Avis : Chantons sous la pluie - Page 7

un film musical avec le grand gene Kelly en tête d'affiche mais qui réalise également ce film . un film qui porte un titre qui finalement ne correspond à aucun moment à ce que nous voyons à l'écran ce qui est presque paradoxal sinon les dialogues et les chansons sont excellentes qualité contrairement à beaucoup de comédies musicales les chansons faciles à retenir et nous donne vraiment envie de danser et de chanter avec eux contrairement à beaucoup de films d'animation de Disney qui ont des chansons qui sont là pour meubler de film. l'histoire d'un couple mythique tu cinéma muet qui découvre le cinéma parlant mets la femme vedette détient une voix horrible il faudra donc la doubler par une autre actrice pour ne pas faire fuir le public dans la salle. de beau décor avec une bonne joie de vivre mais on peux reprocher au film de ne pas assez parler des acteur le film met plus en vedette le propre film imaginaire dans lequel les protagonistes joue plutôt que le film que nous regardons ce qui est vraiment dommage cela en devient même agaçant par moment voir énervant. Je n'apprécie pas les comédie musicale en général. au début j'était plutôt satisfait car sa ce chanter pas trop ça chanter de manière utile mais après c'est vite parti dans la surenchère je reproche aussi le faite que les chanson ne soit pas sous titres soutout a l'époque les gens ne parler anglais et notre langue natal est le français vu que les chansons du film on un message ça serait bien de les sous-titré en français

Un film qui terrassera de bonne humeur les plus aigris d'entre nous. Sous un aspect leger et sucré se cache une rigueur extrême de laquelle émerge une beauté immortelle et saisissante !

La comédie musicale favorite des cinéphiles, la seule qui apparaisse dans les listes des meilleurs films de tout les temps. C'est le producteur Arthur Freed qui eut l'idée d'un film prenant pour la base ses propres chansons, de l'époque ou il était parolier. L'époque en question commençant à la fin des années 20, les scénaristes eurent l'idée de situer l'action au moment du passage au cinéma aprlant, alors que tant de vedettes voyaient leur carrière brisée pour cause de voix inadéquate. Deux éléments vont ici sauver un film muet de la catastrophe : le remplacement de la vedette féminine (Jean Hagen, à ma voix de fausset inoubliable) par une inconnue (Debbie Reynolds), et la transformation d'un nanar en... comédie musicale ! L'éblouissant scénario, la recréation en Technicolor du Hollywood des Années folles (costumes de Walter Plunkett), le rythme et l'inventivité de la mise en scène font de ce film un chef-d'oeuvre qui cumule les moments d'anthologie. Parmi les meilleurs : le solo acrobatique de Donal O'Connor (sur une chanson qui plagie éhontément Be a clown du Pirate); le pas de deux dans le studio désert ; le délirant duo de claquettes de la leçon de diction (Moses supposes) ; la chanson_titre, interprétée par Kelly, de nuit, dans une rue inondé par la pluie ; et, bien sûr, le fameux Brodway Ballet, qui révéla au monde entier les jambes de Cyd Charisse.

Je suis un poil déçu, sans doute car j'en attendais trop, j'aime beaucoup les films sur le cinéma, ça permet de dire des choses sur cet art, mais aussi d'avoir des procédés artificiels de cinéma et de s'en jouer, je pense à la scène de l'échelle où ils sont dans un studio de cinéma, et il use de tous les procédés cinématographiques pour rendre une scène "romantique" au cinéma, mais de manière détournée, c'est l'acteur lui même qui va allumer tous ses appareils. Ce genre de scènes je les trouve passionnantes et très belles. On est dans un film musical, on ne va pas chercher la vraisemblance de toutes les scènes, donc on sait que c'est du cinéma et faire comme ça du cinéma sur du cinéma, ma fois c'est bien beau je trouve. Sinon l'histoire d'amour est vraiment belle, je repense surtout à la scène où Debbie Reynolds lâche un petit sourire après avoir avoué, qu'en fait elle est plutôt fan du personnage de Kelly.
C'est un beau film.

