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Un visiteur
5,0
Publiée le 12 janvier 2010
bon je vais essayé fan donc des young actress voir mon profil qui à disparue merci allo ciné bref ce fim on pense ce que l'on veux la cinéaste ns laisse choisir n 'empêche que elle film merveilleusement en effet il est difficile de mettre en valeur des petites filles mais là quel fraîcheur que délicatesse sans tomberdans l'inomable évidement ce type de film n'interresse que ceux qui aime les gamines vs pouvais y mettre tout devenir des jeunes filles la mort la renaissance la dance l'hommage la beautée enfantine voyeurisme hélas pour les nazes qui prennent les fillettes pour des jouets à cul notre prope enfance notre relation avec les môme nos filles vraiment il y a de tout jèaime se film au de là du sujet car il faud le regarderavec plein d'émotion et hihihi soyé sage une enfant c'est fragile pierrot la lune
Innocence est un film assez spécial, difficilement classable. Un peu entre le fantastique, le drame et le sociologique. Ce long-métrage dépeint une sorte de campus pour jeunes filles et pré-adolescentes, reclus du monde extérieur avec un cursus particulier (pas mal axé autour de la danse), le tout avec des enfants qui disparaissent. C'est assez étrange et ça ne m'a pas séduit outre-mesure ; malgré un pourtant une distribution d'actrices alléchante : Marion Cotillard et Hélène de Fougerolles (les jeunes actrices sont peut-être un peu moins convaincantes, mais rien d'anormal au vu de leur âge). Je n'ai pas vraiment saisi où le film souhaitait aller en décrivant cette vie en autarcie et les péripéties qui s'y déroule. Et par conséquence, je ne suis pas certain d'avoir compris le propos à la fin du film. Mais le film reste globalement intéressant.
Passé totalement inaperçu à sa sortie confidentielle sur Paris, Innocence est pourtant un premier film très intéressant par l’univers décalé et poétique qu’il propose. Si le rythme est globalement lent, le film passe relativement vite vu le peu de choses qui s’y passe. On reste intrigué par cette narration elliptique qui ne cherche pas à prendre le spectateur par la main. Le métrage peut donc se lire comme une vaste métaphore du passage de l’enfance vers l’adolescence. Il s’agit ni plus ni moins qu’une description à hauteur d’enfant – et en l’occurrence ici de petite fille. Lorsque l’on est enfant, le monde nous apparaît souvent inquiétant, mystérieux et fréquemment incompréhensible. L’adolescence constitue ainsi une réelle ouverture vers l’autre, tout en étant un éveil à la sensualité. C’est ni plus ni moins ce que cherche à développer la réalisatrice à travers cette histoire finalement assez simple, pour peu qu’on se laisse glisser dedans. A noter une réalisation superbe à base de plans fixes et de cadrages savamment étudiés. De la belle ouvrage en somme.
Premier long-métrage et demi de la compagne du sulfureux Gaspar Noé, puisque Lucile Hadzihalilovic avait déjà signé il y a quelques années le beau moyen-métrage « La Bouche de Jean-Pierre », malheureusement beaucoup trop dépendant de lemprise esthétique de son compagnon. Avec « Innocence », on se réjouit de voir quelle a trouvé ses marques, son ton, et que sa mise en scène ne dépend enfin que delle. Lhistoire ne se résumera ici quen quelques menues lignes, car cest un film qui se voit, qui se ressent, et qui ne se raconte quavec beaucoup de difficultés. Disons que dans une magnifique propriété perdue au beau milieu dune forêt luxuriante et apaisée, débarque régulièrement des cercueils contenant des petites filles, vivantes à chaque fois. Celles-ci apprennent à vivre entre elles, entre jeux, dressing-codes particuliers, cours de danse ou de théâtre étranges, enseignées par des femmes tout aussi hors du temps. Où sommes-nous ? Voilà la question que se pose demblée le spectateur incrédule mais séduit par la beauté et létrangeté des lieux. Au paradis ? Au purgatoire ? Dans de quelconques limbes ?... Nous nous garderons bien ici de dévoiler au futur spectateur ce twist final qui nen est pas un Car Lucile Hadzihalilovic préfère suggérer quimposer Cest sa qualité, mais cest aussi son défaut, car on est alors en droit de se demander où réside le sens véritable de son uvre. En tout cas, il convient de souligner le soin exemplaire accordé à la réalisation de ce film : les jeunes actrices sont toutes extraordinaires (et Dieu sait quil nest pas aisé de faire tourner des enfants sans sombrer dans le cliché), les couleurs, léclairage, le cadrage, le montage, font montre daisance, de beauté et de sensibilité.
