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Attigus R. Rosh
225 abonnés
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3,5
Publiée le 18 juin 2016
Peut-être un des moins bons Harry Potter (clairement inférieur à mes yeux à ses trois prédécesseurs), ça n'en demeure pas de bonne facture. Avec cet épisode, le saga confirme la tonalité plus sombre déjà entraperçue dans l'opus précédent. Ce qui est un bon choix car rester dans l'atmosphère merveilleuse des deux premiers opus n'aurait pas été crédible à mesure que les personnages centraux grandissent. Le climax final est pas mal et offre de belles perspective pour la suite de la saga (qui devient un peu moins une suite d'épisodes indépendants). Après, le choix de donner de l'importance à des problèmes d'ados donne un côté un peu teen movie (gnangnan et peu original) qui fait baisser la qualité du film. Les trois acteurs principaux sont désormais à l'aise dans leur rôle, les autres seconds rôles (particulièrement nombreux dans cet opus) sont bons dans l'ensemble (notamment David Tennant, Brendan Gleeson et surtout Ralph Fiennes). La musique Patrick Doyle (remplaçant John Williams) est moins mémorable mais remplit sa fonction. Les effets spéciaux sont très réussis et accompagnent très bien l'histoire, les scènes d'actions sont assez impressionnantes. Ce film reste tout de même de bonne qualité.
Les aventures d'Harry Potter, prennent ici un virage décisif. On rentre carrément dans la lutte entre le "bien et la facilité". Voldemort notamment, prend pour la première fois, forme humaine. Passionnant!
Les personnages grandisse et la magie opère toujours ! L'histoire avance lentement, se concentrant sur le tournoi avec son lots d'aventures et FX de bonnes qualité !! Le final est très intéressant avec le retour de Voldemort et promet des suites mouvementés pour nos héros !!
Les nouveaux personnages sont à nouveau très bien choisis et introduis ! Le trio grandi et devra affronter rien de moins qu'un bal et donc trouver un(e) cavalier(e) ! En plus d'autres épreuves, des cours, des premiers amours... Aussi bon que les précédents avec de meilleures performances pour les 3 acteurs principaux et des méchants que l'on apprécie même s'ils sont méchants. Très bon !
Harry Potter et la Coupe de Feu est un film hyper bien réussi. Certes tout n'est pas comme dans le livre, mais les passages essentiels (pour ma part) sont présents. La saga grandit avec les lecteurs et prend une tournure beaucoup plus sombre. Le jeu d'acteur est bon, les effets spéciaux sont brillants. On est face à un excellent film.
« Harry Potter et la Coupe de Feu » est une nouvelle fois un très bon film fantastique qui nous amène à voyager dans l’univers de la magie et la sorcellerie. L’histoire est riche en aventure et une teinte plus sombre que précédemment. L’intrigue est tout aussi riche, ponctuée de décors proposant un univers propre à cette franchise. Les effets spéciaux sont plus riches et la distribution, outre les nouveaux arrivant, est également en évolution, proposant des prestations plus nuancées. L’ensemble reste un pur divertissement et un égayement visuel.
