Franklin J. Schaffner , quatre suites ont vus le jour pour continué l'aventure et dévoilé les mystères qui entoure la Planète des Singes. Ce deuxième épisode est considérer pour certains comme étant la meilleur des quatre suites. C'est pas faux dans le fond. Cette suite s'en sort plutôt bien même si , elle n'égale le film original . Les décors sont toujours impressionnants et les acteurs sont toujours aussi bon. Un deuxième film appréciable.

Avec le succès de La Planète des singes, il était tout naturel de voir apparaitre une suite, cette fois-ci réalisée par le brillant Ted Post, qui avait déjà réalisé une suite et non des moindres : Magnum Force, le meilleur opus de la saga des Dirty Harry. Légèrement poussif, le scénario n'en est pas moins exaltant et bien rythmé : l'idée de faire revenir de nouveaux astronautes à l'endroit-même où les anciens se sont posés est certes un peu exagéré mais le film bat son plein dans un festival d'action, de courses-poursuites et de réponses enfin données au spectateur, laissé encore bouche-bée face au final du précédent film. Au niveau de l'interprétation, le casting reste le même malgré le remplacement de Roddy MacDowall par David Watson dans le rôle de Cornelius ; une modification invisible grâce aux maquillages simiesques de John Chambers. Ces derniers sont d'ailleurs légèrement moins soignés sur certains plans, faute de budget amoindri. Remplaçant Charlton Eston au pied levé, James Franciscus joue quant à lui un nouvel héros des plus convaincants. Par ailleurs, le duel final entre les deux protagonistes est véritablement un grand moment de cinéma à voir absolument. Le scénario s'éloigne du roman original pour servir une nouvelle histoire en totale continuité avec son prédécesseur mais toujours dans la même optique et la même idée de destruction nucléaire provoquée par la folie de l'Homme. En somme, s'il n'est pas aussi intense ni original que le premier film, culte, Le Secret de la Planète des singes reste néanmoins une excellente suite et un spectacle de science-fiction qui n'a rien à envier à La machine à explorer le temps ou les films du genre des années 70.

Bien au dessous du premier opus, le film de Ted Post nous livre quelques moments savoureux de reflexion sur le devenir de l'homme. Les singes sont toujours aussi charismatiques et les gorilles militaristes amènent un parallèle avec les mouvements anti guerre du Vietnam aux Etats Unis.
Dommage que quelques effets kitchs viennent gâcher la plastique du film.

Le secret de la planète des singes: un scénario un peu spéciale comparé au premier, il reste cela dit très bon avec des effets spéciaux toujours aussi épatant pour l’époque !

Emportée par mon élan après avoir visionné la planète des singes, je décide de commencer la rétrospective de cette saga. Je replonge dans l'univers et je suis satisfait, même si l'arrivée d'une nouvelle fusée avec un survivant "Brent" qui cherche bizarrement Taylor mais pas les deux autres. On retrouve les personnages que l'on a apprécier dans le premier film, mais également un nouveau général que l'on apprécie beaucoup moins et qui offre un nouveau virage à la civilisation des primates. Une évolution que l'on peut qu'aisément imaginer car elle est propre à toute civilisation. J'ai adoré quand Brent découvre qu'il est en faite sur la planète Terre, s'il la découverte de la statue de la liberté par Taylor était symbolique, ici c'est plus impressionnant, on se demande simplement comment tout à pu être conserver après tant d'année. Non ce qui m'a déçue et pas trop emballée c'est la découverte de cette nouvelle population d'humains (déjà comment peut-on avoir des humains "animaux" et des humains "sur développé". Cela m'a paru trop gros et ne m'a pas spécialement intéressé. Je dirais même que j'ai décroché jusqu'à la scène finale. J'ai vraiment eu plaisir de retrouver Charlton Heston, je l'adore et je suis déjà déçue de savoir que je ne le retrouverai pas. James Franciscus m'a perturbé un bon moment par sa ressemblance avec Charlton Heston.. Le casting est égale à ce qu'il était, et c'est un plaisir. Le seul bémol, c'est vraiment "le secret" de la planète des singes, que je ne trouve pas en adéquation avec le reste, ou qui ne m'a tout bonnement pas emballé. Une découverte sympathique mais que j'ai beaucoup moins aimé que le premier, à voir pour les suites.

