Avis : Le Seigneur des anneaux : le retour du roi - Page 4

Pour achever son ambitieuse odyssée cinématographique, Peter Jackson met les bouchées doubles en multipliant les pistes narratives, et donc à travers elles les nouvelles découvertes de cet univers merveilleux, tout en leur donnant une cohésion ficelée à la perfection. Alors que le tant attendu dénouement approche ainsi à petits pas, l’intensité ne fait qu’accroitre, aussi bien sur le plan dramatique que dans son suspense. Cette conclusion est à la hauteur des deux premiers volets de la trilogie, épique, lyrique, et artistiquement irréprochable, d’autant que nous sommes maintenant entièrement attachés à chacun de ses héros qui, eux-mêmes sont à présent liés par des liens émotionnels très forts. Plus qu’un blockbuster cherchant à se montrer à tout prix spectaculaire, l’apothéose de cette formidable aventure fantastique est indubitablement l’aboutissement parfaitement réussi de l’un des paris les plus ambitieux de l’histoire du 7ème art.

L'apothéose finale de la saga. Trois heures d'émotions pures et de scènes spectaculaires. Peter Jackson met le point final à la nouvelle référence de l'heroïc-fantasy qui aura bien du mal à être détrônée.

Peter Jackson atteint la perfection absolue avec ce troisième volet de la trilogie Le Seigneur des Anneaux. Il insuffle l’intensité nécessaire à cette quête pharaonique en clôturant avec un talent inégalable un chapitre dantesque du cinéma fantastique. Sur une durée de 4h en version longue, le spectacle est d’une beauté sans nom, captivant et saisissant jusqu’à la dernière seconde. On tourne ensemble les pages du livre de Tolkien, plongeant tête la première dans cet univers sombre et fantaisiste. Une succession de décors grandioses défilent au rythme des batailles. Celle pour la Terre du Milieu est sans aucun doute une apothéose de mise en scène, une leçon pure et dure en matière de clarté et de richesse. Les forces démoniaques de Soron s’avancent vers la citadelle de Minas Tirith, dernier bastion actif et résistant de la communauté humaine. L’avenir du Gondor est menacé. Dans cette pleine désertique s’affrontent de valeureux cavaliers, des Nazguls, des trolls, des Oliphants titanesques, sans parler de l’armée des morts de l’ancien temps, venus expiés leurs fautes sur le champ d’honneur. La quête de Sam et Frodon, les deux hobbits de la Comté, suit son court, plus éprouvant que jamais. Les forces et la confiance s’amenuisent tandis qu’un plan machiavélique les dressent l’un contre l’autre. Toute l’envergure du personnage de Gollum se dévoile avec sa cupidité et sa fourberie. Le prodige de ce troisième volet tient dans la puissance visuelle des affrontements, mais également dans l’attachement au sort de chaque personnage, des plus influents aux plus insoupçonnés. Un couronnement d’humilité rend hommage à l’union et à l’amitié sur une dernière partie émouvante. Les retrouvailles d’Aragorn et d’Arwen, le triomphe des hobbits, le retour à la comté verdoyante, les départs définitifs, le renouveau ; toute cette intensité scénaristique et visuelle ne peut que chambouler les inconditionnels d’heroic fantasy en une consécration sans égale. Un nectar qualitatif en son genre doublé d’une prouesse intemporelle. Top 10 par excellence. 5/5

Le dernier épisode de la trilogie est aussi le moins bon ! Pourtant, le film mérite ses 4 étoiles car la mise en scène est toujours aussi exceptionnelle tout comme le casting (Elijah Wood et Sean Astin achèvent leur terrible voyage, Viggo Mortensen restera comme l'attraction principale de la saga, Ian McKellen rend définitivement son Gandalf inoubliable... ils feraient presque oublier la scandaleuse absence de Christopher Lee et Brad Dourif) et la somptueuse BO. Autre grand motif de satisfaction, les grandes scènes de batailles sont toujours aussi ahurissantes (voir le final dantesque). Malheureusement, fidélité au roman oblige, on déplore davantage de longueurs que dans les 2 autres opus (Aragorn qui part à la recherche d'une armée, le périple de Frodon et Sam qui traîne parfois...) mais surtout j'ai regretté les multiples fins qui donnent l'impression que le film ne finira jamais (il y avait au moins 20 minutes à gagner en étant plus efficace). Et puis, après un 2nd opus à la gloire d'Aragorn, ce dernier épisode le laisse un peu trop en retrait au profit de la quête de Frodon et la destruction de l'anneau. Un manque de rythme et un dispersement qui n'empêche pas le film de clôturer en beauté l'une des plus grandes fresques de l'Histoire du cinéma.

