Mon compte
    L'Homme des hautes plaines
    Note moyenne
    3,9
    5835 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Homme des hautes plaines ?

    217 critiques spectateurs

    5
    40 critiques
    4
    102 critiques
    3
    34 critiques
    2
    26 critiques
    1
    12 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    teofoot29
    teofoot29

    68 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2010
    Pour son second film, Clint Eastwood réalise un très bon western violent et à l'humour noir dévastateur.
    Benjub
    Benjub

    40 abonnés 597 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2013
    Du très bon western avec un Clint Eastwood en sauveur tout simplement excellent. Le scénario est captivant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 mars 2010
    Quel western, Mr Eastwood ! Je vous montre mon grand respect pour ce film.
    Marian88
    Marian88

    2 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juin 2019
    Je n'ai pas compris les critiques élogieuses de ce pseudo western des années 70. Clint Eastwood en justicier solitaire hargneux laconique sans foi ni loi qui vient profiter de la naïveté de pauvres habitants d'un patelin perdu au milieu de nul part, c'est légèrement déroutant quand on a vu la trilogie de Sergio Leone.

    Les dialogues sont insipides au possible, la moralité proche du zéro absolu et le scénario au ras des pâquerettes, les scènes mal tournées et longuettes... rien ne vient sauver ce nanard du début à la fin, je ne lui ai trouvé que des défauts. C'est limite si l'on trouve les "méchants" moins pires que le héros incarné par Eastwood !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 mars 2011
    Avant que le mythe du héros solitaire ne soit exploité et usé jusqu'à la corde, un plutôt bon western avec Eastwood pas transcendant, plein d'incohérences mais divertissant. D'autre part il est à noter que la trame dramatique de l'histoire et ses rebondissements sera utilisée plus tard dans Pale Rider.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mars 2012
    a mince je vien de me rendre compte que j'avait pas encore mis de note et de critique a se film que j'avait deja vue donc je repart cette bourde

    deja un western de eastwood reste apres ceux de leonne les meillieur jamais realiser et celui la en fait parti donc bien sur tout et dans l'anbiance,bien noir mais avec des scene assez drole quand meme eastwood et en grande forme et il prand un role fait sur-mesure pour lui apres le scenar comme beaucoup de western et jamais celui qu'on crois et comme beaucoup de western sa finie en revenche mais celle la on s'y attendait pas vraiment meme si bon a la fin on sens doute un peux de qui est l'etranger et pour finir un petit deflaut la BO et pas vraiment genial bon pour un western je trouve que la musique et trop en retrais
    Stargate
    Stargate

