L'histoire du film est superbe, mais quelle daube... Ca aurait pu être 10000 fois mieux fait. C'est mou, on s'ennuie, le seul moment intéressant du film c'est quand Bartel sort sa fameuse blague sur les nains et le babyfoot et qui fait la malle (quelle idée sublime d'avoir mit une blague comme dans un film d'horreur aussi mou). Je suis d'accord avec le fait que c'est un film complètement psyché, qui rend sincèrement fou. Mais la fin par exemple est tellement ratée. Je conseille ce film à personne.
Atmosphère assez bizarre, 90 minutes qui en paraissent le double par le manque de dialogues ou d'actions. Même si ces caractéristiques ne peuvent pas être présentes dans chaque film qui existe. Ressenti assez mitigé il est bien mais a souvent décroché de l'histoire en court de route. De plus, on ne sait pas vraiment ce qui a pris à l'aubergiste de prendre le chanteur pour sa femme ... Si c'était par craquage sous le poids de la solitude. Ou juste un détails qui lui a fait penser à sa Gloria ...
Un film très froid, qui met mal à l'aise, voir à la limite du malsain. Tout est basé sur les jeux d'acteurs et c'est cela qui assombri l’atmosphère générale du métrage, d'ailleurs il y a peu de dialogues. La situation à laquelle est confrontée le héro est un véritable calvaire et c'est peu dire car, voué à se résigner, son destin semble seller. Les rebondissements auxquels il sera emprunt sont inattendus et tournés de manière glauque et subtile. Du haut de ses 1h30 éprouvantes, ce film est à classer dans un registre d'horreur de qualité mais pour le bien de votre équilibre cérébrale, évitez de vous le balancer tous les soirs. 4/5
Calvaire est tous simplement moche, les décors la mise en scène, l'histoire de base, le scénario ... Sont tous simplement moche. Je me demande encore si ce film a un réel intérêt (j'ai bien essayer de chercher mais j'ai rien trouvé), bref les films d'horreur Français après avoir beaucoup creusé ont sûrement touché le fond avec ce navet nullissime et incompréhensible digne d'une série Z, bref une mise en scène qui s'enfonce au fur et a mesure que ce navet ce déroule (ou plutôt ce plante) donc voila je vous déconseille de perdre 1 heure 30 a visionner une pareil connerie. Et excuser moi de dire ce que je pence sur ce genre de pourriture.
Le moins que l'on puisse dire est que "Calvaire" ne laisse pas indifférent en bien comme en mal. Quand on lis les critiques de spécialistes du genre (Mad Movies, L'écran fantastique, etc.) ils y voient tous quelque chose de différents, une régression animale pour certains, un conte horrifique sur le manque d'amour pour d'autres.... Cela prouve une chose, pour son premier film, Fabrice Du Welz à réussi à perdre les plus férus amateurs du genre horrifique (dont je fais partie) . La photographie est excellente, mais je trouve que cette réalisation ne mérite pas toutes ses éloges, loin de là, le film fait seulement 90 minutes et j'ai eu l'impression d'avoir passé un moment interminable à le visionner. Décalé, déjanté, surréaliste, autant de qualificatifs qui attise la curiosité et qui sont liés à une certaine culture Belge, mais le cinéma Belge nous a habitué à beaucoup mieux en maniant tout cela ! Un 4/10 pour l'audace, la photographie, et le malaise qui fait parfois mouche. Mais je considère ce film légèrement prétentieux, mélangeant un peu de massacre à la tronçonneuse et de Délivrance, la qualité en moins et l'ennui en plus.
Lent et manquant de cohérence, le cinéma horrifique belge n'a pas le talent de son homologue ibérique apparemment. Une bonne scène m'a toutefois marqué, celle du piano et de la danse dans le bar du village. Mis à part cela, on s'ennuie quand même de bout en bout.
Quel calvaire ce film en effet...D'un ennui mortel du début à la fin. Je suis restée en attente tout au long du film, pensant qu'il finirait par se passer quelque chose...mais non! Une demi étoile tout de même pour la tentative de creation d'atmosphère pesante, à laquelle je n'ai strictement pas adhéré. Je suis peut-être une psychopathe mais la seule qui a réussi à être pesante pour moi lors de ce film c'est la fatigue sur mes paupières...
Calvaire a la particularité d'exposer une petite histoire sans réel contexte; on ne sait pas grand chose sur le personnage principal et la fin de son calvaire n'est pas vraiment expliqué , ça finit en tire bouchon, au spectateur d'imaginer. La réalisation,les acteurs sont juste,on traine dans une ambiance glauque de la France profonde. Des campagnes qui abritent des gens reculés de tout, des gens potentiellement dangereux. Les images et les jeux de lumières sont assez crues et c'est ce qui rend parfois les scènes rudes et malsaines. Tout au plus , on pourrait reprocher au personnage principal de sur-jouer parfois, on aurait tendance à se dire " eh,oh,faut pas déconner, ressaisis toi et fous le camps,tu en a largement la possibilité !" Un film à voir en tout cas !
Je regarde rarement les film français je trouve les acteur pas forcement bon mais la en plus d'avoir un film bien barge le psychopathe de service est vraiment bien jouer.
La vie des artistes de campagne n'est pas toujours un long fleuve tranquille. C'est marrant : Français ou Américains, ce genre de film démarre toujours avec une voiture qui tombe en panne au milieu de nul part ! Celui-ci ne déroge pas à la règle et ne fait pas vraiment peur. Jacky Beroyer est excellent, comme toujours.
Quand les français veulent jouer à délivrance voila ce que ça donne.Un film débile,et pauvre a tous les points de vues.C'est pitoyable et grotesque comme toutes les tentatives du genre en France.
Si vous ne trouvez pas Calvaire malsain alors dites-vous que vous avez sans doute un problème (et allez voir le psy le plus proche) ; je ne crois pas que Calvaire soit un film que l'on puisse aimer mais cela ne signifie pas qu'il est mauvais loin de là d'ailleurs. Fabrice Du Welz parvient à nous mettre mal à l'aise dès le début sans que l'horreur survienne encore, d'un climat perpétuellement glauque Calvaire ne se regarde pas avec plaisir mais l'on visionne le calvaire de ce pauvre Marc Stevens avec répulsion mais aussi avec un certain voyeurisme mal placé de notre part. Mais finalement c'est la partie précédent le vrai calvaire de Marc Stevens qui s'avère le plus tendue car on est dans l'attente de l'horreur et l'on est grée à Fabrice Du Welz de rester discret sur l'épouvante car le film ne contient pas à proprement parler de scènes sanglantes ou de tortures, le réalisateur joue sur une atmosphère oppressante jusqu'au bout. Il y a un certain humour noir mais la scène de la danse dans le bar m'a semblé inutile.