Avis : Le Club des empereurs - Page 2

Très similaire à Dead poet society (cercle des poètes disparus), on est obligé de comparer les deux. Un professeur cherchant a discipliner de jeunes esprits, l'éducation pour faire de petits garçons des hommes brillants. Malheuresement la qualité de ce film m'oblige a prendre parti pour dead poet society. Le club des empereurs est un bon film mais Kevin Klein n'arrive pas à la hauteur de Robin William. La profondeur est également à mettre en cause. L'histoire n'est centré autour qu'autour d'un seul élève. Même si les derniers instants du film sont très émouvant, les scènes finales auraient eu plus d'impact si l'histoire s'étaient plus recentré sur d'autres personnages. C'est un acteur sympathique mais il n'est pas assez convaincant ici. Le film contient trop de longueurs et certains garçon. Un film agréable qui se laisse regarder mais qu'une seule fois.

GÉNÉRAL : Dans une prep school, la relation d’un professeur avec ses étudiants.

ASPECTS POSITIFS : Relation entre le professeur, son savoir, son besoin d’enseigner et ses élèves.

ASPECTS NÉGATIFS : Film simpliste, prévisible et manque de profondeur. spoiler: Image faible projetée par le professeur qui n’arrive pas à faire passer ses théories à la pratique, tant dans sa vie professionnelle que personnelle.


PISTES DE RÉFLEXION : spoiler: Mettre la barre verticale sur le a- : en pratique, on ne peut pas juste faire la justice pure et dure; il faut aussi se fier à notre instinct et notre logique pour que nos gestes aient les meilleures répercussions. Dire la vérité à Martin au sujet de sa 3e position qu’il aurait dû avoir : parfois, il faut penser plus loin que de se soulager la conscience; il faut aussi penser à l’effet de nos paroles sur les autres. Heureusement, dans la situation présentée, Martin est rendu l’homme qui a le plus d’allure et semble avoir bien réagi à la nouvelle, car il confiera l’éducation de son fils au professeur. Tony qui n’est pas capable de prendre soin de sa femme ou plutôt le professeur qui n’a pas la force de faire ce qu’il doit faire plus tôt. Mais en réalité, on remarque que le professeur ne peut se contenter d’être avec la femme qu’il aime pour s’épanouir. Ici, c’est à travers l’enseignement qu’il se réalise. Tout en étant déçu que le professeur ait manqué son coup avec Cédric, on est assez content quand il lui parle dans les toilettes et que le petit garçon de Cédric sort des toilettes. À la fin, il serait facile d’être impressionné par l’image extérieure de Cédric qui se présente bien, a de la répartie, une femme et des enfants. Et d’un autre côté, on pourrait trouver que l’image de Martin présente quelqu’un d’ennuyant. Et c’est là qu’on se rend compte combien il faut faire attention à nos appréhensions qui se forment souvent sur l’image extérieure. Louis, influençable et un peu benêt, a souvent de l’allure jusqu’au temps où il se surestime. On le constate lors des concours Jules César. Son manque d’estime intérieur le fait échouer lorsqu’il montre une image trop sûre de lui. Par ailleurs, le fait que Martin n’ait pas été dans les trois premiers lui ôte de la pression et lui permet peut-être de devenir l’homme sain et bien dans sa peau.

Bon film, très bonne interprétation de Kevin Kline et de Emile Hirsch, cependant le manque de présence féminine change un peu le contexte!beaucoup moins triste que le cercle des poètes disparus.

Bon film ! L'intérêt n'apparait néanmoins qu'à la fin du film. Impression pour autant de déjà-vu.

Ce film est tout simplement génial !