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    La Dolce Vita
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    VodkaMartini
    VodkaMartini

    40 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Doté d'un des titres les plus sarcastiques qui soit, "La Dolce Vita" ne cesse d'emerveiller plus de quarante ans après sa sortie. En partant de l'étude d'un microcosme, Fellini dévoile certaines des plaies incurables qui sont celles de la condition humaine. Le film joue ainsi de parralléllismes constants, au niveau stylistique et symbolique, et cela sans tomber dans de simples oppositions. Bien plus, Fellini montre comme indissociables des éléments qui semblent s'exclure. Au vertige insouciant et hédoniste que choisit Marcello, derrière lequel se cachent l'absence de sens et l'amertume qui en découle, répondent les figures de l'amour emprisonnant d'Emma, de celui désespérée de Steiner et de l'amour absent du père. Et, quand à la fin, Marcello voit réapparaître une figure simple et belle, le vacarme qui l'entoure ne lui permet plus d'en entendre la voix.
    Julien D
    Julien D

    1 115 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2013
    A travers les mésaventures d’un journaliste latin-lover de la presse à scandale, Federico Fellini nous fait découvrir de nombreux aspects de l'Italie de années 50. On y entrevoit bien une société en pleine reconstruction, la dictature ayant laissé place à un libéralisme outrancier mené par une aristocratie mondaine aux intérêts purement individualistes, créant un écart social proportionnellement aussi vaste que son économie fleurissante. C’est la conclusion que se fera le personnage de Marcello Mastroianni, pourtant hypnotisé par les charmes d’Anita Ekberg en chroniquant les festivités de la classe dirigeante et la finalité qui fit que ce film provoqua une vaste campagne de boycott de l'église catholique. Un discours qui, 50 ans plus tard, reste donc d’actualité accompagné d’un style narratif ambiguë, propre à son réalisateur, mais plaisant. De plus, Fellini ayant, avec son travail de mise en scène, participé à l’émergence de la Nouvelle Vague italienne, ce film est manifestement une œuvre d'envergure historique pour le 7ème art.
    Plume231
    Plume231

    3 517 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2010
    Un des films les plus célèbres de tous les temps et aussi le film le plus connu du cinéma italien. Ce n'est pas un film à scénario mais plutôt une suite de séquences, d'un intérêt inégal mais aucune ne laisse indifférent, ayant comme centre le personnage de chroniqueur magistralement incarné par Marcello Mastroianni. Que retenir de ces presque trois heures de séquences ??? Certaines scènes qui méritent leurs places au Panthéon du cinéma : Anita Ekberg dans la Fontaine de Trevi bien sûr, la démarche d'Anouk Aimée dans le château qui s'apparente à un glissement voluptueux, le vol en hélicoptère avec la statut du Christ et les deux apparitions de la jeune fille le tout avec la musique vive mais faussement gaie du grand Nino Rota. Fellini a réalisé le témoignage d'une époque que l'on aurait bien voulu connaître malgré tout et un film prophétique sur le journaliste à scandales qui est amusant quand il s'intéresse aux potins sur les stars mais franchement ignoble quand il s'agit d'une mère de famille qui s'apprête à apprendre l'horreur, en passant par une approche sur le désoeuvrement et le vide existentiel. Une oeuvre mythique d'une grande richesse.
    kingbee49
    kingbee49

    30 abonnés 589 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2013
    Le plus film le plus surestimé de Fellini, sans aucun doute !! Passé une première heure pas désagréable ou le très séduisant Mastroianni croise la très visuelle Anita Ekberg et surtout la très classe Anouk Aimée, le film s’enlise en deuxième heure dans un ennui profond. La faute à une totale absence de scénario ou d’enjeu, Fellini se reposant sur une longue série de saynètes balisant paresseusement les hauts et les bas de la société romaine chic et toc des années 60… Seule constante intéressante : la présence des paparazzis, véritables chasseurs de scoop et de baisers volés qui polluent ici les pérégrinations du chroniqueur mondain Mastroianni…
    betty63
    betty63

