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TTNOUGAT
516 abonnés
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1,0
Publiée le 2 février 2009
Grosse déception.Avec un casting pareil et Bronson sortant de l'extraordinaire "passager de la pluie"je me suis mis à rêver.Fallait pas :Young n'est pas Clement,loin s'en faut.Ce film est ni fait ,ni à faire,le scénariste est soit incompétent soit totalement superficiel car il y a des invraisemblances toutes les 5 minutes et forcement au bout d'une heure ,ça fait plus qu'agacer.Il y aura juste à retenir pour la petite histoire que grâce à la couleur,on peut voir blanchir doucement le visage de J.Mason ,de plus en plus, au fur et à mesure qu'il perd son sang.C'est ce que T.Young a trouvé de plus original à nous montrer.Imaginez le reste?
Film mineur dans la carrière de Bronson, De la part des copains reste un sympathique polar ou sa star assure avec une décontraction sympathique que l'on lui connait parfois et affronte des anciens " collègues" sur la côté d'Azur dont James Mason et Michel Constantin. Derrière la caméra, on retrouve le vétéran Terence Young qui emballe le tout sans génie mais avec efficacité ce qui suffit à rendre le tout divertissant reposant quand même en grande partie sur le charisme de sa star.
Un film simple et efficace, Terence Young (à qui l'on doit 3 James Bond dont le 1er) mène rondement son affaire avec un certain suspense, une bonne scène de poursuite en voiture parfaitement filmée et aucun temps mort; on peut chipoter sur personnage de Jill Ireland en hippie pourtant le solide casting apporte beaucoup au film avec notamment un Charles Bronson très en forme. Rien de grandiose mais ce divertissement fonctionne parfaitement.
L'histoire n'a rien de franchement originale, mais la mise en scène de Terence Young se suit sans ennui et fat que ce petit film d'aventure se visionne comme un bon divertissement.
Curieuse carrière, quand même, Terence Young. Immortalisé par « James Bond », auteur d'un second film intrigant et prometteur (« L'Étrange rendez-vous »), un très bon thriller (« Seule dans la nuit »)... et pas grand-chose d'autre, en tout cas que je connaisse. « De la part des copains » fait partie du « reste », un polar (pourtant adapté du grand Richard Matheson) des plus quelconques, sans la moindre envergure. Au moins cela a t-il le mérite de la clarté dans le déroulement du récit et de se regarder sans trop d'ennui, à défaut d'être captivant (euphémisme). Qu'écrire de plus ? Qu'on a droit à une course-poursuite relativement sympa, que la présence étrange et (très) sensuelle de Jill Ireland donne un léger piquant, que Young a su s'entourer d'un casting d'experts (généralement en fin de carrière), mais franchement, avoir James Mason, Liv Ullmann et Jean Topart pour leur offrir des rôles aussi stéréotypés, ça s'appelle du gâchis. Car quand on y regarde bien, il y avait sans doute de quoi faire quelque chose d'intéressant en exploitant vraiment le potentiel des personnages, à l'image de la relation ambigu entretenue par Joe et Ross, ne débouchant sur presque rien, le montage apparaissant également défaillant à plusieurs reprises. Peut-être aurais-je toutefois mis une seconde étoile s'il n'y avait pas ce dénouement incroyablement bâclée, conclue avec une légèreté assez dingue... Vaguement regardable, et tout à fait dispensable.
Même si le scénario est assez convenu et a régulièrement des airs de déjà vu, on ne s’ennuie pas avec ce film typique de l’époque qui présente un Charles Bronson conforme à son personnage : sans exubérance, taciturne, plutôt physique. Outre la remarquable mise en valeur de l’arrière-pays niçois, la réalisation est en plus particulièrement rythmée, avec une rapide entrée en matière, des scènes d’action savamment positionnées, notamment une époustouflante poursuite en voiture qui reste un modèle du genre. Ultime point fort, la distribution autour du héros : Liv Ullmann, Jill Ireland, James Mason.
Je n’ai pas vraiment été convaincu par ce film d’action de Terence Young. Le scénario aurait mérité d’être amélioré et un peu moins plat, les dialogues sont à revoir, la mise en scène du réalisateur n’a rien d’exceptionnelle, l’intrigue fonctionne très mal et pour finir je me suis un peu ennuyé. Bref ça ne vaut pas plus de 06 / 20.
De la part des copains est un long métrage agréable où se distingue Charles Bronson particuliàrement en forme. L'histoire n'a rien de franchement originale, mais la mise en scène de Terence Young se suit sans ennui et fat que ce petit film d'aventure se visionne comme un bon divertissement.
