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    Rebecca
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    4,0
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    163 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Les acteurs sont beaux . Les décors sont sublimes . Les costumes sont classes. La mise en scène est magistrale . Mais quel ennui ...Deux longues heures à attendre un semblant d'action,de rebondissement ...en vain ... C'est du Hitchcock, certes,mais pas celui qui deux décennies plus tard marquera à jamais nos esprit avec le machiavèlique Psychose . Rebecca n'est qu'une mièvre histoire d'amour dans la lignée d'Autant en emporte le vent . Nunuche et académique ...Parfait pour l'époque .
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 823 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2012
    Le premier film américain d'Hitchcock avait un titre et un synopsis me rappelant celui de Laura de Preminger. Une morte qui "hante" les vivants (sans parler des deux titres qui sont tous les deux des prénoms féminins). Seulement la comparaison entre les deux s'arrête là je pense, mais un autre grand classique peut prendre la relève question comparaison et ceci de manière beaucoup plus flagrante : Citizen Kane. En regardant le film je ne savais pas lequel des deux avait été réalisé en premier, je ne connaissais pas la date de sortie de Rebecca. J'aurai parié sur le Welles sortant en premier, mais non, c'est bel et bien le Hitchcock qui est le plus ancien.
    Je ne sais pas si Welles s'est inspiré ou non de Rebecca, mais les ressemblances sont troublantes. Rien que l'introduction, c'est limite si on ne revoit pas un panneau "no trepassing" et la caméra qui s'infiltre malgré tout dans une cage dorée Xanadu ou Manderlay jusqu'à finir sur un plan très similaire.
    Après entre Welles et Hitchcock pour moi il n'y a pas photo je prends Welles, idem entre CK et Rebecca.
    Mais Rebecca est un bon film, le seul défaut serait que je l'ai trouvé un chouilla long, 2h10 c'est pas ma durée préférée.
    On retrouve Joan Fontaine, magnifique, qui tombe amoureuse de ce jeune veuf et qui s'enferme dans la maison où vivant la mystérieuse Rebecca.
    J'apprécie beaucoup l'ambiance devenant de plus en plus angoissante où tous les personnages gagnent en ambigüité et à l'instar de Fontaine on est un peu perdu, on ne sait plus trop quoi penser ni des bonnes, ni de Rebecca, ni des invités.
    J'aime bien ce genre d'ambiance où les protagonistes sont dans un large manoir, ça me rappelle d'autres films dans des genres différents que j'aime beaucoup comme les autres ou bien les innocents.
    Néanmoins il est loin d'être mon Hitchcock préféré, il manque peut-être un petit quelque chose pour m'emporter définitivement dans cette ambiance paranoïaque.
    Akamaru
    Akamaru

    2 814 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mars 2012
    Premier film d'Alfred Hitchcock tourné sur le sol américain,"Rebecca"(1940)remporta 2 Oscars,celui du meilleur film et celui de la meilleure photographie.Mais cette oeuvre aux accents de romantisme morbide fut mutilée par le producteur David O.Selznick.Entre remontage,re-calibrage des dialogues et scènes retournés,il dénatura le travail d'Hitchcock.Celui-ci avait une vision étouffante de la folie qui prend corps chez la nouvelle Madame de Winter(Joan Fontaine,exaspérante de niaiserie).Dans le château de Manderley,elle est comme une prisonnière,vivant avec l'ombre de la défunte Rebecca,précédente épouse du Lord qui la fascina au premier regard(Laurence Olivier,tout à fait mystérieux).Mais Selznick préféra privilégier la romance maudite pendant les 3 quarts du film,enlevant quasiment tout suspense,et y rajouta une assourdissante et omniprésente musique pour souligner tout cela.Du coup,l'intrigue manque de caractère,bien que le cadre du manoir soit bien utilisé,et que le personnage de la gouvernante,presque omniscient,attire l'attention.Enfin,l'enquête ne révèle pas les surprises espérées,C'est dans l'ensemble une déception,et un film trop corseté.
    Acidus
    Acidus

