Avis : Banlieue 13 - Page 7

On sent la patte Besson dans les dialogues percutants (limite récités) et l'action qui dépote. Le scénario est basique (des opposés qui s'entraident et accessoirement deviennent potes) mais les cascades et scènes de bastons sont sculpturales ! Un très bon divertissement servi par une BO chahutante.
Un très bon moment qui décoiffe :)

Banlieue 13 est un film d'action qui est pas mal avec un scénario qui est assez simple , il y a beaucoup d'action et de combats donc c'est un film qui est pas mal mais sans plus

Paris, 2013. Damien est l'élite de la police. Il va devoir s'infiltrer dans la pire des banlieues pour désamorcer une arme de destruction massive voler par un gang.

Entre Yamakasi et Taxi, Banlieue 13 n'a qu'un seul objectif : divertir le spectateur avec des scènes d'actions plutôt réussies, le scénario n'étant qu'un prétexte pour justifier bagarres et cascades. Le résultat n'est pas horrible mais pas génial : tout juste digeste. Les connaisseurs reconnaitront aussi l'influence de New York 1997 dans ce film.

Film interessant qui aurait pu etre mieux.J'hésitais entre 2 et 3 étoiles et j'en mets donc 3 pour les cascades impressionnantes et très bien faites.

Politiquement correct de bas étage, haine des élites, clichés à qui mieux-mieux, acteurs pitoyables, bons sentiments pathétiques, incohérences et approximations à tout-va, relents de Yamakazis, actions répétitives et accompagnées d'une bande son inécoutable, etc. Tout ce qu'il fallait pour obtenir un film abject a été réuni dans ce film. Pourtant, l'idée de départ, celle de la ghettoisation extrême des banlieues sensibles désormais séparées par un mur, était prometteuse. Malheureusement, mise entre de mauvaises mains, elle donne un film irregardable. A éviter absolument.

Un repompage largement amélioré de New York 1997.

Derrière un jeu d'acteur discutable se cache une fable de l'ingérence de certains quartiers sensibles en France et si l'on pardonne quelques incohérences et facilités scénaristiques, on ne peut qu'être impressionné par les cascades qui, elles, sont plus que réussies.

film vraiment nul, Luc Besson nous a produit de la daube. A vite oublier.

Bon là, ça va plus du tout. Besson a pété un câble en nous pondant ce somptueux nanar plus raccoleur tu meurs, plus démago tu te foudroies sur place, plus crétin tu pleures. Passons sur des comédiens à la ramasse (mis à part 2-3 figurants), un scénar bas du front écrit en 2 heures chrono (avec des punchlines navrantes en guise de dialogues toutes les 3 phrases, des discours idéologiques qui font très très peur et des ficelles narratives plus grosses qu'un éléphant obèse) ou encore une mise en scène epileptique qui ne laisse guère le temps d'apprécier des chorégraphies vraiment impressionnantes sans oublier une musique juste horrible, une production design moche (je trouve pas d'autre terme) ou encore des idées saugrenues telle que la soeur du héros qui est caissière au supermarché du coin (le tout alors que la banlieue est censéé être coupée de tout, vachement crédible) mais alors me direz-vous, que reste-t-il à sauver ? Et bien rien bon sang de bois, nada, nothing, queud, du vent. Et le film a fait plus d'1 million d'entrées ! Je suis prêt à quelques sacrifices pour me divertir, mais faut pas non plus trop pousser.

De bonnes cascades sauvent ce film qui reste franchement médiocre.

En lui-même, le film est plutôt moyen, les scènes d'action sont trop longues, et assez ridicules (oui, les héros peuvent courir, sauter à travers des fenêtres, peuvent faire des combats en passant leur pied derrière leur tête avec leur main dans le dos et l'autre main se grattant la nuque...mais bon, c'est amusant 5 minutes), les dialogues sont ahurissants de bêtises mais bon, on ne s'ennuie pas trop durant le premier quart d'heure...

Mais lorsqu'intervient le personnage le plus ridicule de toute l'histoire du cinéma français, j'ai nommé Carlos Montoya, on atteint des sommets... La scène est longue, abrutie et totalement superflue. Marc Andreoni est mauvais comme on ne peut l'imaginé et on pense alors tout de suite à une parodie des Inconnus...Il ne faut pas non plus oublier toute l'espèce de revendication sur l'abandon des banlieues (ridicule, le leitmotiv de ce film) qui donne à ce film le ton politiquement correct et nauséabond que je lui critique. J'ai rarement vu un film aussi mauvais, dû à cette idée idiote d'en faire un film à revendication. A noter l'apparition de Ludovic Berthillot qui prépare son rôle dans le film Black, 5 ans avant, tout comme celle de MC Jean Gab’1 qui a peut-être la phrase la plus drôle du film : "Ici c'est pas Monaco, ici c'est Baghdad...". Le pauvre, être réduit à dire ça après avoir prouvé ses qualités de parolier avec le jouissif J’t’emmerde.

Après Samouraïs de Giordano Gederlini, on a trouvé la nouvelle honte du cinéma français. Ce film a perdu de l'argent et a malheureusement engendré une suite que je n'ai pas encore vue...

Un film d'actions basés essentiellement sur la beauté esthétique des cascades qui en oublie même de se créer un scénarios.
Le rythme et les courses poursuites permettent tout de même de regarder ce film sans prise de tête.

un bon film d'action pas trop mal mai des acteur pas terrible

film d'action à la française dont le seul intérêt réside dans les acteurs, en effet ils sont tous des cascadeurs professionels et réalisent des figures et courses poursuites dans la veine des Yamakasis. C'est impressionant... pendant 5 minutes.

C'est avec des cascades impressionnantes que "Banlieue 13" lance les opérations. Réalisé par Pierre Morel, ce film d'action brute français montre un gros travail de forme dans ses chorégraphies mais livre également de grosses lacunes dans son script qui s'apparente plus à un récit d'adolescents en mal de sensations fortes qu'à un scénario de film. C'est donc en cette occasion que l'on découvre police stéréotypée, mafia parodiée et gros méchants pas contents. Jonglant plus ou moins bien sur un rythme bien construit, Cyril Raffaelli et David Belle enchaîne les prouesses corporelles en boxant, sautant et grimpant tout ce qui se dresse sur leur passage. Divertissant par moment, "Banlieue 13" reste tout de même très primitif dans son écriture et c'est ce qui restera tristement de ce long-métrage à l'arrivée du générique final.

Très clairement inspiré de New-York 1997, saluons l'idée de base intelligente et visionnaire, et détestons le reste. C'est dommage, mais c'est du Besson !