"Chantons sous la pluie"(1952)fut et restera la comédie musicale par excellence.Tout y est parfait,et donne furieusement envie de vivre,danser et chanter.Il se dégage une telle fraîcheur chez les interprètes,une telle inventivité dans les numéros musicaux et un tel étalage de couleurs revigorantes,qu'on ne peut que succomber.De plus,l'histoire est formidable,puisqu'il s'agit d'un artiste,qui doit survivre au passage du cinéma muet au parlant.Ce qui donne lieu à des scènes formidablement cocasses,sa partenaire féminine étant dotée d'une voix de crécelle.Gene Kelly,qui co-réalise le film avec Stanley Donen,a orchestré toutes les chorégraphies.Son jeu de jambes est époustouflant et son entrain,communicatif.La toute jeune et mignonne Debbie Reynolds(rayonnante dans le génial "Good Morning"),et le bondissant Donald O'Connor(invraisemblable "Make'em laugh),possèdent un enthousiasme à toute épreuve.Et comment oublier les 2 fameuses séquences de Gene Kelly,celle de "Singin'in the rain" où il s'agrippe aux lampadaires et saute dans les flaques,et celle du "Broadway Ballet" où il donne le change aux jambes interminables de Cyd Charisse.Un classique indémodable du 7ème art,qui rend la vie un peu plus souriante.

"Singin' in the Rain", outre son statut culte, est une excellente comédie musicale grâce notamment à des chorégraphies impressionnantes et des chansons mémorables soutenues par des acteurs tout aussi talentueux. En plus, l'histoire prend pour sujet le passage du cinéma muet au parlant: de quoi réjouir les cinéphiles. Une petite ombre au tableau cependant: les quelques baisses de rythmes ici et là comme durant la "Broadway Melody". Ce long métrage a le grand mérite de provoquer la bonne humeur.

Le charme opère dès les premiers instants... attention chef-d’œuvre! Que dire, ce n'est qu'une pluie de bonne humeur et de bonheur! La chanson "singing in the rain" est sûrement plus connue que le film lui même aujourd'hui car elle est a acquis une identité à elle seule, c'est énorme quand on y pense, cela dit le film vaut vraiment le détour malgré tout, c'est un passage indispensable pour tout cinéphile. Le cinéma qui parle de cinéma, comme quoi ça ne date pas d'hier (n'est-ce pas The Artist?), dans Chantons sous la pluie, nous sommes au début des années 30, pendant la fameuse transition du muet au parlant. Les personnages sont donc des vedettes du grand écran, qui devront s'adapter à ce monumental changement (y-a-t-il eu quelque chose de comparable depuis?). Ce qui est également notable est qu'en parallèle du ton comique non dissimulé du film, on a une lecture plus sérieuse menée de façon satirique, notamment sur le métier d'acteur de cinéma fait de paillettes et superficialité. La magie de ce musical est que justement tout n'est pas en musique, mais les quelques passages chantés et dansés sont justes sublimes et rayonnants. C'est beau tout simplement. A cela rajoutons une charmante histoire d'amour, des acteurs géniaux, des dialogues très bien écrits et des situations cocasses... Bref, un très grand moment de cinéma.

Délicieux classique de la comédie musicale américaine, Chantons sous la Pluie demeure dans les mémoires pour ses numéros musicaux réglés au millimètre, son charme naïf et désuet mais qui opère toujours, et le charisme indéniable de ses interprètes, véritables performeurs dans l'exercice. C'est une sorte de remède idéal au coup de blues et à la déprime, au scénario simple mais justement dosé. Une perle du genre.

