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    A Bigger Splash
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    benoitparis
    benoitparis

    94 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2012
    Un film réputé pour son coté « arty », son tableau du « Swinging London », son érotisme gay. Tout cela est vrai et a son intérêt, mais la grande originalité du film est plutôt dans son traitement de l’inspiration et de la création artistique. Hazan est un réalisateur qui fait des films entre le documentaire et la fiction, et « A bigger splash » témoigne d’un art très pensé, très élaboré du passage du réel à l’imaginaire, en prenant pour base un tableau de David Hockney. Les plus belles séquences ont un aspect onirique, presque fantastique, tout en suspension hors du temps et en pesanteur érotique.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 août 2020
    Bof, il n'y a franchement rien de bien extraordinaire dans ce biopic / documentaire autour de l'artiste contemporain David Hockley.
    A sa décharge, A Bigger Splash avait de base très peu de choses pour me séduire. Je n'aime pas vraiment l'art contemporain, et je ne connaissais pas forcément l’œuvre de David Hockley (pour le coup, cela m'a permis d'entrer dans son intimité sans préjugé ni point de vue sur son art) ; et je n'aime pas non plus particulièrement le registre du biopic (qui est souvent synonyme d'un film très classique et facile pour récolter des récompenses).
    Le film a quelques jolis visuels tirés des œuvres de David Hockley qui sauve tout de même un peu le tout (dont évidemment la peinture éponyme).
    Mais malheureusement, la vie intime de cet artiste (ses relations, son regard sur l'art, sur les autres …) ne m'a particulièrement intéressé et ne m'a pas offert une lecture plus intéressante de son œuvre.
    Du coup, je ne tire vraiment pas grand chose de ce film et je n'ai pas éprouvé d'intérêt particulier à le regarder.
    Nelly M.
    Nelly M.

    81 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 mai 2008
    De jolies images, les tableaux ont de la fraîcheur. Mais alors, qu'est ce qu'on est baladé dans le vide ! On plonge dans la vie creuse de glandouillards silencieux, c'est leur ennui, on a l'impression de passer à côté de tout, car proprement hermétique, rien n'est approfondi, aucune parole percutante, pas d'humour non plus : est-on tenu de vénérer d'office ce peintre comme une icône, je l'ai trouvé terne, à côté de ses pompes et ai craint un suicide ou un meurtre... Les pauvres... David Hockney s'écoute parler, semble s'approprier une peine ou une envie mal assumée, il a sa peinture, peut voyager et n'est pas dans le besoin, ça fait donc "pauvre chéri" qui en verra d'autres. Les scènes autour du sexe sont délicates bien qu'elles aient fait scandale à la sortie du film, elles sont filmées avec beaucoup de tendresse par rapport à ce qui se produit maintenant. Dommage que tout ça s'enlise, on attend une accélération, un choc, ça fait fuite en avant. Avec des acteurs moins falots, ou bien un rebondissement quelconque peut-être. Je me suis emm... comme rarement !
    norman06
    norman06

    298 abonnés 1 598 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2008
    Documentaire à voir pour l'étude de la culture gay. Les fans de peinture pourront aussi y trouver leur compte. En dépit de jolis jeunes hommes et d'une vision originale de l'artiste, l'ensemble pourra sembler hermétique.
    pitch22
    pitch22

    146 abonnés 679 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2008
    Biopic semi-fictif d'une année charnière (1971-72), empreint de mélancolie et parcouru d'érotique gay. Longtemps inédit, concentré sur la période post-rupture avec Peter Schlesinger, ce film-docu sur cette grande figure du pop-art qu'est David Hockney reste très moyen à ennuyeux mais non dénué d'intérêt : mode senventies, passages énigmatiques et sensuels avec le beau Peter (au bord de la piscine), reconstitutions de "tableaux vivants", exposition à nu d'un artiste monomaniaque en apparence zen. Donne envie d'en savoir plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2010
    Biopic ou non, cette tranche de vie agrémentée de l'artiste majeur Hockney (the nighthawks) nous entraine à travers une foule bigarrée et meme parfois sensuelle sur une BO mythique. Plein de justesse intellectuelle les dialogues nous font d'ailleurs découvir des points de vue assez originaux sur la vie en général tout comme la faune de New-York: et puis la scène de la piscine et du nageur bel "ephèbe grec spartien"collé à la vitre pendant que les autres mangent, bafrent, vaut tous les plans. Violent, mais plutot saisissant et troublant.
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 septembre 2022
    En 1974, au faîte de sa gloire, David Hockney fait réaliser par son ami Jack Hazan un film-documentaire où il joue entouré de ses proches. Son fil rouge sera la fin de sa liaison avec son modèle, Peter Schlesinger, et la réalisation (en fait quelques années plus tôt en 1967) de la toile qui l’a rendu célèbre "A Bigger Splash".