    13 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 août 2013
    Rester pendant plus de 2h40 à regarder Marcello Mastroianni aux prises avec l'ennui des gens riches et la décadence d'un peuple de coquilles vides, ça c'est de l'exploit ! Franchement, en quoi ce film, réputé être un chef-d'oeuvre, l'est-il vraiment ? Il n'y a aucune histoire, tout est décousu. Ouf que j'ai vu mieux de Federico Fellini !
    Eselce
    Eselce

    1 215 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 février 2016
    Je me suis ennuyé d'un bout à l'autre du film. C'est excessivement banal et ennuyeux. Des dialogues sans intérêt, des personnages soporifiques. Et le tout pendant plus de 2h30... Une vraie perte de temps, pour moi, complètement nul !
    Kévin Pilastra L
    Kévin Pilastra L

    9 abonnés 173 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 juillet 2013
    La dolce vita est de ce genre de film qui sont des chefs d'œuvre, uniquement car ils ont été les premiers, je m'explique : 1er fois où la décadence romaine est montrée (depuis, Paolo Sorrentino a fait ça 1000 fois mieux avec la Grande Bellezza...), première scène avec une actrice ultra pulpeuse qui prend un bain dans une fontaine municipale, etc.... Bref, j'aurais adoré adorer mais malheureusement, de ces 2h40 ne subsistent qu'une bande son mal synchronisée, un scénario qui n'en ai pas un et un goût amer de déception dans la bouche... Ce n'est que mon avis, je n'ai pas la prétention d'être cinéphile....
    Max Rss
    Max Rss

    171 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 décembre 2017
    Yo les petits gars, enfin ceux qui me suivent ! Je tiens à dire (même si vous vous en foutez sans doute comme de votre toute première chemise) qu'il s'agit là de la dernière critique que je poste ici. Pour deux raisons. La première, c'est que regarder un film, tenter de l'analyser un peu pour ensuite partager mes ressentiments, ça ne m'intéresse plus. Et la deuxième, c'est que la ligne de conduite adoptée par l'équipe de modération du site me gave au plus haut point. Celle-ci ayant opté définitivement pour une dictature de la pensée et du langage. J'ai plus envie de me casser la tête à écrire des phrases toutes lisses quand j'ai envie de dire qu'un film est tout pourri. Mon activité sur le site ne s'arrête pas, je continuerai à noter, mais le code Hayes Allocinéen, se faisant le devoir de censurer à tours de bras celles et ceux qui aident au bon fonctionnement du site, n'aura plus ma peau. Tout simplement. Pour terminer l'aventure, je m'attaque donc à un des fleurons du cinéma italien et à l'un des monuments de l'histoire même du cinéma. Ni plus, ni moins que la très fameuse "Dolce Vita" de Fellini. Il est toujours compliqué de critiquer un film bénéficiant d'un tel prestige. Et ça l'est d'autant plus quand on ne l'a pas aimé. Des éloges, j'en ai entendues toute une palanquée, veuillez bien le croire. Et, après visionnage, je me pose la question suivante: mais où, bon sang, y a t-il dans ce film quelque élément permettant de dire qu'il s'agit d'un véritable chef-d'oeuvre ? J'ai beau chercher, je ne trouve pas. Qu'Est-ce que Federico Fellini a voulu faire exactement ? Qu'Est-ce qu'il a voulu proposer ? Une critique du métier de journaliste ? A mes yeux, ça ne mérite même pas que l'on s'y attarde tant ça reste superficiel. Une critique des mœurs de la bourgeoisie italienne ? Eh bien, même combat. C'est tout autant superficiel et ça n'offre donc aucune matière en vue d'une quelconque analyse ou d'un quelconque débat. Ou tout simplement l'errance d'un pauvre mec ne sachant pas qui il est, ce qu'il veut et qui s'ennuie à mourir dans la vie ? Même ce point, semblant être l'élément central du film ne revêt aucun intérêt car c'est juste chiant à souhait. Moi, je veux bien qu'on me montre un type qui s'ennuie, qu'on prenne le parti de le faire de façon pessimiste, mais qu'on le fasse d'une manière aussi creuse et assommante, je dis non, tout simplement. Alors, pourquoi avoir élevé ce film au rang qui est le sien ? Parce qu'il fut le premier à s'aventurer un petit peu sur le terrain bourgeois de l'époque ? Parce qu'il fut le premier à mettre en scène une actrice super canon et très comestible ? Parce qu'il fut le premier à filmer l'errance ? Depuis, on a vu la même chose et en beaucoup mieux. Heureusement d'ailleurs ! Cette "Dolce Vita" ne m'a pas emballé, aucune de ses scènes ne restera gravée en ma mémoire. Pour moi, il n'y a pas photo, regarder ce film à notre époque permet de se rendre compte à quel point il est vide de tout. A quel point il est surfait. Si vous souhaitez vous laisser tenter, tâchez de vous armer de la plus grande patience possible car les 2h47 de film, à défaut d'être un véritable supplice, je peux vous garantir qu'on les sent passer. Une très grande lacune cinématographique personnelle vient d'être comblée, mais ça ne m'a procuré aucun plaisir. Sans doute m'est-il arrivé de me faire berner par la réputation d'un film, mais, cette fois-ci, je ne suis pas tombé dans le piège.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 octobre 2010
    Bon, je sais qu'il s'agit là d'un des plus grands films de l'histoire du cinéma. Alors comment justifier de ne pas lui mettre une bonne note. Aurais-je une théorie argumentée pour cela ? Non, pas le moins du monde. Juste que je n'ai pris quasi aucun plaisir à regarder ce film. Ce n'était pas non plus désagréable mais à aucun moment je ne me suis enthousiasmé. Peut-être suis-je passé à côté ?
    AMCHI
    AMCHI