Innocence de Lucile Hadzihalilovic, la compagne du grand Gaspar Noé, est une oeuvre troublante comme on en a jamais vu (Et je ne rigole pas) mise en scène avec un talent monstrueux et un visuel d'une qualité rarement atteinte (l'affiche du film en donne déjà un avant goût) où la caméra aime filmer des arbres, couler au fond de l'eau, montrer des couloirs glaques ou encore se plonger au coeur même d'une fontaine pour un des plans les plus beaux que je n'ai jamais vu. Pour le scénario qualifié de pervers (allez savoir pourquoi), il n'en est rien. Innocence parle de la vie, de l'innocence, de l'évolution corporelle à travers plusieurs jeunes filles talentueuses au point d'en devenir parfois inquiétantes. L'oeuvre de Lucile Hadzihalilovic est marquante et inoubliable...
Etrange et beau film français créée par un femme. Dans un domaine étrange, entouré de hauts murs, peuplé d'arbres, des fillettes vivent pratiquement seules et apprennent quelques leçons, dont la danse. Peu d'adulte, les fillettes vivent entre elles dans une grande demeure. Filmé d'une façon très professionnelle, des images poétiques ici et là qui n'apportent rien à une intrigue qui reste bien mystérieuse. La forêt et les arbres sont très bien filmés (dominance du vert), les fillettes en blanc. On ne s'ennuie pas, on attend que quelque chose se passe et le film prend un aspect fantastique. La fin est bien venue avec la scène du train sous-terrain et des paysages urbains. Mais quel est la symbolique du film ? Peut-être la fin de l'enfance ?
une histoire simple, intelligente et universelle sur l'enfance, une réalisation maitrisée et envoutante, une interprétation de haute tenue, même si tout n'est pas audible, le film en dit long sans pour autant imposer une interprétation plutot qu'une autre...un premier long prometteur, vivement le prochain!
Le premier métrage de la compagne de Gaspar Noé à la ville, instille une ambiance surréaliste, voire fantasmée. Ces jeunes demoiselles toutes de blanc vêtues qui évoluent dans la nature sans présence masculine semblent heureuses de prime abord même si certaines aimeraient sortir au plus vite. Alors sont-elles ici pour préserver leur innocence ? Sont-elles séquestrées par des messieurs riches et pervers les destinant à un futur plus qu'indélicat, un peu comme dans le sulfureux "Salo" de Pasolini ? Ou bien font-elles partie intégrante d'une nouvelle méthode pédagogique comme le suggérait la nouvelle dont le film est une adaptation ? Peut-être encore n'est-ce qu'un étape intermédiaire avant d'atteindre un autre univers, une sorte de renaissance comme le suggère Zoé Auclair (Iris) dans son interview ? A moins que tout ceci ne soit qu'un rêve ? Il faudra donc attendre les ultimes instants pour avoir une réponse... ou pas ! Quoi qu'il en soit, ce film est singulier au possible et se laisse regarder jusqu'au bout malgré certaines scènes que d'aucuns pourraient trouver répétitives et quelques longueurs car la curiosité l'emportera malgré tout ! De plus, les jeunes actrices sont formidables de naturel et d'ingénuité, à l'instar de celle interprétant Bianca.
Et bien a part si on aime regarder des petites filles en slip pendant 2h...je sais pas ce qu'on peut trouver à ce film. Meme les fans de cotillard, que j'ai eu la surprise de voir dans ce film ne seront pas ravis de cette apparition inutile ou l'"actrice" a l'air de se faire plus ch*er que nous, j'imagine qu'il fallait bien payer les factures....
Horreur! Pire même! En ragardant ce film la seul chose que j'attendais en le voyant c'était de savoir d'où ces filles sortait, pourquoi les envoies t'on dans cet espèce de pensionnat et que font-elles de leurs vie futur. J'ai remarquer une chose c'est que c'est un film à tendance pédophile! Exemple la petite fille qui sort de la baignore nue, la baignade dans le lac des filles à moitier nues et les jupes extrta courtes! Choquant! Le cinéma français ne vaut pas un clou!
Se veut probablement poétique et troublant.. le résultat est juste chiant voire malsain. On se demande vraiment ce que sont venues faire Marion Cottillard et Hélène de Fougerolles dans un projet pareil.