Pour ce 4ème tome adapté au cinéma, c’est au tour du cinéaste Mike Newell de s’y coller. Reprendre la main derrière la patte minutieuse d’Alfonso Cuarón n’était pas chose aisée ; les lacunes en sont donc rehaussées de grès ou de force. En sabrant volontairement l’intrigue à coup de guimauve, le réalisateur délaisse maladroitement l’atmosphère établit initialement par Chris Columbus. Son film n’est pas mauvais pour autant, loin de là d’ailleurs, mais manque cruellement de peps et de maturité par rapport aux précédents opus. On ne retrouve pas non plus cette rêverie féérique de la magie et des sortilèges à son paroxysme. Hagrid s’amourache pour une géante, et chacun à son cavalier ou sa cavalière pour le bal de noël. On frôle parfois le gentillet, et il nous manque quelque chose ; un je ne sais quoi d’éprouvant et de sensationnel. La petite lueur d’intensité se trouvant forcément dans un pavé de près de mille pages. Seule la dernière partie s’assaisonne de piquant avec cette première apparition concrète de Lord V, celui dont on ne doit prononcer le nom. Le personnage campé par un Ralph Fiennes ténébreux est plutôt cohérent avec la réputation qui le précède. Mais le tournoi de la coupe de feu ne se limite pas à une conspiration vis-à-vis d’Harry Potter. Il réserve quelques surprises et des épreuves éprouvantes, comme un combat à la loyale avec un dragon terrifiant et magnifiquement réalisé, une petite plongée dans les eaux infestées de sirènes du lac noir, et surtout le final claustrophobique du grand labyrinthe. Un véritable enchainement de tours de force pour notre héro et ses fidèles amis, beaucoup plus axés à leurs préoccupations d’adolescents. Comme chaque volet nous réserve son lot de nouveaux personnages, celui-ci n’échappe pas à la règle : Cédric Diggory ou encore Viktor Krum. Toujours ces décors surréalistes et ces effets spéciaux à couper le souffle, pour un plaisir néanmoins partagé. Un 4ème volet peut être moins marquant, mais non négligeable, faisant office d’interlude plus guilleret. 4/5
Plus sombre, plus dense. Ce quatrième volet de la saga harry Potter est une véritable plongée en enfer. Son scénario, particulièrement bien travaillé nous entraîne dans un monde ténébreu et inquiétant. Le réalisateur, quand à lui, nous propose un film sans faille, à la hauteur des attentes des plus exigeants. Je crois que l'on ne pouvait espéré une meilleure adaptation.
4ème film de cette saga si chère à mon coeur, "La Coupe de feu" approfondit l'amorce de tournant du "Prisonnier d'Azkaban". Je m'explique : dans les 2ers films, on serait dans ce que l'on pourrait appeler l'enfance avec la découverte, le merveilleux, toutes ces fêtes et cette insouciance. Dans le 3ème et le 4ème, ce serait la pré-adolescence durant laquelle les personnages font face à des injustices, où ils découvrent que le monde magique n'est pas aussi merveilleux qu'il n'y paraît et où ils commencent à s'affirmer et à entrer en rébellion contre certaines autorités. Puis, les films qui suivront, seront le passage à l'adolescence puis à l'âge adulte.
"Harry Potter et la Coupe de feu" se situe donc à cette charnière, juste avant que la saga ne devienne beaucoup plus sombre. Et pourtant, elle aborde ce changement avec une simple compétition entre écoles. Une compétition dans laquelle on peut mourir, certes, mais une vaste compétition entre écoliers tout de même.
C'est l'occasion d'échanges internationaux. Les élèves de Poudlard découvrent ceux de Beauxbatons et de Durmstrang et prennent conscience de l'immensité du monde magique, comme ils avaient commencé à le faire avec la Coupe du Monde de Quidditch. Ils s'émancipent alors : non, le monde magique ne s'arrête pas à Poudlard ou Pré-au-Lard.
Mais la mise en scène est ratée à ce niveau là. Déjà, pourquoi avoir choisi de ne mettre que des garçons chez Durmstrang et que des filles chez Beauxbatons alors que le livre évoque des garçons et des filles dans chaque école ? Ensuite et surtout, pourquoi ces entrées dans la Grande salle ? Les garçons plein de muscles, de barbe et de virilité qui entrent de manière guerrière dans la Grande salle tandis que les filles dansent, soupirent de joie et lancent des petites oiseaux en faisant tournoyer leurs robes ? Théorie du genre, puis-je entendre au fond de la salle !
Avec un tel choix, on a ridiculisé les élèves des autres écoles et surtout on a donné l'impression qu'ils étaient interchangeables.
Même chose avec Viktor Krum qui apparaît comme un tas de muscles dans le film alors qu'il est beaucoup plus subtil et sensible dans le livre.