LE SECRET DE LA PLANETE DES SINGES (1970): Cette histoire enchainera directement sur la fin du premier volet, LA PLANETE DES SINGES (1968). On était resté abasourdi par cette incroyable découverte de Taylor (Charlton Heston), un des secrets inimaginable de cette planète. Effondré, il poursuivra sa route à l'intérieur de la Zone Interdite avec sa compagne Nova, entretenant l'espoir de fonder sa propre famille, loin de ce cauchemar. Devant eux, des kilomètres de désolations, un panorama de fin du monde, une atmosphère hostile et dangereuse. Cette réalisation restera dans l'ADN du premier opus. Un scénario inquiétant avec de nouvelles rencontres toujours aussi étranges, dans des intérieurs ténébreux, sombres et apocalyptiques, de véritables chocs visuels. Un script angoissant qui poussera ses protagonistes dans une détresse permanente. Une société de singes surprenante ,avec ses rituelles, sa politique, son armement (de très bonnes idées). L'acteur Charlton Heston étant opposé à cette suite, laissera plus de place à ce nouvel astronaute Brent (James Franciscus), venu le récupérer pour un retour sur Terre (une parenthèse scénaristique peu crédible). On avancera dans cette nouvelle aventure de surprise en surprise, pour aboutir à une fin beaucoup trop abrupte, sans aucune lueur d'espoir pour une autre suite. Une fin directement issue de la volonté du directeur Richard D.Zanuck, qui voyant son père Darryl l'évincer et reprendre sa place de 20th Century Fox, aurait œuvré pour couper court à toute tentative de mettre un troisième épisode sur les rails. Bref! malgré cette mauvaise entente et quelques petits défauts, ce film ne sera pas dépourvu d'intrigues et restera assez passionnant. Un bon film fantastique.

Une suite peu intéressante qui presente quelques idées certes, mais bon c'est loin d'etre convaincant. Les acteurs ne sont pas non plus au top de leurs performances, le film prend trop de longueurs et le scénario est plutôt incompréhensible sur certains points. En bref une suite obsolète qui est bien loin de l'original.

Faire une suite à la Planète des Singes était une idée potentiellement intéressante. Hélas, les scénaristes de cette suite se sont royalement plantés. Cette suite n'arrive pas à la cheville du grand classique, virant au nanar complet, plongeant dans le n'importe quoi et au ridicule (notamment avec cette secte de télépathes vénérant la bombe atomique), avec un scénario bâclé, loin de la profondeur et de l'intelligence de celui du premier film. Les acteurs sont mal dirigés et le final est déprimant, décevant et raté. Les seuls bons points du film demeurent ses maquillages, ses costumes et ses décors plutôt bien conçus.

Une digne suite du 1er , une fin étonnante ,à voir

Deux ans après l'excellent opus de Shaffner, Ted Post s'essaye à donner une suite, qui n'aura évidemment pas le même écho de son prédécesseur, devenu depuis un classique du cinéma SF. Cela dit, je trouve que ce second volet est sous-estimé car de nombreuses bonnes idées émaillent l'ensemble du long-métrage. Qui plus est, James Franciscus et Linda Harrison sont au niveau. On regrettera les pseudo-apparitions de Charleton Heston, un des points faibles de ce film de 1970. En bref, une séquelle intéressante mais pas aussi brillante que son aîné.

Une suite plutôt réussie, naturellement inférieur au chef d'oeuvre initial, mais tout de même d'une certaine force. Un film assez intelligent, qui aborde le mystere de la planète des singe d'un point de vue assez différent, c'est un peu tiré par les cheveux, mais ca se regarde avec beaucoup d'aisance, et la mise en scene et tres bonne.

Et bein... Ils auraient dû s'en tenir au premier film... Même si ça reste relativement sympa. Mais on a tellement sombré dans le grotesque cheap et pathétique, l'incohérent inadmissible, et les facilités totalement flemmardes. Le tout avec un scénario improbable, qui semble un peu trop perdu, et constamment naviguer à vu jusqu'au générique de fin... Et quelle fin... L’idée n'est pas mauvaise en soit. Mais la mise en œuvre est un peu... Abrupte et expéditive...
Quant à la mise la mise en scène globale... Pfff... C'est pas que ça soit exécrablement mauvais. Mais on a perdu tellement de classe cinématographique par rapport au premier, que ça en est presque assez triste pour pleurer... Même la bande-son semble avoir perdu de sa superbe... Ce saccage de l’œuvre originale... Quel dommage...

Un des moins bons épisodes de la saga, avec un James Franciscus qui est loin d'avoir le charisme du grand Charlton, (ici, dans un petit rôle), la première moitié du film est un fac-similé du premier film, la seconde est grotesque avec ces humains irradiés et télépathes. Le contexte guerrier qui plane sur le film a sans doute été influencé par le contexte géo-politique de l'époque, (guerre du Vietnam), mais le résultat nous livre un film très moyen, sans devenir ennuyeux pour autant, et puis, il fait partie de la saga, il faut le voir au moins une fois, ne serait-ce que pour la fin, apocalyptique.