Innocence est un coffre vide. Un de ces vieux coffres mystérieux, poussiéreux, qui ont un jour trainés en chacun de nos greniers. Tout dans le film suscite le mystère et l'inquiétude : une mise en scène toute en retenue, des bribes de scénario dévoilées au compte-goutte et des actrices (car d'acteur il n'y a pas, ou presque pas...)jouant à merveille des rôles apparemment équivoques.Toute cette mécanique suggestive aiguise notre curiosité et laisse à notre imagination le soin d'anticiper l'indicible mais tant attendue perversion qui, infailliblement, doit s'insinuer dans cette univers ambigu. Pourtant le coffre restera vide, voire clos. Et la seule perversité du film ne sera que cette forme de contrôle par la crainte de l'inconnu, exercé par l'encadrement du pensionnat sur les jeunes filles et par la réalisatrice sur les spectateurs, les incitant à redouter plus que savourer cette troublante rêverie.
Innocence (2005) est le premier long-métrage de la part de Lucile Hadzihalilovic (après nous avoir déçu avec son moyen-métrage La Bouche de Jean-Pierre - 1997), elle adapte ici la nouvelle de Frank Wedekind "Mine-Haha, ou l'éducation corporelle des jeunes filles" (écrite en 1888) et en restitue une œuvre lourde de symboles et assez incompréhensible car finalement, au bout des 120 minutes que compte le film, beaucoup de questions qui nous tiraillaient n’auront trouvé réponse. Le film baigne littéralement dans une ambiance assez pesante, on se retrouve au cœur d’un pensionnat (au beau milieu de la forêt) où des jeunes filles isolées du monde apprennent la danse et les sciences naturelles. Un lieu clos où elles vivent en autarcie et où les plus grandes veillent sur les plus jeunes. On aurait voulu y croire au film de Lucile Hadzihalilovic, d’une part parce que l’ambiance qui y règne est parfaitement retranscrite, que les actrices (très jeunes et non professionnelles) s’en sortent relativement bien et ajoutez à cela, une magnifique photographie et de beaux décors, bref tout ou presque étaient réunit, il ne manquait simplement qu’une histoire a raconter au lieu de laisser (ou d’abandonner) les spectateurs à leur triste sort, les laissant interpréter à leur manière ce que la cinéaste a bien voulu nous dévoiler. On se demande réellement quel était l’intérêt pour la cinéaste de filmer durant tout le film des jeunes filles pré-pubères ras la jupe, alignant des plans à la fois choquants et inutiles (la gamine de 13 ans nue de la tête au pied face caméra ou encore la même personne se caressant lascivement les cuisses avec un gant de soie). Le film ne serait-il pas une ode à la perversion ? Comment ne pas imaginer que ce film puisse attirer n’importe quel pervers dans une salle de cinéma (c’est à se demander si la DDASS (qui gère les autorisations de tournage mettant en scène des mineurs) a eu connaissance du film avant le tournage, dans ce cas là, comment ont-ils pu valider le projet ?).
Horreur ! un film indigne du cinéma français. Innocence est consternant et plat, malsain ( on a l'impression qu'il a été réalisé par une pédophile frustrée ) et complètement inutile. Si l'on en juge par l'esthétique du film de Lucile Hadzihalilovic, c'est franchement fade ( on se croirait dans un épisode des bisounours ), et même si quelques plans sortent du lot, ces derniers sont la preuve d'une virtuosité gratuite. Que raconte le film ? Rien pour ainsi dire, sauf si l'on pense que de filmer les jambes de jeunes filles portant des jupes très courtes possède un intérêt quelconque...Et puis arrive l'interprétation des jeunes filles, aussi expressives que du merlan frit. Marion Cotillard s'en sort plutôt bien, mais c'est la seule, étant donné la présence d'Hélène de Fougerolles, aussi transparente qu'une feuille de plastique. Vous l'aurez comprit, Innocence est mal joué, long , ennuyeux, sordide...Gaspar Noé fait des films malsains également, mais le malaise que l'on ressent en regardant Seul Contre Tous ou Irréversible est lourd de sens, marquant qui plus est. Il est certain que ce pensum n'a rien d'innocent, et qu'il serait plus judicieux de le jeter à la poubelle au lieu de perdre deux heures de son temps à le regarder. Terriblement mauvais.
un film choc emrobé dans du velours. Une réalisatrice qui promet. Elle construit son film a petit pas, distillant le malaise. c'est envoutant et effrayant. A ne cependant pas mettre devant tous les yeux. Il y avait d'ailleurs dans la salle à mes côtés un spectateur un peu "louche" qui semblait très excité par ce spectacle de jeunes filles impubères.