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2,5
Publiée le 31 octobre 2022
En 1970, Terence Young adapte Richard Matheson au cinèma et aucune possibilitè pour le cinèaste anglais de pratiquer les genres de prèdilection du romancier amèricain! Ici nous sommes dans le polar d'aventures à « suspense » avec un ancien truand (Charles Bronson) retirè sur la Côte d'Azur avec sa famille, qui se fait relancer par ses ex-complices! Pas vraiment sympathique les copains du grand Charles mais ce dernier cogne dur lorsqu'on lui marche sur les pieds, jouant autant l'èpaisseur psychologique que la brutalitè! Une distribution de prestige (trop parfois notamment James Mason, sous-exploitè) et une histoire musclèe permettent de passer un bon moment entre Grasse et Beaulieu sur Mer (Bronson et Young s'entendent à merveille, ça aide ceci-dit). Côtè actrice, la blonde est mise à l'honneur dans ce film avec Liv Ullmann et la baba Jill Ireland! Un petit classique de la Paramount, peu mèmorable mais toujours efficace quand il s'agit de filmer une poursuite en voiture...
Une petite série B d'action comme Bronson avait l'habitude de nous en offrir, et qui est, je dois le dire, bien meilleure que la quasi-totalité ("Mr Majestyk" et "La Cité de la Violence" exceptés) de ses autres films du même genre (ça ira même de pire en pire avec des trucs comme "Chicanos", "Kinjite" ou "Le Justicier de New York"). Réalisé par Terence Young, tourné en France, on y trouve notamment James Mason, Michel Constantin, Liv Ullman, Jill Ireland et Jean Topart, et le film, ressorti en DVD/BR sous son titre original ("Cold Sweat"), est basé sur un roman de Richard Matheson, auteur ayant aussi bien oeuvré dans la SF, le fantastique/horreur que le suspense policier. Je ne sais pas ce que vaut le roman et ne le saurai sans doute jamais, mais le film, sans casser des briques en soufflant dessus, est très très correct.
PRIS AU PIEGE. Il était une fois sur la côte d'Azur, un ex mercenaire sorti tout droit d'une évasion. On n'emmerde pas le justicier. Nanar quand tu nous tiens. Terence Young invite ses potes pour des petites vacances sur la grande bleue. Mal écrit, mal filmé, Young trop vieux n'est pas pressé. Vous les copains, je ne vous oublierai jamais.
Pas grand chose à en dire, c’est du cinéma d’action à la papa, ni bon, ni vraiment mauvais. On a pour s’occuper une longue scène de voiture plus ou moins réussi et Charles Bronson qui gonfle ses biceps dans un t-shirt trop petit tout en éclusant des whiskys qui feraient peur à un marin breton. James Mason est sous exploité, tout comme Charles Bronson d’ailleurs, les deux étant visiblement là pour raison alimentaire et pour profiter du soleil de la Côte d’Azur. Charles a faim son personnage a soif.
Un thriller plutôt bon mais qui ne se regarde qu'une seul fois , en effet on peux être vite laser par un second visionnage mais même au bout d'un moment durant le film on commence à ne plus suivre car certaine scène sont trop long trop étirer, celle en voiture notamment . Charles Bronson convaincant dans le rôle principaux , les thriller sont souvent angoissant ici ce n'est pas le cas cela est même mieux . Le scénario bien pas sans plus . résumer :
Ce film décrit les efforts de Joe Martin (Charles Bronson) rattrapé par son passé qui doit libérer sa femme, prise en otage par des trafiquants de drogue. du déjà vue certes même à l'époque, parfois monotone .
Pour tout dire, j'étais prêt à accorder deux étoiles à ce film. Deux étoiles généreuses, j'en conviens, mais j'étais prêt. En fin de compte, c'est impossible. Y a deux trucs qui m'ont chiffonné. Déjà, on va se pencher sur le cas de Jill Ireland. La seule chance que cette femme ait eu, c'est d'avoir été la femme de Charles Bronson. Sans ça, elle n'aurait jamais fait de cinéma. Malheureusement, Charlie a souvent eu la bonne idée de la faire engager de force dans les films dans lesquels il tournait. Ici, "l'actrice" irlandais (pas mal la coïncidence) est plus belle que jamais... mais aussi plus mauvaise que jamais. Mon dieu, qu'elle est insupportable. Sérieux Charlie, t'as abusé grave ! Et la fin du film. Mais c'est quoi ça sérieux ? Young, tout d'un coup, prend congé de son spectateur et se désintéresse totalement d'une partie d'intrigue qui restait à résoudre. Et les toutes dernières minutes sont franchement bâclées. Et prennent pour une andouille le mec qui regarde ça. Bien dommage que Bronson ait prêté son concours à un film pareil.