Avis sur La Joyeuse Parade

Une agréable comédie musicale qui s'améliore dans sa deuxième partie. En effet, la première partie, bien qu'agréable est tout de même bien convetionnel, et on regrette que les numéros, bien que d'un niveau correct, n'ont en rien le brio des comédies musicales de Donen, Minnelli ou même Bob Fosse. Mais Marilyn Monroe apparait alors, et d'un coup, le film s'illumine et tout va tout de suite beaucoup mieux (comme c'est bizarre...) Car en effet, comme d'habitude, la sublime Marilyn éclabousse le film de sa beauté et de son incroyable présence, et rend tout de suite le film bien meilleur. La deuxième partie est d'ailleurs dans ce sens, avec de belles couleurs et de jolis moments d'émotions. Rien à dire, dès que Marilyn est là, c'est tout de suite beaucoup mieux.

Quel incroyable gâchis ! Le réalisateur avait à sa disposition la fabuleuse musique d'Irving Berlin, une chorégraphie de qualité et la présence de Marilyn Monroe. Mais Walter Lang ne sait que nous montrer son incompétence, l'histoire ne suscite à aucun moment l'intérêt et l'ennui n'est jamais loin au fur et à mesure que le film avance, les chorégraphies sont filmées à la paresseuse, les scènes intimistes sont souvent lourdes et ridicules, le pompon étant atteint avec les séquences impliquant le futur curé (qu'est-ce que ces exécrables bondieuseries viennent faire là-dedans ?) Côté distribution : Ethel Merman est une vraie purge, Donald O'Connor fait ce qu'il peut et Mitzi Gaynor est bien mignonne, Marilyn aussi évidemment ! (et contrairement à une légende tenace ce n'est pas son pire film, ceux qui disent ça n'ont pas vu Bus Stop !)

La première partie du film est assez longue et ennuyeuse. Pour une fois je n'ai pas été charmée par les chansons. Marilyn Monroe maintient cependant notre attention jusqu'à la fin de ce film qui n'est pas mémorable.

Une belle histoire où se mêlent le destin d'une famille d'artistes, un destin amoureux contrarié et de superbes numéros de danse éblouissants dans la grande lignée des chorégraphies de groupe comme Hollywood le faisait si bien à cette grande époque.

Sans être un chef d'oeuvre de la comèdie musicale, "There's No Business Like Show Business" est un belle chronique d'une famille du monde du spectacle avec ses hauts et ses bas! Un classique de la 20th Century Fox un peu mis de côtè aujourd'hui même s'il marqua à son èpoque une ètape importante de l'èvolution du genre! Du moins sur le plan de l'esthètique et sur celui du mythe puisqu'on y trouve une certaine Marilyn Monroe en artiste à succès qui chante et danse! A ses côtès, Donald O'Connor, vèritable phènomène bondissant des 50's, eut la chance de tomber sur une sèrie de grands films de la Metro ; Ethel Merman, particulèrement touchante dans son final, et surtout Dan Dailey, capable avec O'Connor de vous sauver n'importe quel film! Chorègraphies, chansons et musique très agrèables de Alton, Berlin et Newman pour un comèdie musicale qui, malgrè l'èchec critique à sa sortie, s'impose comme un divertissement ô combien sympathique et plaisant...

Déjà le synopsis n'a rien avoir avec le film bravo allociné, donc en ref cette l'évolution d'une famille qui fait du music hall. Même si la comédie musicale n'est pas mon truc il est clair qu'il y a du spectacle et des grands artistes.

Une comédie musicale clinquante dont le principal atout est la présence de bons acteurs. En effet, les numéros musicaux s'enchaînent à une vitesse effrénée, à tel point que l’on ne puisse plus en voir l’intérêt et les personnages manquent parfois de profondeur. Le scénario ne pèse certes pas bien lourd mais en voyant la cote du film chez les allocinéens, on s’attendait à bien pire. Une divertissement léger qui se regarde sans déplaisir, avec une Marilyn Monroe sublime, comme d’habitude.

Bon film, comedie musicale agreable a regarder ce n'est pas un chef d'oeuvre mais sa vaut le detour.
A voir

Passée la pénible première demi-heure, qui n’est qu’une succession interminable de séquences de music-hall où se produisent les Donahue, l’intrigue, peu élaborée, s’installe enfin. Si le film doit essentiellement son intérêt aux numéros de Marilyn (absolument splendide), on ne peut pas nier le talent des autres acteurs-danseurs-chanteurs et l’on passe globalement un bon moment de cinéma.

Ce film que l’on présente quelque fois comme le pire de M.Monroe, ne mérite pas une si mauvaise réputation. Il est évident que sans sa star et ses numéros endiablés, le film perd une grande partie de son intérêt (qui est déjà moindre). L’intrigue est d’une platitude extrême, O’Connor et Monroe forme un couple très mal assorti (voir spoiler du bas), les chansons d’Irving Berlin sont excellentes mais la mise en scène de la plupart des numéros est molle et commune. Mais, en dépit de ses nombreux défauts, le film reste une comédie musicale sympathique et appréciable, où Monroe resplendit comme toujours, et interprète les formidables chansons : « Heat Wave », « Lazy » et « After you get what you want, you don’t want it » qui constituent à elle seules, la raison d’être du film. Pour qui aime Marilyn, Irving Berlin, ou tout simplement l’univers des comédies musicales, ce film ne peut pas déplaire, même s’il est difficile d’en sortir particulièrement comblé ou enthousiaste, ça se laisse voir, et ça n’a rien de désagréable.