Avis : Bleu d'enfer - Page 3

Soyons franc et sincère, il n'y a pas grand chose de palpitant dans ce film, Bleu d'enfer (2006) est un pur produit estival pour un public de masse, à savoir les vacanciers (le film est sorti pendant les grandes vacances).
Après Blue Crush (2003), John Stockwell s'est attelé à un film d'aventures se déroulant aux Bahamas où un groupe d'amis découvre lors d'une plongée sous-marine l'épave d'un galion espagnol. Mais à quelques mètres de là, une autre épave les attend : un DC3 bourré de drogue. Le film se découpe en deux parties, la première est un innocent film d'aventure avec des personnages attachants mais un surplus de remplissages faute à un scénario assez maigre. Puis la seconde partie se transforme vers le film d'aventure d'action, avec trafiquants de drogues et menaces de mort à la clé. Le film nous sort d'une somnolence partielle et nous tient en haleine jusqu'au happy-end. Si le scénario n'a absolument rien d'original à nous offrir, on ne sera pas déçu du voyage avec les nombreux décors extérieurs (les Bahamas) que compte le film, tous magnifiques, que ce soit avec les séquences sur l'eau ou sous-marines. A noter aussi la superbe eau turquoise, le playboy Paul Walker (pour vous les filles) et les sculpturales Jessica Alba & Ashley Scott qui évoluent en bikinis durant toute la durée du film. Signalons enfin qu'il existe un second volet, sorti en DTV en 2009.

Du soleil, la mer, du bleu,des corps bronzés. Encore un peu et je me serais cru dans alerte à malibu.

Génial! j'ai adoré en plus avec Jessica Alba ;) j'ai bien aimé l'histoire et la mise en scène mais je n'ai pas mis la dernière étoile car il n'y a pas assez de suspens à mon gout

Un film correct malgré un pitch peu enthousiasmant.

Bon divertissement ça se regarde tout seul on ne s'ennuie pas, à voir 1 fois.

Ils sont beaux, bronzés, musclés en petite tenue, dans des eaux turquoises, une chaleur torride mais un scénario mince, en bref s'il pleut essayer de compter le nombre de gouttes qui peuvent tomber au même endroit en 1h et vous passerez un moment avec plus de sens.

A voir pour Jessica Alba en maillot sinon il ne reste pas grand chose de ce film.

De l'action, un beau casting et de superbes paysages.

J'ai apprécier ce film qui est assez long tout de même avec un scénarion 'naif', ce n'est pas le film de l'année mais il se laisse apprécier

Film sympathique dont l’intérêt ne réside pas seulement dans le maillot de bain de Jessica Alba.

Ce film ne mérite pas grand-chose, avec une intrigue au raz des pâquerettes et des acteurs pas vraiment extraordinaire, on a un film plat, insipide et sans véritable but. Y a que jessica alba qui sort du lot avec son physique hors-normes et certains paysages mais le reste est ennyant à mourir!

Ce Film est un film d'action banal avec jessica alba en bikini. Voilà l'interet réel du film. Ne Vous meprenez pas, bleu d'enfer n'invente rien !

Très bon film, super bien interprété et réalisé, efficace, réaliste, on est scotché du début à la fin !

Film sans grand intérêt, dialogues navrants, caméra molle. Malgré la beauté des Bahamas on s'ennuie assez vite, l'histoire ne devient intéressante qu'à la fin. Trop tard!

La couleur de l'eau est sublime. Le soleil est omniprésent. Ce sont des vacances toute l'année pour ce jeune couple qui vivote comme il peut. Pour pimenter le tout, ils décident de s'embarquer pour une chasse au trésor. Un ersatz de Uncharted où Paul Walker joue les Nathan Drake sans que Bleu d'enfer n'atteigne toutefois le rythme des jeux de Naughty Dog. Honnêtement, il ne se passe rien pendant au moins une heure. Si, on les voit prendre du bon temps, s'embrasser, faire de la plongée, danser en boîte. Alors, c'est sûr que Jessica Alba a une plastique incroyable et la caméra offrira quelques plans suggestifs d'elle en bikini. Mais bon, si le physique de son actrice principale suffisait à faire un bon film, voire un film tout court, alors Sharon Stone aurait été la plus grande actrice du monde dans les années 80/90. Là, à part de jolis décors et un ou deux retournements de situation dans le dernier tiers, c'est difficile de retenir quoi que ce soit. Par contre, les acteurs, eux (Sauf Paul Walker hum), doivent se souvenir des vacances passées là-bas aux frais de la production.