Mike Newell et son équipe sont passés à côté de pas mal de subtilités du livre. Je comprends qu'ils aient dû passer sous silence certaines histoires comme la S.A.L.E. ou certains personnages comme Ludo Verpey ou Winky (même si j'aurai adoré les voir sur grand écran) parce que le livre est très dense, néanmoins changer le caractère de Krum ou l'identité des élèves des autres écoles n'a aucun sens parce qu'il n'est cette fois pas question de gagner du temps sur la durée du film.
Heureusement, l'équipe technique fait encore une fois un travail formidable permettant de nous faire oublier ces choix douteux. Quel travail extraordinaire ont fait les décorateurs, les costumiers, les accessoiristes, etc ...
Et puis les effets spéciaux n'ont pas vieilli, même 15 ans après.
Donc même si l'on peut trouver quelques choses à redire (comme un rythme un peu trop accéléré au départ où l'on enchaîne beaucoup trop rapidement les scènes), "Harry Potter et la Coupe de feu" reste un très bon film.
Et de 4, ils sont désormais ados et toujours aussi épatant. Dans ce 5ème volet, c'est à la fois une aventure aussi mouvementé, poétique et noire qui attend nos héros, une année ou le duel de rivalité entre Harry et Ron se met en marche à cause d'une participation involontaire au tournoi des 3 sorciers. spoiler: Une nouvelle année dont le départ ne se fait pour une fois pas par la maison de la dernière famille d'Harry mais par un sombre village en pleine nuit et par la demeure immense des Weasley. Un volet qui voit donc arriver dans les murs de l'unique et mythique Poudlard, le tournoi des 3 sorciers, un tournoi que l'on pourrait facilement comparer à des J.O. entre les 3 principales de sorciers. Un tournoi qui fait bien sûr toute la particularité du film en vu de ses épreuves. spoiler: Un tournoi organisé dans un tourment en raison de la première apparition des manges mort. Un film mettant pour la première fois en scène le seigneur noir Lord Voldemort, Une 4ème aventure qui encore une fois, voit un énième professeur de défense contre le mal, 2 peureux, et maintenant des sérieux, mais cette fois-ci il y aura une différence de taille, un nouveau prof ayant prit les traits parfaits du véritable afin d'infiltrer Poudlard dans l'unique but de faire d'Harry, le seul participant pouvant atteindre la grande finale. Un 4ème film qui au fond, mais en réalité énormément d'éléments inédit en avant : l'entrée dans l'adolescence de nos personnages, l'arrivée de ce tournoi et juste avant, la coupe du monde du sport emblématique de cet univers si riche, ce nouveau prof aussi délirant que mystérieux, l'apparition des serviteurs du seigneur noir et lui-même... Un 4ème qui se détache effectivement des autres en raison de la mentalité des personnages, ou les 2 amis ne peuvent plus se voir en peinture, leur meilleur amie rêveuse et quasiment mise en avant par le rival d'un jour, de nouvelles révélations sur le passé des personnages comme Dumbledor ou le fils de Barty Croupton. Niveau visuel maintenant, c'est toujours aussi épatant, des décors toujours aussi somptueux et volumineux pour une tel production, des costumes enfin évoluer en raison de la fête de noël ou la mise en scène du début à la fin mélange le poétique au "Disney", un bal qui voit le climat amical des 3 héros exploser. Une musique toujours aussi parfaite, des effets sonores gérer et des scènes palpitantes. Pour conclure, l'intégrale de la renaissance de Voldemort est sans conteste le moment le plus épique puisqu'il met enfin le point d'orgue sur le nouvel élan de la saga. Le jeu désormais fait par le fantastique Ralph Fiennes est d'un classique sans nom en raison du fait qu'il incarne ce fameux super-sorcier noir. Un sorcier qui peux à très grande échelle, égaler Dark Vador ou Sauron dans la liste des personnages fictifs les plus sombre du cinéma fantastique/science-fiction. Il y à bien sûr les énigmatiques Alien, Freddy Kruger ou autres Jason Voorhees, mais ceux-là n'ont pas forcément eu le même impact populaire même s'ils sont parmi ceux-là. Le duel final entre eux dans ce cimetière reste mémorable en raison de la lumière du pouvoir lancer par leur baguette, la posture de Voldemort et l'apparition fantomatique des parents d'Harry. Une séquence parmi les plus belle de la saga montrant l'une des plus belles attaques magique. Le retour des 2 ultimes participants au tournoi à l'entrée du labyrinthe reste poignant et permet de montrer par avance, le danger extrême que nos personnages courent désormais. "La coupe de feu" est en quelque sorte le dernier volet de la première grande partie de la saga, une première partie ou nous avons rencontrer tous nos personnages grandir, appréhender l'école et ses professeurs, connaître les premiers dangers, les premiers sort et environnements. Ici et désormais, le sérieux commence et le passage à l'âge adulte débute avec à la clé, un final épique. Mention toujours spéciale à Emma Watson qui tir à elle seul son épingle du jeu avec son charme naturel, sa déconcertante facilité d'action et de réflexion. En un mot concluant, Épique.