Le retour du roi est mon préféré parmi cette trilogie, super film, supers effet spéciaux, super casting aussi. Je dois avouer que j'adorais l'histoire d'amour entre Viggo Mortensen et Liv Tyler ! En tout cas c'est un chef d'oeuvre, c'est sûr, si j'avais pu mettre six étoiles je l'aurais fait !

Le dernier opus du Seigneur des Anneaux est le film qui a récolté le plus d'oscars sur les 3 et pourtant, il s'agit du film le moins réussi et de loin !!
Le dernier film marque la lutte finale du peuple libre contre Sauron le maléfique. Honnêtement, Tolkien a bâclé la fin de l'histoire car cette lutte finale n'est pas très crédible au niveau des forces en présence.
Cependant, le film marque la fin de la trilogie et mérite donc d'être vu.
Quel plaisir cela aura été que d'admirer cette trilogie qui restera dans les annales !
Bref : "Un Anneau pour les gouverner tous. Un Anneau pour les trouver. Un Anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier".

Troisième et dernier volet de la trilogie de "Le seigneur des anneaux", "Le retour du roi" s'affirme comme le meilleur de tous au point d'être qualifié de chef-d'oeuvre du cinéma fantastique et apparaissant comme l'un des plus beaux chocs visuels que le cinéma a jamais proposé. Le film relate la fin épique du parcours des différents protagonistes tous obligés de forcer leur courage et leur ténacité pour survivre face à leurs opposants. Le spectacle délivré par Peter Jackson ne peut qu'impressionner le spectateur qui se régale tant par la qualité des effets spéciaux que par la richesse et la densité d'un scénario très rythmé et qui ne laisse aucun temps mort. Le réalisateur nous pousse à rire, à trembler, à assister au destin extraordinaire d'un monde inventé par Tolkien où se côtoient les hommes, les nains, les magiciens et les elfes unis contre les orques et les trolls. Retourner au temps où chacun de nous était passionné par l'existence de ces êtres imaginaires en les portant à l'écran, Peter Jackson réalise pour le spectateur un rêve de gosse ce qui explique sans doute pourquoi les trois films ont cartonné au box-office mondial et dont les produits dérivés ont été vendus par millions. Il ne faut pas oublier que ce film a été un périple de tournage et a demandé des années pour être enfin achevé. Le résultat de tant d'efforts a laissé place à un immense succès public et critique et le long-métrage remporta en plus la bagatelle de pas moins de onze oscars amplement mérités. Le film, plus qu'un divertissement délivre des messages dont la tolérance, l'union face à un ennemi commun et hostile, la curiosité, la traîtrise, le dévouement, le courage bref ce film qui au départ s'affirmait fantastique peut se vanter d'un réalisme qui vient perturber l'innocence des enfants que nous sommes devant un tel déploiement d'énergie et de force. Peter Jackson élabore et signe un immense film des années 2000 dont le temps ne viendra jamais le vieillir. Une oeuvre très brillante!

Apothéose pour une trilogie mythique ! Final à la hauteur de ses ambitions avec ses deux batailles épiques et la fin de la quête de Frodon. Rien à ajouter !