    A sa sortie, "A Bigger Splash" reçut un accueil enthousiaste. La raison en était triple. La première était la découverte de David Hockney, de son travail, de son intimité. La seconde était le "Swinging London" qui lançait ses derniers feux avant de somber dans l’hiver du mécontentement. La troisième, la plus importante peut-être, était l’audace des scènes d’amour gay jusqu’alors jamais filmées.

    Ces trois motifs ont largement perdu de leur actualité près de cinquante ans plus tard. Certes, l’œuvre de David Hockney reste toujours aussi passionnante ; mais, pour y plonger, je recommande plutôt la remarquable biographie de Catherine Cusset. Il y a belle lurette que Londres ne swingue plus. Quant à l’audace des scènes gay, elle ne choque ni n’émoustille plus personne – sauf peut-être les amateurs de porno gay vintage.

    Triplement déçu, on s’ennuie trois fois plus.
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 octobre 2021
    Fiction, documentaire, il est difficile de se retrouver dans l'univers du peintre anglais David Hockney que le réalisateur suit pas à pas dans son petit monde où des artistes se lovent pour ne plus en sortir. De célèbres inconnus vont, viennent et commentent . Ne pas pouvoir les identifier ralentit un peu l’intérêt. Le titre « A Bigger splash » s'inspire de l'œuvre éponyme peinte par Hockney en 1967, mais c’est principalement autour de « Pool with Two Figures » que se fixe l’intérêt du créateur. Peter Schlesinger, son grand amour d’alors va bientôt le quitter. Il pose encore pour lui et laisse sur la toile ce souvenir impérissable : « Pool with Two Figures » . Une toile dont on suit la longue évolution, tant le peintre revient à de nombreuses reprises sur le sujet. Six mois, semble-t-il … C’est intéressant mais déroutant.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    304 abonnés 1 696 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    À travers un mélange de fiction et de documentaire, A Bigger Splash nous emmène dans l'univers du peintre anglais David Hockney et révèle les liens qu'entretiennent la vie et la création.

    C’est une réalisation de Jack Hazan. Il a écrit le scénario avec David Mingay. A Bigger Splash avait été présenté au Festival de Cannes 1974 dans le cadre de la Semaine de la Critique. La même année, il obtint le Léopard d'Argent au Festival de Locarno. Le film a droit à une reprise au cinéma le 6 octobre 2021.

    Je ne suis surement pas la cible de ce documentaire fiction que j’ai trouvé pas terrible sans pour autant être mauvais.



    Pour ceux qui ne connaissent pas David Hockney, il est l’heure de faire la minute éducative. Rassurez-vous, avant de voir ce film j’étais comme vous. Né en 1937, il s’agit d’un peintre contemporain. Il avait la particularité de mélanger la peinture avec la photo. Il fu une figure majeure du mouvement pop art des années 1960 et de l'hyperréalisme, et un des peintres britanniques les plus influents du XXe siècle. Âgé de 84 ans, il vit désormais en Normandie.

    Je ne suis absolument pas rentré dedans. À aucun moment je ne me suis senti concerné, ce qui est embêtant tout de même. Le délire mélange de fiction avec l’aspect documentaire ne fonctionne pas trop pour moi. Je n’ai pas retrouvé l’essence que j’attends d’un documentaire. Personnellement je n’ai rien appris et j’ai dû faire mes recherches ensuite. Je n’avais aucune idée où s’arrêtait le récit réel de la vie de David Hockney et où commençait la mise en scène. C’est en somme troublant.



    Par contre, mon avis négatif est nuancé par le côté décalé. En effet, on arrive tout de même à cerner le style de ce peintre Britannique. Je ne suis d’ailleurs pas insensible à ses œuvres. Qu’on aime ou pas, une chose est sure, il n’est pas comme les autres. Je pense que les personnes fans de cet artiste vont aimer ce docu-fiction. Il faut juste être le public cible. L’ambiance est tout aussi spéciale. J’ai apprécié le grain d’image à l’ancienne.