Opus plus sombre avec un nouveau réalisateur. Bien que fan de John Williams, la bande originale signée Patrick Doyle est absolument sublime, et atténue la noirceur du film. Les élèves sont en plein adolescence et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on en ressent l'énergie à travers ce film. C'est d'ailleurs pour moi, le film pivot de cette saga, car il touche la période de l'adolescence de plein fouet (premiers crush, premières jalousies, crises de colère exagérée...), et en même temps l'univers est bien plus sombre et sérieux. Les décors sont magnifiques et les scènes sont spectaculaires. Un de mes films favoris, même si la mort est au rendez-vous ⚡
Harry Potter and the Goblet of Fire à la lourde tâche de succéder à la pièce maitresse de la Saga, il tiens toutefois une très haute estime et cadence. A dire vrai, il est un film d'un très bon niveau. L'attaque des sbires de Voldemort lors de la Coupe du Monde de Quidditch en est un exemple assez édifiant à ce sujet. Il y'a quand même une petite déception pour ce qu'il en est de la direction prise par Mike Newell qui instaure le début d'un académisme en reprenant certaines bonnes aspirations sans vraiment sans démarquer ... Une petite frustration pointe le bout de sa ganache, on l'élude toutefois devant les nombreuses réussites de ce film, plus normatif qu'audacieux donc, mais qui tiens ses promesses toutefois !
Les nombreux points de satisfactions sont soit dit en passant très axés sur des trouvailles déjà entrevues au préalable, notamment lors des petites disputes entres copains, les petites moqueries, histoires de cœurs, dans leurs petits tracas d'ados, le film s'encre à rendre cela assez amusant avec néanmoins une once de bienveillance. La thématique est toute trouvée et accentue les nouveaux sentiments concrets qui se manifestent pour eux, l'accrochage entre Ron et Hermione ( puis accessoirement Harry victime collatérale de l'altercation de ses deux amis ) synthétise cette idée mise en relief.
Le scénario quand à lui se ressert autour de l'intrigue principale, ses envies d'avancées de manière rapide se font sentir. La démarche de Newell et des équipes techniques de regroupés aux proratas les infos du livre pour en offrir son maximum tiens la route, il y'a quand même quelques raccourcis que je trouve trop brusque. La toile de fond cohabite avec un désir de grailler un peu à touts les râteliers, à ce jeu, le cahier des charges pèsent sur les choix de mise en scène. La réintroduction dans le cœur de l'échiquier de son antagoniste principal n'est qui plus est, avec du recul, pas sa plus brillante mise en œuvre. Ce dernier plus ou moins absent du dernier film retrouve un visage en la personne de Ralph Fiennes, et promet de dépiauter, ce qu'il fait déjà qu'avec un peu trop d'ardeur ...
Du coté de ses personnages secondaires, le final hormis, on ne peu s'empêcher que d'avoir, là encore, quelques regrets. Lupin m'a je l'avoue manquer, Black aussi. Je parle surtout du traitement des acteurs d'appoints qui ici servent un service à minima, dans les clous. Entre discrétions et exagérations, le film ne rend pas grâce à ses protagonistes. Néanmoins un très gros tournent s'opèrespoiler: avec la mort de Cédric Diggory , qui marque les esprits et instaure un climat anxiogène dont profite le final de ce film.