    253 abonnés 2 869 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2020
    Une fois encore, voici un bon western de Clint, aussi bien dans l'intrigue que dans le jeu d'acteur.
    spoiler: J'ai lu des discussions dans les commentaires sous la page de présentation du film où certains se demandaient s'il s'agissait d'une vengeance familiale ou d'un mort qui était revenu pour se venger. Difficile de savoir quelle est la bonne réponse... A la fin, lorsque le nain lui dit "j'ai jamais su votre nom", Clint dit "c'est celui que tu graves, celui de mon frère". Comme j'ai lu que ce n'était pas la même chose pour la version originale, je me la suis procurée et, en effet, après que le nain dise "I never did know your name" (je n'ai jamais su votre nom), il lui répond "yes you do" ("si tu le sais"), c'est tout. A noter que, dans la VO, le film finit sur ces paroles : Clint dit "take care" (traduit en "bonne chance" dans les sous-titres, mais qui devrait plutôt l'être par "prends soin de toi", le "of you" étant sous-entendu) en faisant mine de soulever son chapeau de quelques centimètres pour lui dire au revoir, et le nain répond en se touchant couvre-chef à la manière d'un militaire "yes sir captain" comme il l'appelait durant tout le film, alors que dans la VF, Clint dit "prends-en soin" et le nain répond "oui mon capitaine". Donc la réponse qu'il donne dans la VF et le fait que l'homme qui est mort fouetté l'ait été au visage et que Clint ne soit pas balafré laisse penser qu'il est son frère. Mais la réponse dans la VO, qui peut faire douter, avec la musique du genre "fantôme" de début et de fin, laisse planer le doute sur le côté surnaturel. Cela dit, j'ai aussi lu dans les commentaires un spectateur qui écrivait "Clint Eastwood a declaré que le scénario d'origine indiquait clairement que le personnage de l'Etranger était bien le frère du shérif Jim Duncan. D'ailleurs, Clint a declaré avoir joué le rôle comme s'il était le frère. Cependant, il était séduit par le fait qu'on ne sache pas vraiment qui est ce personnage: s'agit-il du frère du shérif assassiné ? D'un ange de la mort ? Ou bien du fantôme du shérif assassiné ? Cette ambiguité lui a plu. C'est à chaque spectateur d'interpréter le film". Pour moi, si le réalisateur-acteur principal a dit ça, alors c'est son avis qui est à prendre en compte, pas les doutes de certains spectateurs...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 089 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2020
    Quand il entame le tournage de "L'homme des hautes plaines" en 1972, Clint Eastwood a déjà une réalisation à son actif avec "Un frisson dans la nuit" (1971), suspense assez conventionnel lui ayant permis de se roder au maniement de la caméra et à la direction d'acteurs. On ne peut être surpris qu'il en vienne rapidement au western, genre qui lui a permis d'accéder à la célébrité. Sur un scénario de Ernest Tidyman, oscarisé deux ans plus tôt pour "French Connection" (William Friedkin en 1971), très vaguement inspiré d'un fait divers sanglant (le meurtre de Kitty Genovese en 1964 à New York), il rend hommage à ses deux mentors que sont Sergio Leone et Don Siegel tout en trouvant immédiatement sa propre tonalité. Le cowboy qui pointe à l'horizon comme flottant sur le lit de vapeur d'eau provoquée par la chaleur du désert pourrait très bien être "l'Homme sans nom" des deux premiers "dollars" de Leone. Mais l'absence d'humour qui succède à la scène d'ouverture où toutes les tronches caricaturales du western sont passées en revue par l'Etranger impassible qui pénètre dans le village où il a décidé de faire une halte, indique que c'est aussi dans le cynisme et le désespoir de Sam Peckinpah qu'Eastwood puise son inspiration. Le village en question est un condensé de toute la vilénie humaine dont seul est à sauver Mordecal (Billy Curtis), le nain servant d'employé corvéable à merci et de souffre-douleur aux plus sadiques de ses habitants. Ironiquement, l'Etranger va le nommer tout à la fois shérif et maire. Le traitement qu'il réserve à chacun d'entre eux y compris aux femmes qu'il viole sans ménagement et sans aucune réaction de quiconque, ressemble fort à une vengeance en bonne et due forme qui va prendre peu à peu sa consistance à l'aide de flashbacks. Pour le portrait sans concession qu'il dresse de ces descendants des pionniers qui ont déjà presque achevé de massacrer puis de parquer les indiens, Clint Eastwood sera taxé de discours réactionnaire. La suite de sa filmographie montrera que la critique faisait fausse route. L'Etranger n'est en réalité rien d'autre que la spoiler: matérialisation imagée de la mauvaise conscience d'une communauté ayant selon ses membres commandité ou laissé faire le lynchage de son ancien shérif
    . La nature humaine dans sa dimension la moins noble nous est mise sous le nez sans ménagement par Clint Eastwood. C'est assurément dans ses westerns (quatre au total) qu'Eastwood se laisse aller à l'expression la plus débridée de sa vision pessimiste des Etats-Unis puisée dans le mythe de l'Ouest qu'il juge trop généreusement fantasmé. La fin du film dans sa version originale contrairement à la version française trop explicite laisse planer le doute sur l'identité de l'Etranger, offrant ainsi au moins deux lectures possibles. Magnifiquement photographié par Bruce Sturtees qui effectuera un long compagnonnage avec Eastwood, "L'homme des hautes plaines" donne une idée du talent précoce d'un nouveau réalisateur qui est aujourd'hui installé au firmament de sa profession.
    Audrey L
    Audrey L