    En revanche, je ne suis vraiment pas friand des scènes de nue assez crue. Ça n’a jamais été mon dada dans les films car je pense on peut montrer l’amour autrement. Ceux que ce type d’image ne gêne pas vont trouver ridicule mon opinion à ce sujet. Concrètement, j’ai trouvé qu’elle ne servait pas à grand-chose. Le caché de A Bigger Splash se suffisait à lui-même. À la limite, j’aurai dit oui si cela avait été présenté de façon artistique mais ça n’est pas le cas.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 février 2008
    Le cinéma comme art de la distance et de la mise en abyme, c’est l’usage qu’en est fait Jack Hazan dans «A bigger splash» (Grande-Bretagne, 1973), curieux objet mi-documentaire sur le peintre pop art David Hockney. Au travers de ce documentaire incrusté de parts fictionnelles, Hazan questionne les rapports entre la peinture, la photographie et la cinématographie. Il y a, d’une première part, confusion volontaire entre les niveaux d’arts par le fait de qualifier le film du même nom que la célèbre peinture d’Hockney : «A bigger splash». D’autre part, la confusion nait quand la photographie se fait technique adjointe à la peinture ; selon l’usage préconisé par Walter Benjamin. Au milieu de cette corrélation, le cinéma témoigne. Nul art représentatif ne prévaut, pour Hazan, mais tout doit être lié. Hazan élabore deux pistes complémentaires au cours de son œuvre : une, davantage biographique, où l’on voit le déroulement créatif, et destructif, de la peinture ; l’autre, davantage métaphysique, où Hazan «adapte» la peinture en film, la questionne et la déploie par le mouvement. La fameuse peinture homonyme représente un homme incliné sur le bord d’une piscine où il s’y voit nager au fond. La partie métaphysique, nécessairement spéculative et donc part fictionnelle du film, se dote d’une scène élégiaque où cinq éphèbes nus plongent dans la piscine, pour seul son des éclaboussements d’eau. Le film multiplie l’objet de la peinture : un seul homme dans la piscine chez Hockney, cinq chez Hazan. Comme le cinéma reproduit à foison les images, Hazan reproduit à foison les sujets. A la devanture de ces questions éthiques et esthétiques, Hazan voit son film possédé par Fassbinder. L’homosexualité et la banalisation des corps rappelle le cinéaste allemand, d’autant qu’«A bigger splash» dénote d’une démarche artistique affirmée à l’instar de la politique artistique de Fassbinder. Toutefois, la réussite est mitigée puisqu’Hazan, à communier avec son sujet ne s’en distancie pas.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 janvier 2008
    Je mets une étoile pour l'intérêt qui existe dans la mise en scène très 70s mais que je n'ai pas du tout saisie..Je suis vite parti
    Musomuse
    Musomuse

    4 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2020
    Dans la catégories films abstraits voici A Bigger Splash. Soyons franc, je n'apprécie pas spécialement ce film. D'accords le montage, oui le suivit documentaire du peintre David Hockney (qui est un super peintre), je vois le concept. Seulement ça reste un film qui ne me parle pas énormément. Je m'ennuie. C'est pas très beau, je trouve pas ça passionnant. Alors j'imagine que ce film est une expérience, une tentative. Malgré cela un film reste un film, il doit être un minimum intéressant. Et là il s'agit d'une curiosité que j'ai regardé avec parfois la sensation que je ne perds pas mon temps, et qu'il y a effectivement des choses à voir. Je pense effectivement au suivit du peintre, maintenant on regarde surtout des plans de gens qui regardent et sans trop justification autre que créer une ambiance. Bon admettons. L'ambiance peut se suffire à elle même. Je ne suis pas d'accords, un film d'ambiance ne peut pas juste être un film d'ambiance, et si cette ambiance ne serre rien; dans ce cadre on est face à une revue IKEA. " Regardez ce que l'on peut faire avec une caméra!" - "Ah oui effectivement il y a quelque chose." Désolé mais ça ne me plaît pas les trucs trop ampoulé qui ont des choses à donner sans creuser le concept d'histoire. Je suis chiant mais pas plus que ce genre d’expérience catégorie manuel scolaire.

    A contrario je me rappel de Koyannisqatsi. Un film semblant plus étrange et pourtant tellement plus beau et plus captivant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 janvier 2008
    Si seulement je n'avais pas été au milieu du rang !!! J'aurai pu partir avant la fin, comme une petite dizaine de personne ont pu le faire...
    Finalement, j'étais quitte pour une bonne sieste.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 février 2008
    Super intéressant pour sa vision des 70's dans le milieu culturel anglosaxon, pour saisir une tranche de vie d'un artiste phare, par la mise en abîme fiction - docu ou l'artiste joue son rôle... et surtout pour suivre le processus de création tant du point de vue de l'exercise de la peinture que de sa conception mentale. Excellent !
    Henriette Arias
    Henriette Arias

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2023
    Scénario qui s'enlise dans des lenteurs et ne prend pas le temps de créer une histoire d'amour entre le dandy britannique et son amant. Aucun dialogue intéressant. On ne comprend pas la raison de la présence de certaines scènes sexuelles trop longues, même si on considère que les nudités masculines des années 70 sont retrouvées dans certaines de ses œuvres. Un film qui touche le fond dans l'ennui du spectateur, néanmoins l'histoire de ne pas perdre son temps le film nous devoile certaines toiles de l'exposition Granet, en entrant dans les secrets de leurs histoires. La réalisation progressive du tableau "a bigger splash", (non présent à Aix, dommage) évoque un peu le travail de l'artiste pour représenter la surface de l'eau, sa peinture acrylique et ses supports de Polaroïds, pour arriver à la beauté de l'instant capturé dans ses tableaux.
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