D'ailleurs on ne peu reprocher les envies épiques de ce quatrième longs-métrages car l'on est indéniablement servis avec cette Coupe de Feu. Concrètement celui qui insuffle la dynamique à venir ...
On pourrait avoir une histoire plus poussée tant le 3 èmes opus nous ouvre les portes de la famille Potter. Au final c'est un film de sorcellerie bourré d'action dans le but de faire claquer. Les acteurs sauvent quand même pas mal le coup.
C'est cette fois Mike Newell qui est aux commandes de ce quatrième film de la saga "Harry Potter", sorti en 2005, et même si j'ai cette fois un peu de mal avec cet opus, je dois dire que je n'arrive pas à être réellement objectif. J'ai un peu de mal avec ce film car c'est le premier de la franchise qui raccourci énormément le livre homonyme de J. K. Rowling et qui omet alors énormément de choses. Mais d'un autre côté, le film dure déjà deux heures trente, difficile de faire plus, et puis, plus simplement, j'ai découvert les films avant de lire les livres et, comme les autres épisodes de la saga, j'en ai donc une affection tout particulière qui m'empêche d'être totalement objectif. Nous retrouvons ici Harry qui devra passer les épreuves imposées par le Tournoi des Trois Sorciers, sauf que son nom a été déposé dans le Coupe de Feu sans son consentement. Cela représente donc un double enjeu pour l'étudiant de Poudlard : passer les trois épreuves particulièrement difficiles tout en essayant de trouver la personne à l'origine de sa participation. Ici, par rapport au troisième opus beaucoup plus sombre, nous retrouvons un côté léger, voire enfantin, du moins pendant une bonne partie du film. L'intrigue se concentrant en effet majoritairement sur les jeux, nous retrouvons alors un côté festif et sportif qui participaient énormément à l'ambiance des deux premiers films. De plus, ce quatrième film s'inscrit réellement dans les codes du teen movie, notamment avec le caractère de merde des personnages principaux et de leurs embrouilles (typique de l'adolescence) et c'est également le premier film à mettre l'accent sur les romances des personnages et à donner un réel enjeu au bal, qui reprend les codes du traditionnel prom du lycée dans les teen movies. C'est un aspect qui peut être vivement critiqué mais, tout d'abord, ce sont des enjeux qui sont également présents dans le roman et puis, ces enjeux s'inscrivent dans une certaine logique ; la franchise et le ton évoluant en même temps que les personnages et là, c'est clairement l'opus de l'adolescence. Mais le film devient tout de même, petit à petit, de plus en plus sombre et réadopte alors la maturité instaurée avec le précédent opus, même si je trouve ici la fin très décevante et assez expéditive. Enfin du moins par rapport au roman qui développait beaucoup plus d'enjeux et développait beaucoup plus de choses importantes dans la suite de la saga, notamment les dialogues entre le Ministre et Dumbledore qui donnent soudainement le ton beaucoup plus sombre, adulte et politique de la suite de la saga. Mais ce n'est pas la seule chose qui a sautée dans la transposition du livre à l'écran, nous avons également l'absence totale des elfes de maison et du projet S.A.L.E (Société d'Aide à la Libération des Elfes de maison) d'Hermione ("Non, Ron, c'est pas sale !") et la quasi-absence de Sirius qui a une plus grande importance dans le livre que de simplement apparaitre dans un feu de cheminée ; et nous pouvons également noter que l'introduction a été fortement raccourcit. Concernant les acteurs, j'ai toujours un peu de mal avec Daniel Radcliffe qui semble apprendre son métier en même temps que la saga (ce qui est normal après tout), même si son sur-jeu s'est un peu calmé par rapport au troisième film. "Harry Potter et la Coupe de Feu" reste donc un très bon film mais fait tout de même pâle figure face au roman, quant à lui beaucoup plus riche et développé !
Un quatrième aussi réussi que ses précédents ; l'histoire est captivante autour de ces différents épreuves et la fin est très sombre et laisse présager,un destin plus sombre pour la suite 18/20