    625 abonnés 3 653 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mars 2014
    Hitchcock, que l'on nomme aussi "le maître du suspense" n'a surement gagné ce surnom avec "Rebecca". Du suspens, il y en a ici au compte-gouttes et seulement vers la fin du film. La mise en place de l'intrigue peine à démarrer et il faut attendre plus de la moitié du long métrage avant que l'histoire s'emballe enfin. Apparemment, ce défaut serait dû au producteur Selznick qui aurait monté le film de façon à privilégier la romance entre Laurence Olivier et Joan Fontaine. Une fois lancé, l'intrigue ne s'avère pas à la hauteur et nous réserve peu de surprises. Il manque clairement cette subtilité que l'on retrouvera dans d'autres films du Maitre.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    210 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 janvier 2011
    1940. Hitchcock occupe confortablement une place cardinale dans le cinéma britannique. Voilà, alors que l’Europe croule sous les conflits de la seconde guerre mondiale, que David O. Selznick (producteur et auteur de « Gone with the wind »), l’invite aux Etats-Unis pour y réaliser des films dans son studio. « Rebecca » (USA, 1940), adapté de Daphné du Maurié, signe donc l’introduction d’Hitchcock dans l’industrie hollywoodienne. De l’aveu du cinéaste, l’expérience fut pour lui profitable mais assez pénible. Le contrôle de Selznick et ses désaccords avec le réalisateur firent, d’emblée, détester le producteur à Hitchcock. Dans de tels conditions, « Rebecca » aurait du, de droit, souffrir d’incohérence. Le film en sort pourtant grand, du niveau des œuvres les plus accomplies de l’auteur. Il y a deux grandes périodes hitchcocko-américaine : celle du début des années 40 (« Suspicion », « Saboteur », « Spellbound », « Notorious ») et celle de la deuxième moitié des années 50 (« Rear Window », « The Trouble with Harry », « Vertigo », « North by Northwest », « Psycho »). « Rebecca » signe donc l’ouverture du premier pan. Mouvements de grue élégiaque, raccordant sans césure gros plan d’une serviette de table et plan d’ensemble d’une salle à manger aristocratique, flottant dans le décor comme une steadycam avant l’heure, mise en perspective des personnages (la première apparition par la gauche du champ de Mrs. Danvers est terrifiant), la mise en scène conjugue une lumière frénétique dans sa composition éclatée à une narration magnifiée par la musique délicate –quoique quasi-omniprésente- de Franz Waxman. « Rebecca » partage de nombreux enjeux dramatiques avec toute une tradition du cinéma hollywoodien, le « Laura » de Preminger et le « Secret beyond the door » de Lang. Film matriciel de ceux-là, « Rebecca » réussit à donner une ampleur dramatique et visuelle que les autres n’atteignent qu’à force d’effort psychologique. Si, en bien des points, le cinéma de Preminger surpasse celui d’Hitchcock, il faut avouer que « Laura » s’efface éminemment devant « Rebecca ».
    MadRom
    MadRom

    44 abonnés 403 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 juillet 2012
    Un film maladroit, étonnant de la part de Hitchcock mais c'est peut être une de ses ouvres la moins abouti, le film est coupé en trois parties, le début de l'idylle entre Maxime et sa futur femme, leur vie dans le manoir et l'enquête policiere. La dernière partie est ratée car elle s'éloigne beaucoup trop du fil narratif mais aussi de l'ambiance établies par les deux premières. Ce défaut casse complètement le genre dans lequel le film voulait apparemment s'inscrire, c'est à dire dans le genre fantastique/épouvante. Au lieu de ça, le film se termine sur une enquête policière des plus banales, ennuyante à vraie dire et très peu Hitchcockienne à mon goût. La seule réussite de ce film, c'est peut être Mrs.Danvers qui arrive a procurer au spectateur une once de frayeur qui manque quand même cruellement au film. C'est donc un film peu passionnant voir barbant par moment et qui ne constitue certainement pas une pièce maîtresse de toute l'oeuvre de Alfred Hitchcock.
     Kurosawa
    Kurosawa

    520 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2014
    Ce film divisé en trois parties est loin d'être le meilleur Hitchcock même s'il vaut largement le détour. Un premier moment à Monte-Carlo élégant et charmant qui prend le temps de fonder les bases d'une histoire mystérieuse et inquiétante; puis une partie centrale, la plus forte, la plus angoissante, qui fait confronter son héroïne (Joan Fontaine) au fantôme de Rebecca: un face-à-face invisible assez fascinant qui rend le déroulement du film incertain. Je reste un peu déçu d'une dernière heure qui reste au minimum intéressante, mais dont le suspense judiciaire n'est pas toujours des plus prenants. Cela reste un film tenu et efficace de la part du maître, qui nous offre un final et un dernier plan à la beauté insolente.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    172 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2013
    Sur le plan formel, le film est parfait, les comédiens impeccables. On trouve déjà dans Rebecca les thèmes chers à Hitchcock, du mystérieux tableau à la lingerie féminine et aux femmes dragons. Pourtant, je n'ai pas été pleinement captivé par Rebecca, en dépit de certains morceaux d'anthologie. Peut-être parce que le film est très long et surtout très daté, très connoté à un univers désuet d'aristocrates et de parasites mondains pour qui on ne peut guère éprouver d'empathie. Le personnage féminin manque aussi de caractère.
    Si l'atmosphère du château est superbement rendue, l'intrigue criminelle est en revanche peu crédible. Dans la catégorie des films gothiques, il me semble que Corman et Mankiewicz ont fait nettement mieux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 octobre 2015
    Rebecca est le seul film d'Alfred Hitchcockà avoir remporté l'Oscar du meilleur film, et c'est assez étonnant quand on connait la filmographie du réalisateur. La première demi-heure du film est assez lente, elle permet de poser le décor et les personnages. Ensuite le film se suit, sans être ennuyeux, mais sans fulgurances non plus... Jusqu'à la dernière demi-heure qui est magistrale. L'interprétation est de qualité, ainsi que la réalisation, le scénario est comme je l'ai dit bien ficelé, et avec suffisamment de rebondissements pour surprendre.
    Très bon film, surtout pour sa dernière partie. À voir.
    Eldacar
    Eldacar