    545 abonnés 2 392 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 février 2024
    On ne va pas se faire d'amis sur ce coup (on regardera derrière soi, pour ne pas prendre une balle dans le chapeau), mais force est de constater que L'Homme des hautes plaines nous a débecté avec son discours ultra-misogyne (qui justifie le viol, par tous les discours - écœurants - possibles), son personnage principal qu'on a envie de fracasser nous-même toutes les deux minutes (concrètement, on a un duel entre trois criminels et un fumier abject... Bref, on se fiche éperdument de qui gagnera), des idées qu'on pense sorties de nulle part (les maisons peintes en rouge ne servent à rien dans le duel final... alors pourquoi ? A part pour contribuer au côté "Bienvenue en Enfers", mais une fois de plus : même ce délire "Enfers" ne sert à rien dans le duel...On dirait plutôt que Eastwood avait un sponsoring de Ripolin). Et ne parlons pas des incohérences hallucinantes (le village entièrement peint en un jour, ce qui prend plutôt des mois...). Mais revenons sur ce qui nous a le plus dérangé, à savoir ces clichés sur le viol que l'on n'a pas compris : "elle m'a bousculée, donc c'est qu'elle voulait que je lui fasse l'amour", "oh, ça ne lui a pas déplu", "non, ça veut dire oui"... Ce qui se confirme puisque les deux seules rôles féminins du film se font violer comme des malpropres, et en redemandent ensuite (car il est impossible de résister au violeur, c'est bien connu... Oh le joli syndrome de Stockholm qui nous donne envie de dégobiller). En 1968, sortait Il était une fois dans l'Ouest, un magnifique western qui donnait un rôle extraordinaire au personnage de la veuve, qui devenait une vengeresse aussi forte et imposante que ses collègues masculins. Comment donc oser l'argument "il faut le remettre dans son époque, dans le genre macho du western", en 1973 ? On se défendra aussi envers l'argument "c'est pour montrer qu'il est méchant" en disant que la mise en scène est plus que tendancieuse, on nous fait presque passer cet Étranger pour un super-héros, filmé comme un si l'on devait en prendre plein les yeux à chaque regard en coin qu'il nous lance... Il faut bien différencier le méchant classe, celui qui impressionne, et le sale type immonde qu'on a juste envie de finir à coups de pelle. L’Étranger fait partie de la seconde catégorie. On n'a pas non plus admiré le duel final (torché en deux secondes), ni la musique (il y en avait une ? Déjà oubliée), ni le twist final qu'on a deviné dès la scène du premier rêve ( spoiler: c'est un esprit vengeur du Marshal, qui est venu en apparaissant dans le mirage des plaines arides, et disparaît de la même façon à la fin, en précisant à l'homme qui grave le nom de la pierre tombale "qu'il connaît déjà son nom"... Ce qui explique qu'il puisse rêver de la scène du fouet, alors que le personnage ne l'a pas vue directement
    ). On a seulement apprécié le rythme (on ne s'est pas ennuyé sur les 1h40) et la scène des pantins-cibles que les habitants manquent complètement avec leur pétoire (scène assez drôle). Au-delà, le contrat avec Ripolin nous a fait mourir de rire, et le discours nauséabond sur le viol est au mieux maladroit (il voulait dire l'inverse, la méchanceté du personnage... Mais dans ce cas, pourquoi faire en sorte que les femmes en redemandent ?), au pire complètement ignoble. On préfère les films où les femmes font de l'esprit, pas où l'esprit se fait des femmes.
    bsalvert
    bsalvert

