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this is my movies
621 abonnés
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4,0
Publiée le 13 avril 2016
1ère transposition au cinéma des divers persos crée à la télé par cet allumé de S. B. Cohen, les péripéties de Ali G constituent un pur plaisir coupable qui associe la débilité assumée, une dénonciation virulente ainsi qu'un sens du rythme aiguisé. Le point faible, c'est le scénario avec son histoire politique complètement invraisemblable et occasionnent quelques scènes embarrassantes mais parfois drôles. On rit très souvent, le ton est incisif, les persos tous plus débiles les uns que les autres et malgré une mise en scène très fade, on passe un excellent moment. Régressif mais malin, une excellente comédie à voir absolument en VO pour profiter des excentricités de langage de ce héros débile mais qui secoue une société corrompue en perdition. D'autres critiques sur
Une satire mordante et pittoresque.A base de détournement du langage djeuns ("impose ton style" "respect"), Sacha Baron Cohen dessine un portrait de la jeunesse L'esprit est moqueur mais fait part d'une vrai empathie pour Ali G et sa bande. . La bonne idée était de confronter Ali avec la classe politique anglaise et son teint bon chic bon genre qui cache mal un certain arrivisme, malheureusement, la satire perd de son mordant à ce moment la alors que le film aurait pû décoller encore davantage.
Premier film du trublion SB Cohen, Ali G est une très bonne parodie du milieu du HipHop. Les répliques fusent et les acteurs s'éclatent. Après je trouve qu'ils ont trop cherchés à scénariser le truc, contrairement à Borat ou Brüno où le mec est en totale roue libre.
Indahouse Mister DJ Ali G..... roule ta caisse bouge à fond, au début des alternatives égocentriques plusieurs variétés durant une décennie rigolote, le comédien satyrique pure moment de détente mimique, des ethnies qui s’échangent les rôles sociaux-culturels. Dans cette fiction dérivée d’un sketch célèbre anglais, une fascination de l’un à l'autre, quand le rock fusionne avec le rap, ya man keep you real m’impose pas ton style le député goût douteux faste démesuré premier ministre.
Sa reine d'Angleterre, d’Ecosse, d’Irlande du Nord et du pays de Galles 🏴au doigt et à l'œil, je t’ai ! A Downing Street résidence centenaire et chambre des Lords, les débats comme au marché bruyamment stand étalage. Pluri-ethnique petite agglomération paisible Staines à grande Londonienne, Tabloïds Daily Mirror-The Sun nationaux, alias Sasha Baron Cohen attendra son chef-d’œuvre Borat célébrité Kazakh, rapprochement des peuples conservés dans un bocal en saumure.
Au même combat identitaire scandale politique comédie, un excellent film inespéré, il prend son temps pour découvrir ce que c’est l’humour compris, la Jamaïque 🇯🇲c’est les congés Antillais West Indies all Americans night-club Strip-tease pop-music. Christopher Colombus ex-colonies bonifiés anglophones reggae, l’herbe du gazon des stades au piste d'athlétisme est meilleure là-bas, rastafari religion végétale.
Le premier film de Sacha Baron Cohen est la transposition sur grand écran de son personnage propre à son émission télé « Da Ali G show » qui le fit connaitre en Angleterre. Ce détournement poussif de la culture hip-hop est propice à des gags vulgaires et situations pittoresques amusants mais l’humour s’essouffle bien vite au point de finir, dans la dernière demi-heure, par rendre irritant les excès verbaux de ce personnage exubérant. Le fait de jongler ainsi entre les dénonciations des vices propre au gangsta rap et d’un système politique corrompu était une grande idée en matière de politiquement incorrect mais malheureusement le scénario cherche plus à faire rire qu’à accuser ouvertement. La provocation efficace n’est pas au rendez-vous dans cette pantalonnade distrayante.
Majoritairement très fendard ! Avec quelques scènes à exploser de rire, comme à la réception, et juste ensuite, aux Nations Unies ! Ça compense quelques petits bides dus à des lourdeurs éléphantesques. Quant au scénario, il est vraiment (trop ?) délirant ! Encore une réussite de Sacha [le] Baron Cohen !
