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Okeanos
1 abonné
24 critiques
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0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Une honte pour nous !! Je me suis ennuyé, et ce film a réussit à m'agacer ! Peu de contenu, pas amusant, même pas drôle, lourd ... bref, pour écervelés en puissance !
Que toutes les variantes - ou déviations (selon sa sensibilité propre)- sexuelles existent, on le savait déjà !! En faire un film, Pourquoi pas? Là où le message ne passe plus c'est que ce film est dépourvu d'intentions et il n'est même pas drôle. C'est une répétition de scènes ennuyeuses et de mauvais goût. Le seul talent qu'on peut reconnaître au réalisateur c'est d'avoir éviter - de justesse- l'obscénité. Si vous recherchez un film sur la liberté sexuelle allez voir "coquillages et crustacés", vous en ressortirez le coeur et l'esprit réjouis autrement, pour une approche clinique, lisez FREUD vous en apprendrez beaucoup plus surla question.
Le génie de John Waters transfuge chacune des secondes de A Dirty Shame, le dernier film en date du pape du trash. A l'aide d'un humour crasseux et vulgaire, John Waters taille comme il se doit l'Amérique puritaine grâce à des "apôtres du sexe" envoyés par Dieu. Certes c'est anticlérical et les conservateurs en prennent plein la gueule (à juste tite), mais putain qu'est-ce que c'est bon... Un univers à la Russ Meyer auquel vous pouvez ajouter des animaux et des arbres qui baisent ainsi que des acteurs excellents tels que Johnny Knoxville, Tracey Ullman, Chris Isaak et Selma Blair qui ne pensent qu'au sexe et vous obtiendrez A Dirty Shame. Si vous êtes coincés, que vous n'aimez pas le second degré et qu'une caricature de l'Amérique vous est incompréhensible, alors passez votre chemin sinon... foncez !!!
John Waters nous réserve encore quelques surprises sulfureuses avec A Dirty Shame. Le réalisateur le plus déjanté dHollywood nous avez déjà étonné avec des films comme Polyester (1987) & Serial Mother (1994). Cette fois-ci, il sagit dune comédie mêlant humour noir et sexe. Suite à un accident, une femme bien sous tout rapport va se métamorphoser en déesse du sexe et ce, grâce aux pouvoirs de Ray-Ray, un gourou du sexe qui lui informe quelle a été envoyée du ciel et à pour mission de renforcer le pouvoir du sexe sur les habitants de la petite ville de Baltimore. Une comédie décalée, totalement barge, et résolument déconseillée au moins de 12 ans. Un film surprenant, avec des acteurs déchaînés, Tracey Ullman (la déesse du sexe), Johnny Knoxville (le gourou) & Selma Blair (la danseuse exotique dotée dune poitrine monstrueusement gigantesque). A Dirty Shame est résolument une formidable comédie, qui vous plonge dans lunivers du sexe, pour un public avertis.
Un faux film provocateur redondant. John Waters est loin de la réussite de Pecker ou Cecil B. DeMented, et surtout très loin de la réussite de son meilleur film à ce jour Serial Mother. Corrosif certes, joussif non (à part pour les protagonistes...). Grossier oui mais John Waters tourne rapidement en rond et ne parvient que très rarement à faire sourire. Certaines idées font mouche et on appréciera la participation aussi physique que spirituelle de David Hasselhoff qui envoie la révélation aux héros du film. Une satyre du puritanisme américain lourdingue, où les comédiens semblent néanmoins impliqués. John Waters s'auto-caricature et sa provocation tombe dans l'excès inutile. Néanmoins la critique hollywoodienne et la dérive que fait le réalisateur en transformant l'invasion d'aliens récurente en invasion des nymphomanes est assez marrante. On en sort épuisé, on oublie ce qui s'est passé aussitot les portes du cinéma refermées derrière nous avec une impression d'avoir été lavé à l'eau de javel durant une heure et demie et néanmoins content de recouvrer la vue et un peu de jugeote. On ne peut plus décevant.
Ce film ce veux choquant. Mais il ne dépasse pas le niveau pipi-caca des enfants de 4 ans ! J'ai hésité à quitter la salle à plusieurs reprises, espérant quelque chose qui n'est jamais arrivé. La critique tient parfaitement dans le titre !
Vraiment sympathique!!! Oui le film peut être considéré comme une série B(voire Z) mais il n'a pas d'autre prétention que de nous faire passer un bon moment en riant sur un sujet pourtant assez peu léger(l'intolérance d'une petite ville américaine:Baltimore).Franchement plus réussi que son précedent effort(Cecil B.Demented), le film aligne des scènes souvent drôles(les nombreuses séquences dans l'épicerie sont très réussies) avec un rythme certain, le tout sur une très belle bande originale(vraiment)qui rappelle l'ambiance de "Cry Baby"...mais en beaucoup plus délurée! Mais le film tient surtout sur ses interprètes féminines(allez donc le voir de préférence en v.o.), toutes plus impayables les unes que les autres: Tracey Ulmann est impeccable en mère de famille tantôt coincée, tantôt très "libérée", Selma Blair irrésistible dans son rôle de "bombe" sexuelle(arrêtée par trois fois pour attentat à la pudeur et affublée d'un bracelet électronique!)qui regarde en fait des séries à l'eau de rose en cachette, mais mention spéciale à Mink Stole(la copine de Bervely Sutphin dans "Serial Mother"), qui se bat contre la dépravation, et surtout à Suzanne Sherperd qui est la plus comique du film: voir cette vieille femme lancer des répliques bien senties et qui deviendront peut être cultes est très jouissif. Et dans l'ensemble les dialogues, très gratinés,sont excellents, remplis de savoureuses périphrases...ou au contraire complétement trash!!! Finalement l'humour de ce film se rapproche du vulgaire trash d'un Ab Fab(la série bien sûr pas le film!)et si quelques gags pêchent par lourdeurs,le film fait mouche la plupart du temps et se permet même un "cameo" très réussi!
Une idée de base amusante mais qui ne sera pas concrétisée... Le film semble long car ennuyeux. Seul la scène de danse dans la maison de retraite ma fait rire: "Je mets le doigt devant, je mets le doigt derrière, je met le doigt devant, je met le tout petit bout!..." etc..
Film de mauvais gout.1h30 semble une éternité c'est d'ailleurs pourquoi plusieurs personnes ( des personnes agées surtout) ont quitté la salle a la moitié du film.Pas drole on esquisse a peine un sourire, une sorte de The Rocky horror picture show absurde et baclé qui finit franchement par agacé et par se demander ce qui nous a pris de dépassé de l'argent et du temps pour une fable désopilante sur le puritanisme et la sexualité américaine.