Film nostalgique, "Chantons sous la pluie" présente la fin des années 1920 comme une sorte d'âge d'or, dont il tourne affectueusement en ridicule les habitudes, les personnalités et les goûts musicaux, tout en racontant les bouleversements de l'industrie du film. Arthur Freed, responsable des comédies musicales à la MGM, voulait construire le film autour d'un ensemble de chansons que lui-même et Nacio Herb Brown avaient écrites dans les années 1930. Lorsqu'il confia le projet à Betty Comden et Adolph Green, ils se mirent en grève pour obtenir l'autorisation d'utiliser leur propres chansons, et celles de Cole Porter et d'Irving Berlin ou de Richard Rodgers et Oscar Hammerstein II. Contractuellement tenus d'achever les scénaris, ils s'inspirèrent des souvenirs qu'avait laissés à Hollywood l'apparition du cinéma parlant. Gene Kelly, Debbie Reynolds et Donald O'Connor jouent de façon magistrale, mais l'intrigue est portée par Jean Hagen, qui joue le rôle d'une star du cinéma muet que sa voix hideuse voue à l'échec dans les films parlants. Kelly, co-réalisateur du film avec Stanley Donen, y enchaîne les sketches comiques en musique et réserve toute la pureté de son génie aux numéros de danse, qui sont toutes de parfaites réussites : O'Connor risuant de se blesser sérieusement dans la farce athlétique de "Make 'em laugh", les jeux de mots de la leçon de prononciation dans "Moses supposes", les trois acteurs principaux renversant les meubles dans "Good morning". "Chantons sous la pluie" est devenu, depuis sa sortie, un objet de nostalgie en lui-même, mais on éprouve toujours un sentiment de révélation quand on le voit pour la première fois.

N'étant pas un grand fan des comédies musicales, j'ai commencé "Chantons sous la pluie" en émettant quelques réserves. Le fait est que le film est tout bonnement excellent ! Je ne saurai par où commencer, c'est pourquoi je vais aller à l'essentiel.

Dans un premier temps, le fait que l'intrigue prenne place au coeur du monde du cinéma est une chose que j'apprécie grandement, et son traitement en est excellent. A travers le passage difficile du muet au parlant, c'est une véritable histoire d'amour qui nous est contée. Portée par des acteurs au top de leur forme et littéralement dévoués au film, ils nous permette de suivre l'oeuvre sans en perdre une seconde. Couplé à cela, la réalisation est excellente. Acteurs et mise en scène s'allient donc pour nous offrir de superbes scènes musicales, qui d'habitude me rebutent sur ce genre de film. Le fait est que dans "Chantons sous la pluie" elles passent comme une lettre à la poste.

C'est un film frais, qui met de bonne humeur, le traitement scénaristique est excellent, aucune longueur ou lourdeur à signaler. Un film qui n'a donc pas pris une ride, à voir et à revoir !

Whaou ! Mais comment cela est-ce possible ? En regardant ce film, impossible de ne pas faire le parallèle avec un certain film français sorti récemment, à savoir le génialissime The Artist. Les deux histoires se font littéralement écho, de par le sujet abordé à savoir l'avènement du parlant. Mais cette fois-ci, l'option choisi est d'en faire une comédie musicale en couleur - faisant pour le coup presque écho au film qui est au centre de l'histoire. Et là aussi, l'histoire nous régale du début à la fin avec cette histoire d'amour entre un grand nom du cinéma tombant éperdument amoureux d'une jeune inconnue, quand la star avec lui en est folle. Un triangle amoureux qui nous proposera de nombreuses situations cocasses, des répliques légendaires et surtout plusieurs rebondissements inattendus. Mais attention, le reste du film dispose lui aussi son lot de passages mythiques, certains entrés depuis au panthéon des scènes cultes. Mais pour ma part, c'est le tournage du film qui m'a fait le plus rire (pauvre réalisateur). Une comédie mêlant astucieusement les parties musicales, qui servent l'histoire tout en éblouissant le spectateur. On en arrive au casting et difficile de dire autre chose que sur ce film, le casting général frôle la perfection. Le groupe d'acteurs principaux y arrive en tout cas. Que ce soit durant les passages filmés ou les passages chantés, on est tout simplement impressionné. On retiendra surtout le trio central (avec un Donald O'Connor divin, une Debbie Reynolds merveilleuse à la voix magnifique et un Gene Kelly prenant un réel plaisir), mais le reste du casting se défend aussi très bien. Une comédie musicale avec des chansons nullissimes, ça le fait pas, n'est-ce pas ? Eh bien ce n'est pas le cas avec ce film, qui propose un nombre de chansons plus formidables les unes que les autres. Outre la reprise de la désormais légendaire Singin' in the rain, les autres chansons (dont Broadway Melody Ballet, Good Morning, Make 'em laugh ou Moses) sont vraiment superbe. La mise en scène est également géniale, nous présentant à la fois les dessous du cinéma des années 20, mais aussi dissimulant celui du film lui-même. Des plans et des scènes vraiment superbes jalonnent ce film qui est un pur régal visuel. Bref, peut-être l'une des meilleures comédies de tous les temps et sans aucun doute un excellent film.