    41 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2008
    L'un des meilleurs films d'Hitchcock et le premier de sa merveilleuse carriére américaine. Rarement le rélisateur avait réussi à distiller autant de suspence dans un film qui parle plus de la psychologie des personnages que de l'action. Les personnages les plus interressants sont sans aucun doute Mrs Danvers et Rebecca, toutes deux terrifiantes. La premiére par son comportement, son visage et ses vêtements et la seconde par son souvenir, sa présence qui flotte dans Mandaley. Le casting est trés réussi, les acteurs étant parfaitement dans leurs personnages. Sauf Laurence Olivier qui, a mon avis, n'était pas le meilleur choix. Judith Anderson est incroyable et aurait méritée une récompense pour sa composititon tout comme Joan Fontaine. Cette-derniére révéle ici son talent et nous prouve qu'elle est aussi talentueuse que sa soeur Olivia de Havilland. Sa façon de se tenir est incroyable. Ainsi, pour avoir l'air peut sûre d'elle, elle a rentrer sa tête dans ses épaules, ce qui a réduit la longueur de son cou et lui a donné un air inoffensif criant de vérité. On pourrait regretter la fin, plus conforme à la pensée Hollywoodienne que celle du livre. Malgrés ça, "Rebecca" reste indéniablement un grand moment de cinéma.
    Redzing
    Redzing

    935 abonnés 4 300 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2020
    Une jeune femme inexpérimentée se laisse séduire par un riche veuf, qui l'emmène vivre dans son château anglais. Sauf que le spectre de la première épouse semble planer en permanence... Pour son premier film américain, Alfred Hitchcock nous livre une œuvre intelligente et profonde, qui oscille assez brillamment entre plusieurs genres. "Rebecca" est en effet de premier abord un drame, fort bien joué et filmé avec soin. Puis, l'ambiance malaisante et pesante du château laisse presque place à un film d'horreur ! Une Joan Fontaine excellente en nouvelle maîtresse de maison qui n'ose pas assumer ses fonctions ; des décors à la fois massifs, vides et imposants, qui écrasent cette protagoniste ; une photographie soignée avec des éclairages contrastés à souhait ; et une mise en scène qui joue à merveille avec la tension, et le personnage ambigu de Judith Anderson. Tandis que le dernier acte s'oriente vers le thriller que l'on pourrait qualifier aujourd'hui de typiquement hitchcockien : un suspense très efficace, des rebondissements en série, et un George Sanders qui semble beaucoup s'amuser en jouant une belle ordure cynique. "Rebecca" est donc un film complet, qui n'a rien perdu de sa force malgré son âge. Même s'il on atteint pas les sommets du cinéma de Hitchcock, c'est tout de même une réussite.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    268 abonnés 2 806 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2019
    comment le souvenir d'une être disparue peu encore hanter un lieu, des personnes... une manipulation psychologique manichéenne, merveilleusement distillée par une ambiance lourde et une J. Anderson inquiétante à souhait face à la douce J. Fontaine. un résultat troublant et Oscar du meilleur film en 1945!
    Ricco92
    Ricco92