    5 111 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 novembre 2013
    J'ai toujours entendu tellement de bien sur La Dolce Vita pourtant c'est un film que ne m'a jamais attiré mais après avoir découvert son Casanova qui m'a plu je me suis dit que je devais tout de même regarder ce qui est sans doute considéré comme la chose la plus merveilleuse chose tournée par Fellini. Et malgré le fait que je n'ai pas aimé La Dolce Vita ce n'est pas une déception que j'éprouve mais plutôt le verdict fatal auquel je m'attendais, de l'ennui avant tout pour moi devant La Dolce Vita, quasiment jamais passionné durant les 2 h 40 du métrage (enfin un peu moins dans mon cas) alors certes Marcello Mastroianni a la superbe classe et il y a Anita Ekberg avec la fameuse scène de la fontaine mais rien à y faire ce film trop nouvelle vague pour moi, je l'ai trouvé trop long sans magie particulière et quitte à choquer je n'ai pas trouvé que le N&B se justifiait ici. Un point positif la belle musique de Nino Rota.
    Santu2b
    Santu2b

    219 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2014
    Au cinéma, il est rarement aisé de venir égratigner les long-métrages d'ordinaires désignées en tant que chefs-d'oeuvre historiques incontournables du genre. Tout cela seulement pour dire, que quand bien même "La Dolce Vita" représente une date dans l'essence de Fellini et l'histoire du septième art, il n'est cependant pas le meilleur film de son auteur. Inaugurant pour le cinéma italien la décennie dorée des 1960, l'oeuvre marque en effet un tournant absolu dans le parcours fellinien. Dénonçant magistralement les (futures) dérives du monde des médias, l'aristocratie, le maître de la péninsule s'impose comme un cinéaste des plus visionnaires qui soient. Si l'immense scandale qu'il avait suscité à l'époque est désormais loin derrière, sa force, elle, n'a pas du tout faibli. Les années passant n'y changent rien, on suit encore avec une étrange assiduité, sans trop savoir pourquoi, les pérégrinations de ce journaliste mondain campé par un royal Mastroianni, de l'âge d'or jusqu'à l’inévitable décadence, muée ici en "Douceur de vivre". Les scènes cultes s'enchaînent, comme la plus célèbre, inoubliable, se terminant dans la fontaine de Trevi. Bref, inutile de s'étaler davantage sur ce long-métrage pulpeux, fascinant, presque magnétique, que tout cinéphile se doit de voir. Cela dit, une nouvelle fois, il n'est pas le Fellini que je préfère.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 juin 2011
    Chef d'oeuvre absolu du cinéma... Fellini maîtrise son art comme aucun autre cinéaste et cela qui fait de lui un artiste incontestable.
    Maqroll
    Maqroll

