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    À bout de course
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    4,3
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    100 critiques spectateurs

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    petithom
    petithom

    9 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2009
    A bout de course est un film sur l'engagement politique aux Etats-Unis pendant les années 70 et ses répercussions des décennies plus tard.Sujet rarement traité aux Etats-unis le film de Lumet est une vraie découverte.Ce film méconnu est souvent émouvant et pose beaucoup de questions sur l'engagement politique,les liens familiaux.River Phoenix crève l'écran en adolescent déboussolé tiraillé entre sa famille et son propre avenir.
    abelard
    abelard

    9 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 avril 2009
    Jouons un peu : quel est le point commun entre Montpellier, Caen, Rennes et Paris ? Le camembert ? Le nougat ? Pas du tout : ce sont les seules villes de France à reprendre "Running on Empty" (A bout de course)de Lumet.
    Les autres restent donc condamnés à se farcir les "Coco El maleh" et "Coco Tautou" avant d'autres Cocos concons. Pauvres gens...
    Illuminé par un River Phoenix incandescent, A bout de course est un film magnifique. Sur un thème profond et universel (l'emprise familiale face à l'âge adulte) Naomi Foner a tricoté un scénario superbe d'intelligence et d'humanité, drôle et tragique, portant l'émotion à son point ultime. Et comme toujours quand ce bon vieux Lumet dispose d'un script à sa hauteur, il s'en donne à coeur joie. Mise en scène, direction d'acteurs, idées de plans, tout est parfait, habité, généreux...
    Une suggestion pour la masse de mes concitoyens qui n'aura pas la possibilité de redécouvrir ce chef d'oeuvre, pourquoi ne pas déménager ? Rien que pour "A bout de course", ça vaut le coup.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 janvier 2010
    River Phoenix est bien le plus grand acteur de tout les temps.
    llecointe
    llecointe

    7 abonnés 329 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 novembre 2009
    Ce film a tout pour faire un chef d'oeuvre, c'est même peut-être un chef d'oeuvre, malgré tout je trouve qu'il y a un gros dysfonctionnement que je ne saurais expliquer. Un Sydney Lumet en-dessous de son niveau habituel selon moi.
    Joël DI DOMIZIO
    Joël DI DOMIZIO

    9 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2024
    Je suis allé revoir "Running On The Empty" un jour après avoir redécouvert "Daniel". Hasard de la programmation du Cinéma Utopia à Avignon au mois d'Octobre 2023.
    Je me souvenais de la trame principale, cette fuite perpétuelle de cette famille et dont les enfants sont victimes des actes commis dans le passé par leurs parents. River Phoenix crève l'écran et avait juste 17 ans ! Dommage qu'il soit parti si jeune ! La touche humaniste de Lumet est bien présente dans ce film et il s'en dégage une certaine empathie exprimée par le réalisateur. Un film de Lumet à rédécouvrir ...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 janvier 2009
    Tout simplement le meilleur film des années 80. Sidney Lumet passionné par les relations entre générations (Daniel, 1982) raconte deux histoires très fortes, la dérive d'un couple, contraint à la réclusion et au secret depuis 10 ans et l'éveil sentimental et le passage à l'âge adulte du fils aîné, qui doit s'affranchir de sa famille pour réaliser sa passion pour le piano. Le scénario est d'une gravité et d'une rigueur très rares et la mise en scène totalement accomplie. On peut redécouvrir également le Talent du regretté River Phoenix, décédé en 1993.
    Didier M.
    Didier M.

    5 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2020
    Le témoignage d'une époque aujourd'hui révolue. Des valeurs humaines, la rencontre de deux couches sociales, un scénario surprenant pour quelqu'un qui découvre ce film et des acteurs sublimes.
    Magnifique film.
    Le 4e Homme
    Le 4e Homme

    6 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    Une histoire émouvante qui prend aux tripes.
    Des personnages bien construits et qui nous accrochent.
    Le jeu remarquable de River Phoenix.
    Des dialogues qui sonnent juste.
    Au total un TRES GRAND film, d'un TRES GRAND REALISATEUR.
    lolohap
    lolohap