    180 abonnés 2 089 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mai 2021
    Ayant repéré le talent du cinéaste anglais, David O. Selznick fait venir Alfred Hitchcock aux États-Unis pour tourner un film sur le naufrage du Titanic. Une fois le réalisateur anglais arrivé sur le continent américain, le producteur, sortant du tournage d’Autant en emporte le vent, choisit de modifier leurs projets en lui faisant tourner Rebecca, une adaptation d’un roman de Daphné du Maurier, écrivaine que le Maître du suspense venait d’adapter dans son dernier film anglais, La Taverne de la Jamaïque.
    On peut estimer que ce changement est peut-être une bonne chose car ce sujet, dont il avait essayé d’acquérir les droits par le passé mais n’avait pu les obtenir face à Selznick, semble plus adapté à l’univers d’Hitchcock. Le roman a beau être essentiellement un drame, le réalisateur réussit à insérer de multiples petits suspenses avant de finir par une intrigue criminelle. Il arrive, en plein maccarthysme, à évoquer des sujets plus inhabituels et tabous à l’époque spoiler: (le féminicide, l'inceste à travers la relation de Rebecca avec son cousin ou encore l'homosexualité, thématique récurrente dans l’œuvre du cinéaste, par l’amour que Mrs. Danvers porte envers Rebecca)[spoiler] et à pousser le spectateur à aller un peu contre la morale[spoiler] puisqu’il soutient finalement un meurtrier en souhaitant que l’homme disant la vérité sera désavoué. On peut d’ailleurs noter sur ce dernier point que les véritables baisers échangés par le couple de Winter se feront une fois que la femme de Maxim devient sa complice
    . En plus d’être osé, le récit, assez fidèle au roman d’origine comme le souhaitait Selznick à l’exception de la fin, est traité intelligemment en conservant le parti-pris de ne jamais donner de nom de l’héroïne (que l’on ne connaîtra que sous l’appellation de nouvelle Mrs. de Winter).
    La mise en scène, de son côté, est sublime et semble même être un pas supplémentaire dans la carrière du cinéaste en lui offrant un style plus flamboyant et hollywoodien. Elle offre une superbe photographie avec un magnifique travail sur les ombres. Grâce à cela, Hitchcock donne à son récit et à son Angleterre de studio un aspect proche du film fantastique, renforcé par une Mrs. Danvers effrayante qui aurait pu sortir d’un film Universal. Hitchcock prouve, malgré ses luttes constantes avec un producteur omniprésent, qu’il possède un contrôle total de sa caméra et offre de superbes plans spoiler: (on peut même se demander si le dernier n’a pas inspiré l'image finale de Citizen Kane dont le tournage débuta quelques mois après la sortie de Rebecca)
    .
    La musique de Franz Waxman est très belle même si elle ne fait pas partie des plus marquantes de la carrière du cinéaste et achève de rendre le tout totalement hollywoodien par son grandiose.
    Pour ce qui est de l’interprétation, même si certaines peuvent paraître un peu exagérée de nos jours (Nigel Bruce spoiler: , notamment quand il réalise avoir fait une gaffe en demandant si l’héroïne fait de la voile,
    et Joan Fontaine sont parfois à la limite du surjeu), l’ensemble est conforme au style de l’époque (on retrouve tout de même Laurence Olivier) mais permet surtout de mettre en avant une Judith Anderson glaçante dans son rôle de Mrs. Danvers.
    Ainsi, Rebecca reste de nos jours un véritable chef-d’œuvre où Alfred Hitchcock arrive à insérer sa personnalité dans le cadre corseté d’une production Selznick et prouve par la même occasion que sa traversée de l’Atlantique lui permet de franchir une étape supplémentaire en l’intégrant définitivement dans un cinéma hollywoodien où il a désormais totalement sa place.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 janvier 2021
    Un classique d'Alfred Hitchcock, dans lequel une demoiselle de compagnie se marie avec un riche noble anglais, mais doit faire face au passé de celui-ci et tout particulièrement, l'ombre de sa précédente épouse, mystérieusement décédée. La fameuse Rebecca. Après une première partie qui m'a semblé un peu laborieuse et répétitive, appuyant peut-être un peu trop le caractère et les complexes d'infériorité de l'héroïne, l'histoire se met en place et le scénario révèle des ressorts inattendus. Le suspense et le dénouement se montrent à la hauteur des enjeux, et permettent de finir la session sur une bonne impression !
    Philippe C
    Philippe C

    81 abonnés 1 008 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2023
    un film d'angoisse en 3 parties, qui date de 3/4 de siècle et n'a pas très ben supporté le passage du temps. La première partie (Monte-Carlo), celle de la rencontre, est polluée par le jeu trop exagéré de l'insupportable douairière, les 2 tourtereaux se contentant, eux de surjouer. Dans la deuxième partie, c'est la jeune mariée qui exagère son jeu, n'ayant pas compris que l'ère du muet, c'était terminé en 1947, la musique, exagérée elle -aussi, en rajoutant une couche pour ceux qui n'auraient pas compris le côté inquiétant de ce château aux domestiques nostalgiques de l'ex épouse noyée. Jusque là, on s'ennuie devant les longueurs en se disant que cela va mal finir, mais comment ? Vient alors, à partir du bal, la dernière partie, que j'ai trouvée très réussie, qui bouleverse nos attentes et préjugés et nous fait comprendre que même si c'était pénible, les deux parties précédentes étaient nécessaires
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