LE SEIGNEUR DES ANNEAUX: LE RETOUR DU ROI (2003) (version longue): 4H23, une première partie dévoilant des regards d'amitiés, d'amours, remplis d'une force battante. Un calme terrifiant avant la tempête, dans un esprit religieux et celtique, on se préparera au pire, on s'attachera à des personnages d'une grande tendresse dont la bravoure impressionnera. Le danger grandira, les puissances du mal se rassembleront, les forces du bien douteront et se chercheront. Un drame s'annonçant aussi par cet anneau, une énergie maléfique qui affaiblira Frodon, toujours accompagné du courageux Sam et du sournois Gollum. Puis l'orage éclatera, la guerre se fera entendre dans une violence inouïe. Un troisième volet, une gigantesque montagne russe romanesque et guerrière. Un défilé d'acteurs aux performances qui seront incontestablement les points forts de cette trilogie. Une aventure, un florilège de personnages, Trolls, Hobbits, Elfes, Chevaliers, Arbres, Nains…l'oeuvre de Tolkien, des mots couchés sur papier retranscrits à l'écran dans une perfection visuelle qui restera à tout jamais gravée dans les esprits. Costumes, maquillages, décors, musiques, dialogues, tout sera sublime. Une version longue, une redécouverte de cette odyssée dans un nouveau montage, jamais abrutissant, jamais gavant, jamais lassant. Une fin, un opéra visuel frissonnant, impossible de retenir nos larmes devant cette mise en scène vertigineuse, je vous rassure, ce seront des larmes de joie. Il y a tellement de choses à dire sur cette adaptation cinématographique. Nos attentes seront totalement comblées. Cette trilogie en version longue est un veritable chef-d'oeuvre du septième art, ce mot n'est pas assez fort. L'écrivain J.R.R Tolkien aurait été fière de vous, mes respects Monsieur Peter Jackson. Bouleversant, formidable.

La meilleure des conclusions possibles à cette fabuleuse trilogie. Immense, épique, inoubliable. Comme pour "Star Wars", autre saga d'anthologie, l'aboutissement laisse une enivrante impression de vide, l'impression d'avoir vécu un moment rare de pur cinéma. Gare car l'addiction n'est pas loin.

La aussi, même critique que les deux précédents, c'est à dire, ''La communauté de l'anneau'' et '' Les deux tours'' : film grandiose, du très très grand cinéma que nous offre Monsieur Peter Jackson.

J'mais 5 étoile pour la trilogie des Seigneur des Anneaux. Trilogie à 17 oscar pour info !!!!! personne pourra détroner les seingeur des Anneaux ! vivement les biblo le hobbit !

Une magnifique épopée conclue parfaitement avec cet ultime film. Cette conclusion était à la hauteur des attentes et est très clairement le meilleur opus de la trilogie. Un final grandiose en forme d'apotheose dont les 3h passe à une vitesse hallucinante. Peter Jackson a du prendre un grand plaisir à adapter cette œuvre soit disant inadaptable, cet univers foisonnant et passionnant.Cela se ressent très clairement dans le résultat final. D'ailleurs on sent très bien, dans la dernière demi heure, que le cinéaste néo Zélandais à fait tout son possible pour repousser la fin au maximum comme si le monsieur ne voulait pas dire au revoir à la terre du milieu. Bref, cette trilogie est et restera une œuvre colossale portée par un casting formidable au service d'un réalisateur au sommet de son art (qui n'a jamais pu atteindre un tel degré de perfection depuis). Sans parler de la mémorable bande originale signée Howard Shore. Des oscars largement mérités pour une trilogie et une conclusion qui a su marquer les esprits. Et pour des films qui ont 20 ans ils ont à peine pris une ride. Chapeau bas et grand merci.

Une grand aventure s'achève : Le Seigneur des anneaux : le retour du roi est une reussit sur tous les points . Une réalisation efficace et grandiose , une scénario captivant , bien mise en scène et travaillé . Des acteurs plus que convaincant , il sont parfait . Elle les personnage sont très attachants . Les décors , effets spéciaux et costume sont somptueux et magnifique . Des musique entrainant .Et une bataille des plus magnifique et bien dirigé et surtout des plus grandiose . Une fin épique pour une grande série qui se finit . Voila un passionnant aventure qui s'achève . UN PUR CHEF OEUVRE CETTE SÉRIE .

Pour ce début du XXIème siècle, "le Retour du Roi" est un chef-d’œuvre absolu du cinéma. La charge du Rohan à elle seule est simplement titanesque, tout comme la bataille du Pélennor est complétement hallucinante. Le jeu des acteurs reste superbe, jusqu'à la dernière minute, dans les Havres Gris. Grandiose et fabuleux, le monde de Tolkien est merveilleusement transposé sur le grand écran. Bien sûr, on peut reprocher la longueur, l'irréalisme, le déjà vu du récit, mais tout cela n'est que de l'inculture et le résultat d'un zapping continuel de l'attention des spectateurs speedés aux médium catatoniques actuels. La trilogie de l'Anneau, date de 1952 à 1954, elle fut la première de son genre, elle fut souvent copiée mais jamais égalée. Son adaptation au cinéma avait fait reculer les plus grands des 50's, dont Cecil B. DeMil, Cette fois le pari a été plus que réussi ...