    4 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2012
    Cette histoire simple d'une petite famille très unie qui doit fuir sans cesse vient pourtant de rentrer dans mon Top 10. Vraiment très beau film avec des acteurs formidables. J'aurai voulu qu'il dure 2 fois plus longtemps, tellement toute les scènes sont belles et chargées d'émotion. La scène de l'anniversaire d'Ann, la maman, est particulièrement belle et celle où Ann revoie son père est plus que poignante. La scène de fin est déchirante. En fait, souvent, on croit avoir vu LA scène émotionnellement forte du film, en se disant que ça va retomber un peu par la suite, puis la suivante est encore plus prenante, et ça va crescendo jusqu'au clap de fin, pas étonnant que les âmes sensibles à ce genre d'émotion auront du mal à retenir leur petite larme. En fait, je suis tellement entré dans ce film que j'ai pas arrêté de chialer, mais pas parce que c'est spécialement triste, mais tout simplement parce que c'est beau!!. Si vous avez oublié l'effet qu'un vrai "je t'aime", qui sort des tripes, peu faire, regardez ce film. Enfin, je voulais mentionner la performance de River Phoenix, qui joue l'ado. Il est vraiment très doué. Il a été nommé aux oscars pour ce film. Des articles que j'ai lu depuis, le voyait au début des années 90, comme l'un des meilleurs espoir du cinéma, il aurait sûrement été à l'égal de nos Brad Pitt, Di Caprio, Jhonny Deep, si il n'avait pas trouvé la mort précossement en 1993.
    Davynch Lid
    Davynch Lid

