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alouet29
78 abonnés
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1,5
Publiée le 21 avril 2017
Bourvil est ici, dans le coeur de son personnage fétiche un peu benêt par son comportement, sa diction, ses réparties; personnage dont il va user et abuser tout au long de sa carrière. Tout cela est frais selon certains, ou désuet selon d'autres. Par contre, le duo avec Brigitte Bardot est assez percutant.
Pas grand chose à sauver de cette comédie grotesque dans laquelle Bourvil est certes amusant mais franchement ridicule. Le sommet de la débilité est atteint avec cette chanson insupportable au milieu du film. Vraiment pas terrible. Gentillet tout au plus.
Une comédie légère et sympathique qui fleure bon la France du terroir des années 50, portée par un Bourvil attachant en doux idiot du village, et une Brigitte Bardot déjà charismatique. 2,75
Pour dire la vérité, je m'attendais à un nanar comme on en voit souvent dans le cinéma Français et je dois avouer que c'est un film drole qui m'a donné le sourire et c'est bien construit !! Réalisé en 1952 par Jean Boyer qui est aussi scénariste, j'ai été enchanté par cette histoire de l'auberge "Le trou Normand" dont l'héritage revient à Hippolyte, le simplet de la famille, à condition qu'il obtient son certificat d'études et retourner étudier à l'école pour l'avoir, chose pas facile pour lui. L'annonce sera médiatique et les petits complots familiaux fusent. Long métrage qui garde son charme avec le temps en couleur, "Le trou Normand" possède un bon scénario qui nous fait rire, des comédiens dans le bon tempo pour nous amuser, Bourvil en tète plus des tètes connues dans les seconds roles comme Brigitte Bardot, Noel Rocquevert , Roger Pierre ou Jacques Deray. On passe un moment agréable de détente et de nostalgie de cette époque là.
Chef-d'œuvre absolu de la comédie classique française, qui m'a surpris moi-même... Bourvil est superbement accompagné par d'excellents acteurs, Noël Rocquevert, Brigitte Bardot, Roger Pierre... Un rebondissement à chaque minute, des moments très émouvants, une ambiance normande attachante...
un film sans prétention, d'une autre époque, qui se regarde avec grand plaisir avec un Bourvil excellent dans un rôle de grand naïf généreux et une Bardot qui inaugurait sa carrière de pimbèche
Une petite comédie des années 50, qui vaut bien sûr par la très bonne interprétation de Bourvil , mais surtout aujourd'hui par la nostalgie de voir ces vieux villages , cette athmosphère si éloignée, cette campagne normande avec toutes ses traditions.Tout étant tourné en décor naturel on se régale. On est face à un vrai "documentaire". Le scénario est lui assez basique, mais on s'amuse. De bons second rôles où on retrouve des stars de ces années là , et bien sûr la première apparition de Birgitte Bardot . Un bon moment de nostalgie .
une comédie pas si drôle que cela malgré la présence de bourvil ainsi que le thème aborder puis son personnage celui d'un simplet qui doit retourner à l'école pour onte'it sont certificats d'étude la même année ainsi il sera propriétaire du trou normand cafe anciennement tenu par sont oncle maintenant décédé. on pense que l'on va rire beaucoup mais ce n'est pas le cas on rit pratiquement mais le film a le mérite d'être court , même si il se perd par moment . Les second rôle moyen pour la plupart mais qui marque mes début de Brigitte Bardot alors âgés de 18ans . On passe un moment bon mais pas plus c est bien dommage .
