Coup de coeur. L'imagination prend le pouvoir et on passe un excellent moment. Par contre il est un peu difficile à suivre pour les jeunes (appréciable aux + de 7 ans). Une fois vu vous aurez envie de le revoir encore et encore pour en connaître les moindres répliques.
Hayao Miyasaki nous entraine une nouvelle fois dans son univers magique et fantastique. Dans ce nouveau film d'animation des studios Ghibli, on nous entraine dans un rêve extraordinaire avec de magnifiques musiques de Joe Hasaishi qui l'accompagne.
"Le château ambulant" est un film étrange. Pourtant, arborant le label Miyazaki®, en général synonyme de qualité indéniable, le film va au bout de ses idées. Me taraude le véritable lien, existant ou pas, entre les deux parties du film. En premier lieu, la vieillesse, d'abord comme un fardeau, puis comme facteur de sagesse et de patience. Et finalement, la guerre, destructrice uniquement. Le problème est donc d'élaborer un fil conducteur entre les deux, concept qui ne m'apparait pas (ou difficilement) pour ce "Château ambulant". Pourtant, le travail de Miyazaki est proche de la perfection, jonglant parfaitement entre symboliques prenantes (comme à l'accoutumée) et musiques enivrantes. Mais subsiste ce fichu pont entre les deux parties que je n'arrive pas à déceler. D'où la note.
Le Château ambulant, deuxième film d'animation de Miyazaki que je regarde, et toujours avec plaisir car il a un trait de crayon bien à lui ; loin des codes Disney. Les personnages sont aussi originaux les uns que les autres. L'univers est fantastique, unique en son genre et m'a transporté dans un tourbillon de magie, de poésie et d'amour.
C’était vraiment joli, l’ambiance l’histoire attendrissante et le héros romantique et jeune et magicien et effarouché. La demoiselle très touchante qui fait attention aux autres et les personnages secondaires qui remplissent chacun leur rôles . Fresque sympathique à regarder avec de beaux paysages
J'ai vraiment été emballé par le début du film : monde baroque ou se cotoient magie et technologie. Le coup de crayon et l'animation m'ont fait penser au Sherlock Holmes de la grande époque de Dorothée auquel avait déjà participé Miyazaki, ce qui est un bon point. Par contre j'ai été très déçu par la trame du film, le scénario reste souvent beaucoup trop vague, certains évènements ne sont pas expliqués (qu'est-ce que c'est que cette guerre ? etc.), on ne comprend pas le pourquoi du comment. La fin du film, expédiée en 5 minutes top-chrono, m'a laissé sur ma faim.