Chantons sous la pluie est un véritable chef d'oeuvre. Composé de numéros de claquettes des plus impressionnants, de séquences de danse magistrales et d'un jeu d'acteur sublime, son statut de film culte lui est amplement mérité. Gene Kelly et Donald O'Connor sont de véritables vedettes, ayant fourni un travail intense pour ce film, il n'est pas étonnant que l'on se souvienne encore d'eux après tant d'années. Une leçon de cinéma.

Voilà encore le genre de films dit "chef d'oeuvre " et dont je cherche à comprendre pourquoi ? Serait-ce un esprit de Panurge chère à l'évocation du mot qui fait qu'on ne peut réserver aucune critique ? Surement. Toujours est-il qu'il fallait voir ce classique de la comédie musicale. Il faut dire au départ que je suis pas friand du genre mais celui-ci se laisse agréablement regarder grâce à certains passages musicaux entrainants comme Make Em Laugh (le plus réussit à mes yeux) et Singin' in the rain. Le reste manque de folie, ça bavarde beaucoup et les scènes chantées sont inégales. De plus techniquement il n'y a rien d'intéressant. Esthétiquement, on peut apprécier les couleurs grâce au procédé Technicolor. Mes trois étoiles iront donc aux numéros de danse et au travail sur les couleurs lors desdits numéros. Le reste ça rien de si emballant que ça, surtout la fin.

Chef-d’œuvre incontesté de la comédie musicale américaine, Chantons sous la pluie est un éblouissement de tous les instants. Porté par de magnifiques Gene Kelly, Debbie Reynolds et Donald O’Connor, le film est truffé de séquences musicales cultes, parmi lesquelles les interprétations de All I do is dream of you, de Good morning et évidemment du mythique Singin’ in the rain, que le personnage principal, fou d’amour, entonne sous une pluie battante dans l’une des scènes les plus célèbres du cinéma mondial. On pensera également à l’incroyable séquence pop et onirique du Broadway Melody Ballet, avec une Cyd Charisse plus belle que jamais. Hommage au cinéma et à la fabrique du rêve, Chantons sous la pluie raconte la difficile adaptation des productions hollywoodiennes du muet vers le cinéma parlant, à partir de la fin des années 20 et de la sortie du Chanteur de jazz (1927), le premier film parlant de l’histoire. Tout y est sublime : les musiques, les décors, les costumes, les lumières, les numéros d’acrobatie et évidemment les chorégraphies signées du grand Gene Kelly.

Le chant et la danse sont communicatif « chanter sous la pluie », la langue anglophone en particulier l’anglo-américain est musical. C’est en chanson que s’élargit la beauté du tableau de la danse visuelle en trois dimensions, une nouvelle ère technologique avait commencé par apparaître. Le développement depuis le théâtre au début du cinéma muet et silencieux, ensuite le parlant vient enfin la couleur qui prit forme, le talent des acteurs et actrices est indéniable, détectons les manigances de fausse chanteuse égocentrique écartée de la sincérité des vrais sentiments, la création artistique. Cette réalisation est comme un met royal à déguster noblement sous une pluie artificielle en studio, un film dans le film enjolivé à l’image mythique du parapluie en main. Après le beau temps imperméable donnera raison au culte, un son de claquette rythmée dans une flaque au douce note de musique.