Avis : Susie et les Baker Boys - Page 2

Si le trio d'acteurs est plutôt convainquant en revanche la réalisation manque de dynamisme et le scénario demanderait un peu plus d'ambition. Ainsi le temps passé par les acteurs la clope au bec est impressionnant.

Petit bijou jazzy sensible et sensuel d'alors, de ces inimitables années 80 dans leur côté rose bonon, Susie et les BAker Boys célèbre les cabarets enfumés comme autant de lieux de perdition, l'amitié, les trajectoires brisées et l'amour impossible bien sûr… Grande idée de prendre 2 frères dans la vie (Beau et Jeff) pour incarner ce duo alternant parfois le divin et souvent le pathétique. Puis on se rappellera toujours de ces premières auditions de Michelle Pfeiffer qui électrisent le fonds de l'air, saturé d'émotion vraie. Etonnant en revanche qu'on n'aie jamais ré-entendu parler de ce réalisateur à part sur le scénario de la saga Potter.

Une légère déception. Le film est parfois drole et touchant, et les acteurs sont excellents, mais il est vrai qu'on attendait encore mieux de ce film. L'ensemble est agréable mais les personnages manquent un peu de profondeur, et c'est peut-être ce qu'il manque pour que l'on s'attache à eux. Je trouve ce film un peu surfait donc, même si il est très agréable.

The Fabulous Baker Boys est un joli film, au charme doux et poétique, et l'on regrette que ce premier film de Kloves soit quasiment le seul qu'il ait tourné. Rien de véritablement novateur dans le scénario de cette romance douce-amère et mélancolique, mais le tout est filmé avec une simplicité rafraichissante, et l'on se prend à éprouver une réelle sympathie pour ce groupe de musiciens un peu losers, abonnés aux petites salles et aux hôtels de seconde classe.
L'intérêt du film ne tient pas tant dans l’idylle de Susie et Jack - comme pourrait le laisser penser la mauvaise traduction française du titre où Susie tient le premier rôle -, que dans la relation tumultueuse d'amour fraternel et de rivalité qui unit les frères Bakers. Des frères différents, l'un pragmatique et communicatif, l'autre poète, taiseux, n'ayant pour compagnie que son vieux chien et la petite voisine du dessus, et n'étant jamais aussi passionné que durant les impro qu'il joue dans un petit rade des bas-fonds New-yorkais.
The Fabulous Baker Boy est un film plaisant à regarder, sans fausses notes, à l'image des prestations du trio. On aurait aimé qu'il transcende son sujet, et aille explorer la mélodie vibrionnante et furieuse des improvisations de Jack, là bas dans les petits rades des bas-fonds New-yorkais.

Un film qui se goûte comme une tranche d'humanité chez une bande de musiciens un peu paumés, au carrefour de changements dans leur vie. Jeff Bridges et Michelle Pfeiffer sont des vraies gueules de cinéma, magnétiques. On passe un bon moment.

The Fabulous Baker Boys, un bon film avec un scénario sans vraiment de surprise assez prévisible mais on passe tout de même un bon moment.
Les deux frères jouent bien leur rôle de pianistes, le plus jeune renfermé sur lui même, légèrement alcoolo et le cadet plus réaliste mais un peu simple.
La musique, l'ambiance est au rendez vous, le rire est aussi présent, bref un bon film.

Un film qui fait du bien ! Au son d'une musique jassy si agréable, s'enchaîne une histoire douce au scénario peut être trop vite achevé. Mais qu'importe, on nous gratifie tout le long d'une bo apaisante de haut vol qui met parfaitement en lumière un trio d'acteurs au top (Michelle Pfeiffer en tête). Si vous voulez ne pas vous prendre la tête, savourez avec plaisir cette comédie romantique.

Une des pepites cinematographiques sabs pretentions mais tellemement astralement supérieure a ce que l'on nous refile de nos jours sur Netflix,C+ ou Prime ou les creations sont soit hyper violentes avec du C-L et du Sang ! Ou la plupart dy temos absolument nulles! Sans scenario et mal joué ,bref, des purs navets ...c'est tellement triste que je ne regarde plus quasiment que des DVD et autres Divix enregistrés avec clairevoyance .. comment aurai-je pu deviner la chute vertigineuse du 7eme Art sous le second quinquénat de Moqueront 1er! Jai eu du nez!

D'une beauté simple, remarquablement interprété
Juste un peu long. Michelle Pfeiffer avant les ravages de la chirurgie esthétique...