    317 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juin 2011
    Un western tout ce qu'il y a de plus classique, avec Clint Eastwood.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 septembre 2009
    Un très bon western avec Eastwood aux commandes pour explorer des aspects de la société : lacheté ... Des décors parfois surnaturels, un personnage presque fantastique. Un film original à ne pas manquer.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 889 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2022
    L'homme des hautes plaines fait partie des classiques du western de Clint Eastwood (largement influencé par Sergio Leone). Avec cet anti-heros au regard de braise, impassible, brutal, macho, mais droit et cherchant la justice à sa façon. Le scénario simple et efficace nous permet de comprendre les motivations du personnage qui nous est parfaitement inconnu. Nos questions restent en suspend jusque dans les derniers instants du film. Assez court, on ne s'ennuie jamais jusqu'au final super réussi et marquant. Film que j'ai vu de nombreuses fois et qui est assurément un immanquable pour tout amateur de western.
    Buzz063
    Buzz063

    63 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2010
    Deuxième film d'Eastwood comme metteur en scène et premier western, genre auquel il est alors fortement associé en tant qu'acteur. On retrouve évidemment de nombreuses traces de l'influence des deux réalisateurs qui ont fait de lui une star, Don Siegel à qui il emprunte un traitement cru et réaliste de la violence; et bien sûr Sergio Leone dont on retrouve içi le personnage caractéristique du mystérieux inconnu sans nom (et à la morale flexible) ainsi que certains codes de mise en scène telle une façon caractéristique d'étirer les scènes et les silences ou encore l'attention portée aux bruitages. Loin de la figure classique des groupes de colons courageux et solidaires que l'on retrouve dans tant de films du genre, Eastwood décrit une communauté rongée par la culpabilité d'avoir laissé lyncher un marshall par appât du gain ou par lâcheté. L'arrivée du personnage qu'il incarne et son comportement vont faire voler en éclat les apparences hypocrites qui maitiennent la cohésion sociale de cette petite ville. Le réalisateur se démarque néanmoins de ses mentors en greffant à son western un sous-texte fantastique à travers le personnage de l'homme sans nom. Apparaissant au début du film à l'horizon, il semble littéralement surgire d'un néant dans lequel il retourne à la fin, tout de noir vêtu, omniscient et infaillible, donnant l'impression de pouvoir apparaitre et disparaitre à l'envie et de pouvoir se dédoubler, le personnage prend peu à peu les atours d'un ange vengeur. D'autres éléments, comme la musique, la ville repeinte entièrement en rouge et rebatisée Hell ou le réglement de compte final au milieu des flammes renforçent cette impression. ATTENTION, film à voir impérativement en VO tant la VF est hallucinante d'incompétence et d'irrespect pour l'oeuvre. Ainsi, la VF de la séquence finale fait clairement dire à Eastwood qu'il est le frère du marshall alors que la VO fait comprendre par sous-entendu qu'il est le marshall. En voulant à tout prix rationaliser un récit conçu et pensé avec une dimension fantastique, cette VF est en contradiction totale avec le sens profond du film, la mise en scène d'Eastwood et le jeu des acteurs. Une hérésie complète!!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Intéressant, même si avant tout déroutant. Un scénario minimaliste dans lequel la tension monte peu à peu pour arriver au paroxysme que représente la "bataille" finale, si l'on peut qualifier cela de "fin"... puisque au final, le spectateur reste sur ses interrogations et ses doutes. Je mettrais plus volontiers deux étoiles et demie donc.
    Caine78
    Caine78

    5 994 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    L'un des classiques de Clint Eastwood. Ce film crépusculaire, apre et violent, est un grand western, ou la culpabilité et l'ambiguité sont les maitres mots. A travers un personnages inquiétant et frois, Eastwood fait monter une tension sans pareille à travers un mystère qui ne cesse de s'épaissir jusqu'à la révélation finale, impressionnante de maitrise. Quelques scènes sont restées cultes. Formidable.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top