    1 abonné 84 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 août 2017
    Des films oubliés, des œuvres méconnues, il en existe une pelletée. Pour la plupart, on comprend pourquoi ces longs métrages pourrissent dans les oubliettes du 7ème art, et pour d'autre, on est simplement abasourdis par leur manque de reconnaissance. A bout de course (Running on empty en VO), réalisé en 1988 par le grand Sidney Lumet, est un bijou qu'il faut absolument réhabiliter.Je savais déjà que Sidney Lumet était sans nul doute un des plus grands réalisateurs de tous les temps (sans exagérer, c'est la pure vérité), mais je n'avais encore jamais vu chez lui une telle tendresse, une telle facilité à faire naître de profondes émotions. A bout de course, c'est également la présence magnétique de l'acteur River Phoenix, véritable icône du ciné indé, mort d'un arrêt cardiaque en 1993. Dans ce film, Phoenix (frère de Joaquin) apporte par son jeu tout en retenue la complexité psychologique de son personnage. Pas besoin d'en faire trop, River est adepte du less is more. Comment vivre sa vie de jeune adulte lorsque l'on doit fuir constamment? Comment se construire sa véritable personnalité lorsque l'on doit changer d'identité tous les 6 mois? Doit on payer toute sa vie les actes passés de sa famille? Autant de questions passionnantes auxquelles A bout de course répond avec une déconcertante lucidité.Lumet, aidé par le superbe scénario de Naomi Foner Gyllenhaal (mère de Jake Gyllenhaal!), évite tous les pièges du film d'ado à tendances mélodramatiques. A aucun moment A bout de course ne tombe dans la mièvrerie, bien au contraire...Les parents du héros, d'anciens poseurs de bombes, élèvent leurs deux fils dans un amour total et exclusif. Ils n'ont que leurs enfants dans le monde qu'ils se sont offerts malgré eux. La cellule familiale sans cesse pourchassée par les fédéraux ne trouve son équilibre que dans l'amour. Les scènes du quotidien sont superbement filmées et il n'en faut pas beaucoup pour comprendre à quel point chacun a besoin de l'autre pour continuer d'avancer. Le fait de devoir vivre dans le mensonge est une malédiction qui ronge tous les protagonistes. Les parents font faces à des dilemmes moraux d'une rare intensité psychologique, dilemmes qui offrent par conséquent de grands moments de cinéma. Voir ses enfants grandir, sentir qu'ils nous échappent, avoir la force de les laisser vivre leur vie, loin de nous... Lumet nous immerge dans le quotidien des Pope, nous fait ressentir leur peurs, leurs angoisses et nous touche en plein cœur.Maintenant, replongez vous dans votre adolescence. Repensez à ces moments où le temps semblait flotter, où le temps vous appartenait. Rappelez vous...Vous rentrez de l'école et vous vous précipitez dans votre chambre. Vous prenez votre baladeur cassette et vous appuyez sur play. Vous vous allongez et vous écoutez la chanson qui a marquée cette période de votre vie. Vous vous laissez aller à des rêveries, vous pensez à votre avenir avec difficulté, le visage de la personne dont vous étiez amoureux en ce temps là passe et repasse dans votre esprit. Regarder A bout de course fait resurgir ces sentiments que l'on a pour la plupart enfoui au plus profond de notre mémoire. A bout de course fait parti de ces longs métrages mélancoliques qui réveillent en nous de superbes émotions. Précipitez vous sans attendre sur ce film.Des films oubliés, des œuvres méconnues, il en existe une pelletée. Pour la plupart, on comprend pourquoi ces longs métrages pourrissent dans les oubliettes du 7ème art, et pour d'autre, on est simplement abasourdis par leur manque de reconnaissance. A bout de course (Running on empty en VO), réalisé en 1988 par le grand Sidney Lumet, est un bijou qu'il faut absolument réhabiliter. Je savais déjà que Sidney Lumet était sans nul doute un des plus grands réalisateurs de tous les temps (sans exagérer, c'est la pure vérité), mais je n'avais encore jamais vu chez lui une telle tendresse, une telle facilité à faire naître de profondes émotions. A bout de course, c'est également la présence magnétique de l'acteur River Phoenix, véritable icône du ciné indé, mort d'un arrêt cardiaque en 1993. Dans ce film, Phoenix (frère de Joaquin) apporte par son jeu tout en retenue la complexité psychologique de son personnage. Pas besoin d'en faire trop, River est adepte du less is more. Comment vivre sa vie de jeune adulte lorsque l'on doit fuir constamment? Comment se construire sa véritable personnalité lorsque l'on doit changer d'identité tous les 6 mois? Doit on payer toute sa vie les actes passés de sa famille? Autant de questions passionnantes auxquelles A bout de course répond avec une déconcertante lucidité. Lumet, aidé par le superbe scénario de Naomi Foner Gyllenhaal (mère de Jake Gyllenhaal!), évite tous les pièges du film d'ado à tendances mélodramatiques. A aucun moment A bout de course ne tombe dans la mièvrerie, bien au contraire...Les parents du héros, d'anciens poseurs de bombes, élèvent leurs deux fils dans un amour total et exclusif. Ils n'ont que leurs enfants dans le monde qu'ils se sont offerts malgré eux. La cellule familiale sans cesse pourchassée par les fédéraux ne trouve son équilibre que dans l'amour. Les scènes du quotidien sont superbement filmées et il n'en faut pas beaucoup pour comprendre à quel point chacun a besoin de l'autre pour continuer d'avancer. Le fait de devoir vivre dans le mensonge est une malédiction qui ronge tous les protagonistes. Les parents font faces à des dilemmes moraux d'une rare intensité psychologique, dilemmes qui offrent par conséquent de grands moments de cinéma. Voir ses enfants grandir, sentir qu'ils nous échappent, avoir la force de les laisser vivre leur vie, loin de nous... Lumet nous immerge dans le quotidien des Pope, nous fait ressentir leur peurs, leurs angoisses et nous touche en plein cœur.Maintenant, replongez vous dans votre adolescence. Repensez à ces moments où le temps semblait flotter, où le temps vous appartenait. Rappelez vous...Vous rentrez de l'école et vous vous précipitez dans votre chambre. Vous prenez votre baladeur cassette et vous appuyez sur play. Vous vous allongez et vous écoutez la chanson qui a marquée cette période de votre vie. Vous vous laissez aller à des rêveries, vous pensez à votre avenir avec difficulté, le visage de la personne dont vous étiez amoureux en ce temps là passe et repasse dans votre esprit. Regarder A bout de course fait resurgir ces sentiments que l'on a pour la plupart enfoui au plus profond de notre mémoire. A bout de course fait parti de ces longs métrages mélancoliques qui réveillent en nous de superbes émotions. Précipitez vous sans attendre sur ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 mai 2011
    Danny et sa famille sont en perpétuelle fuite : ses parents, ardents militants écolo et anti-capitalistes ont participé à un attentat et entraîné, sans le vouloir, de graves blessures sur le gardien d'une usine.
    Lumet filme avec un naturel brillant leur quotidien fait de changements (identités, changements d'apparence...) et d'acceptation. Danny est un pianiste doué et son nouveau prof de musique de l'école va tout faire pour qu'il entre dans une grande université. Le jeune homme va rencontrer sa fille avec qui il va vivre sa première grande histoire. Entre obligations familiales et vie propre, la question du devenir de Danny est le coeur de ce film. Le duo amoureux River Phoenix/ Martha Plimpton est absolument magique. Entre un père défenseur de valeurs humanistes et un père absolutiste dans ses principes et hostile à tout changement (la musique de chambre qu'il taxe de bourgeoise), la frontière est mince et Lumet rend très bien ce totalitarisme militantiste qui attaque même l'Art.. Cet univers familial clos se dévêt progressivement avec une grande sobriété, une force dramatique réaliste et surtout une panoplie d'acteurs entièrement habités.
    Olivier Husson
    Olivier Husson

    4 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2017
    Film très bien joué, script travaillé et justesse, du beau cinéma classique; pas assez trash et le sujet de l'attentat est peu traité, pas le sujet en fait, plus sur les liens familiaux
    Dom p.
    Dom p.

    2 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Ce film sur l’émancipation d’un jeune homme attaché à sa famille mais qui souhaite construire sa vie est juste magnifique. Le film est porté par le jeune River Phœnix dune beauté a couper le souffle, magnétique. Une grande perte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 mai 2009
    Magnifique
    Clota
    Clota

    2 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2009
    Chef d'oeuvre de MONSIEUR Sidney Lumet, merci au "Grand Action" de le programmer...
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