Un film avec BOURVIL dans un rôle de bênet comme il en a tant fait. Ce n'est pas son meilleur film loin de là. Un film qui a quand même bien veilli, on se retrouve dans la Normandie des années 50 avec son art de vivre, les mentalités de l'époque, à nostalgie quand tu nous tiens. On y voit également les premiers pas cinématographique de Brigitte Bardot qui va devenir ensuite BB. se laisse regarder pour Bourvil
Le film de Jean Boyer est typique d'un certain genre de comédie populaire de son époque construit autour de la personnalité comique de Bourvil. "Le trou normand" provient d'un sujet saugrenu et irréaliste dont l'expression comique proche de la puérilité est le prolongement. Hippolyte héritera l'auberge de feu son oncle, le Trou normand, à la condition de réussir enfin son cerificat d'étude. Et Hippolyte, trentenaire simple d'esprit, de reprendre le chemin de l'école communale et de prendre place parmi ses petits camarades. Bourvil joue les grands dadais, débite les grossières âneries que des dialoguistes sans scrupule ont écrites pour lui et sombre dans la caricature de l'idiot du village qu'il trop souvent incarné. Ce registre a fait son succès mais à l'y revoir aujourd'hui, on se dit que Bourvil s'est quand même bien fourvoyé dans le nanar imbécile... A ses côtés, cousine à laquelle Hippolyte n'est pas insensible et jeune fille ambitieuse, on découvre une jolie Brigitte Bardot, pas encore la blonde pin-up des vadimeries à venir, tandis que les vénérables Larquey et Roquevert tiennent des rôles anecdotiques.
Le Trou normand réalisé par Jean Boyer en 1952. *Les points que j'ai appréciés → • Le jeu de Bourvil et Bardot • L'histoire sympathique • L'esthétique visuelle (l'ancien a du bon
*Les points que je n'ai pas appréciés → • Le fait que le film reste au stade de bonne comédie
*Conclusion → J'ai aimé, c'est simple mais très sympathique. 8/10.
Une amusante petite comédie qui permet à Bourvil de développer son jeu comique afin de titiller les zygomatiques, ce qu'il parvient à faire très souvent. Quelques scènes sont très cocasses notamment les scènes de Bourvil à l'école et on peut regretter qu'il n'y en est pas un peu plus et que le sujet ne soit pas plus poussée de ce côté là. L'ensemble reste plaisant et agréable à suivre et n'est pas dénué de surprises ( à l'image de la réplique finale.) Simple, léger, drôle et sans prétention.
Ce film simpliste me rappelle mes premières années d'école en blouse et culotte courte. Bourvil sera longtemps cantonné dans des rôles de benêt avant que son talent n'éclate dans les années 60 et jusqu'à son décès en 1970. Petit film comique à l'aspect quelque peu théâtral, l'action se passe dans un petit village comme il en reste quelques uns dans nos campagnes avec le charme cancanier de leur habitants. Jean Boyer dresse un portrait sans ménagement de la cupidité des familles lorsqu'il s'agit d'héritage entre légataires indirectes (tantes, cousins, neveux). On se crêpe le chignon et toutes les manigances sont bonnes pour s'approprier le magot, en l'occurrence une auberge. Le réalisateur manie la satire avec un aspect comique bon enfant. Ce n'est pas peut-être pas un grand film, mais il permet de passer un bon moment et se rappeler cette époque où il faisait encore bon vivre dans nos villages de France.
Bon, ce film n'est certe pas un chef d'œuvre, mais nous fait passer un joli moment de nostalgie, de gaietés et de rigolade. Toujours sympas a regarder.
Pauvres Normands ! ne va-t-on pas les prendre pour des attardés pochetrons consanguins après cela ? Bourvil y campe un spécimen de tout premier choix comme dans la majorité de ses films d'ailleurs... à la différence qu'il sut donner le meilleur de lui-même en compagnie d'autres poids lourds de la comédie plus tard comme Jean Gabin ou notamment un certain Louis de Funès avec lequel une alchimie indéfinissable prenait corps.
Ici, on se contentera d'une comédie bien lourde aux grosses ficelles qui peinent à faire sourire. Certes, un certain petit canard, un ravissant caneton égaie l'atmosphère : la BB presque aussi demeurée que l'idiot du village, bête à bouffer du foin mais à l'insu de son ignorance en ce qui la concerne. Ravissant caneton certainement et déjà tête à claques assurément. Bien sûr, Le trou normand se veut bon enfant ; il n'en reste pas moins un pittoresque... et affligeant navet.