Après Borat, le reporter Kazakh traînant toutes le tares qui soient et qui est aussi le seul homme au monde capable de poser un bronze devant la Trump Tower et Brüno, le journaliste de mode homosexuel, nous venant d'Autriche et qui sème une belle zizanie sur le plateau de l'émission de Richard Bey, je fais connaissance avec le troisième personnage crée par Sacha Baron Cohen : Ali G, habitant d'un quartier pauvre de Londres. Un fan pur et dur de Baron Cohen sera certainement déçu. En effet, l'acteur se montre beaucoup moins trash que dans "Borat" et "Brüno". Ici, on est face à un humour assez potache. Au service d'une histoire improbable et parfois ridicule. Mais peu importe. Baron Cohen ose tout et n'importe quoi et ça fait du bien. Ça n'est aucunement subversif, mais c'est un vrai kiff de le voir semer la zizanie à la Chambre des Lords ou de le voir mettre de la beuh dans le thé des chefs d'Etats. En plus, on peut compter sur des seconds rôles ne donnant pas leur part aux chiens. Citons notamment Martin Freeman qui s'éclate et qui est complètement allumé. Et Charles Dance campe un délicieux méchant tout comme il avait su le faire dans "Last Action Hero". Sacré Ali, y en a pas deux comme lui.
Deux ou trois petits trucs font sourire, mais on retiendra surtout un film vulgaire, bête et lassant. Pourtant l'idée de faire débarquer un type des quartiers au parlement anglais pouvait être marrante, encore aurait-il fallu un scénario.
Premier film issue d'un personnage barge de Sacha Baron Cohen qui marche plutôt bien. Plus proche de l'humour d'un Austin Powers que du pamphlet Borat ou Bruno, il n'empêche qu'on ne s'ennuie. Bien qu'on hésite souvent entre la parodie et le sérieux, que la mise en scène ne soit pas vraiment inventive, on ne peut s'empêcher de rigoler devant le personnage!
Ah Ali G, que dire de ce film si stupide dans le fond mais tellement énorme sur la forme. Je ne vais pas raconté l'histoire de ce jeune de cité qui devient député de la bonne vielle ville de Staines. Faire un résumé de ce film serait assez long et inutile car ce n'est pas un film à conter mais un film à voir absolument si vous adorez ce genre de comédie. C'est un grand Sacha Baron Cohen que nous retrouvons dans ce film aux multiples barres de rires et répliques cultes. Certes ce film ne plaira pas aux coincés et aux gens exigeants mais pour ceux qui sont friands de personnages teubés et délirants, ce film est une mine d'or. On ne s'ennuie jamais dans ce film, toutes les scènes sont quasiment cultes, les répliques énormes et bien trouvées.
Au final, un film qui va laisser une trace indélébile chez certain d'entre vous pour des années et des années. Perso, je ne suis pas prêt de ne plus regarder encore et encore ce film et je ne suis pas encore prêt à ne plus faire des références à Ali G. Ce film est à voir au moins une fois dans sa vie, si ce n'est plus.
BOYYAKASSA !!! Un très bon film british !!! qui montre comme quoi les anglais ne sont pas tous très "so british" mais qui peuvent aller loin des fois très loin !!!
Premier film avec Sacha Baron Cohen, plutôt moyen. Disons que c'est un "galop d'essai" et que la machine se rode petit à petit. C'est souvent assez niais et beaucoup trop exagéré mais y a quand même beaucoup de répliques qui sont très terribles. Moi j'ai assez adhéré ça vaut la moyenne. Borat, le second film, monte en gamme et est beaucoup plus intéressant.
Des gags made in usa fabriqué par des anglais. Mwouai sans plus comme la R5 jaune d'Ali. J'ai vu ce film car il n'y avait rien d'autre et j'ai décrocher. -------Aout 2012-------
A mourir de rire ce premier Sacha Baron Cohen du parcours délirant du fameux personnage latino un peu borderline devenu homme politique. Délirant et a mourir de rire. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5