    134 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 septembre 2010
    Après Les Nuits de Cabiria qui semblaient marquer un discret plafonnement de Fellini dans le récit, La Dolce Vita, juste avant Huit et demi, incarne sa première irruption dans le domaine d’une cinéma qui ne se contente plus de raconter une histoire mais qui va chercher la vie où elle se trouve. Film monumental de près de trois heures, La Dolce Vita se présente - à l’image de ce que sera quelques années plus tard le Satyricon, son pendant antique - comme une succession de tableaux décrivant la société romaine (ici, celle de la fin des années cinquante) dans son humanité et (aussi) sa décadence. Le bout de la lorgnette choisi est celle d’un journaliste à scandale, évidemment bien placé pour observer toutes les facettes de ce monde-là. C’est peut-être le seul des Vitelloni à s’être évadé que nous retrouvons ici, dans la peau d’un homme qui s’est essayé sans succès à la littérature et qui s’est résolu à terminer sa vie en jetant de la bouillie aux chiens. De nombreuses scènes de ce film (devenu culte) sont restées célèbres et sont encore dans beaucoup de mémoires : la promenade en hélicoptère du Christ vers le Vatican, la baignade d’Anita Ekberg dans la fontaine de Trevi, la soirée chez le philosophe puis son terrible suicide, l’orgie dans la villa et, pour finir, la rencontre, au matin sur la plage, avec le poisson monstre et la jeune fille pure... Il y aurait tellement à dire par ailleurs sur ce film immense, sur l’interprétation dominée par un Mastroianni qui commençait là une collaboration historique avec le Maestro, sur l’analyse des symboles présents constamment tout au long du film, sur la part du rêve dans ce début de travail autobiographique... Il y aurait tellement à dire sur la réalisation de Fellini, sur son travail de créateur, sur sa manière unique de concevoir le cinéma… Je me limiterai à souligner que ce film marque un tournant dans une des œuvres les plus importantes du septième art.
    cylon86
    cylon86

    2 277 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 décembre 2011
    Fellini nous plonge dans la décadence de la bourgeoisie italienne qui a peur, qui s'ennuie, qui joue à faire semblant de s'amuser entre beuveries et histoires d'amour à travers les aventures de Marcello (incarné par Mastroianni, au sommet de son charisme) qui erre avec son costume impeccable dans un monde de rapaces (les paparazzis sans cesse présents). Le cinéaste pose un regard critique et si sa mise en scène est de qualité, le scénario n'a pas de grands enjeux dramatiques et se contente de suivre Marcello dans ses "périples" plus ou moins captivants. Parfois on est fasciné (notamment avec la sublime Anita Ekberg), parfois on s'ennuie. Il faut reconnaître, certes, du talent à Fellini mais il faut reconnaître aussi que ces trois heures de films nous semblent parfois bien plus longues...
    Prad12
    Prad12

    78 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2015
    Enfin j'ai vu la Dolce Vita...... déprimant...... mais où donc sont passés la verve, la satire, l'humour, le mordant du cinéma italien ?....... j'ai envie de dire, tout çà pour çà ? la scène mythique avec Anita Ekberg dans la fontaine de Trevi dure 30 secondes et Fellini flirte avec l'onirisme où il va se noyer dans ses futures oeuvres avec encore et toujours ses clowns cauchemardesques.... bref, c'est une bonne peinture de quelques éléments de la société romaine de l'époque mais sans aucune critique (à part l'Eglise et la foi car c'est un sujet facile....) juste un reportage où l'on voit un pseudo écrivain qui racole dans le people et où tout le monde mais vraiment tout le monde est sans illusion, sans but ni raison de vivre et traine sa misère existentielle sur fond de soirée et d'alcool, en gros des riches qui sont malheureux....... du Fellini en somme
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