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    Un Colt nommé Gannon
    Note moyenne
    2,8
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    6 critiques spectateurs

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    bobmorane63
    bobmorane63

    154 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 août 2023
    Remake de "L'homme qui n'a pas d'étoile " de King Vidor avec Kirk Douglas, j'ai une préférence pour l'original. Avec "Un colt nommé Gannon" , on reprend la même histoire qui a l'air soit disant plus étoffée car il dure plus longtemps en durée mais il y a des scènes avec les mêmes décors, les mêmes lumières sur quelques plans, quelques scènes similaires qui aurait peut être pu faire s'amuser de la comparaison mais le cinéaste James Goldstone n'est pas Howard Hawks niveau talent. Il a des comédiens pas très bons comme Anthony Franciosa qui n'a pas le charisme ni le talent de Kirk Douglas, Michael Sarrazin non plus n'est pas terrible et les actrices sont sexy à l'écran mais ne font pas oublier Jeanne Crain. Le film est sortit en 1969 à l'heure de la mode des Westerns spaghettis ou violents mais avec ce film en plein milieu, ça commence à pâtir. Un remake inutile.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    518 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 novembre 2015
    Le seul intérêt de ce film est d’être le remake d’un ‘’chef d’oeuvre’’ ce qui permet d’expliquer aux néophytes les codes du western. Dans ‘’l’homme qui n’a pas d’étoile’’, tout est précis alors qu’ici tout est approximatif, les acteurs bien dirigés dans un cas, laissés beaucoup trop libres dans l’autre, la sobriété de la mise en scène d’un coté, une sophistication extrême de l’autre qui n’est d’ailleurs pas sans intérêt du coté esthétique mais qui n’a pas sa place dans ce type de film. Il faut montrer le minimum et laisser le spectateur imaginer le plus possible ce qu’il aime ressentir, il ira tout seul ou il a envie d’aller. Goldstone se débrouille plutôt bien, ses images sont souvent belles, ses montages réussis et ses fondues sont doublées de musique très agréables; le problème est que tout cela n’est jamais adapté au scénario de ce film et il y a une foule d’anecdotes visuelles inutiles qui confèrent un flou permanent aux caractères de tous les personnages auxquels on ne peut s’attacher. En plus, comme une grande partie du temps on ne comprend pas vraiment tout ce qu’il se passe : de courtes séquences commencent alors que celles qui se déroulent ne se finissent pas, l’attention décroche. Dans ces conditions le final devenait infaisable, il en devient insolite et même ridicule. Un bon western doit être solide comme un roc, ici il se dilue le plus souvent dans le n’importe quoi. Les deux femmes en particulier sont complètement hors du contexte. Susan Oliver (Matty) bien trop invraisemblable et moralisatrice, Judi West (Beth) carrément surréaliste en patronne de ranch, il faut la voir pour le croire, on pourrait les interchanger sans inconvénients. Seuls leurs charmes féminins nous permet de les supporter.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    1969, c'est presque l'époque de la fin du western US, de plus en plus supplanté par le western spaghetti. Malgré cela, ce petit western tient largement la route face à la ribambelle de simili westerns italo-espagnols qui envahissent les salles européennes à la même période. Les acteurs sont quasiment inconnus hormis peut-être Anthony Franciosa qui a tenu un certain nombre de rôles de second plan. Quant à James Goldstone, il a surtout réalisé des séries TV. Le scénario reprend l'éternel thème de lutte et jalousie entre éleveurs, ravivant la guerre des barbelés. Il s'attache aussi davantage à la psychologie des personnages plus qu'à nous montrer un héros solitaire armé jusqu'aux dents. Quelques bonnes bagarres égaient le métrage et rendent l'histoire agréable à suivre. Évidemment, Goldstone ne joue pas dans la même cour que les grands du genre, Hawks, John Ford ou Anthony Mann mais il nous livre une œuvre bien ficelée.
    Thibault F.
    Thibault F.

    44 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2016
    Un western loin d'être inoubliable que ce soit sur le fond comme sur la forme. Anthony Franciosa dans le rôle de Gannon fait le job tout en cabotinant. Très difficile de faire une critique sur une oeuvre qui ne possède pas une âme profonde. Ce western est ni bon, ni mauvais en explorant des thématiques usées jusqu'à la corde... On a une alternance d'ennui et d'amusement. Bref, à l'exception de sa BO de qualité, il n'y a pas grand chose d'excitant à conserver !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 octobre 2015
    Premièrement en 1968 ou 69 nous sommes dans une période où il y a eu beaucoup westerns spaghetti, je pense que c'était plus compliqué de tourné un western américain mais malgré tout il y a eu de très bons westerns américains ( 7 secondes en enfer, Will Penny..) à cette période dont celui ci que je viens de découvrir qui traite un moment difficile de l'histoire de l'Ouest. Les acteurs sont assez bons notamment Anthony Franciosa qui devait être un très bon cavalier Il est aussi très bien filmé avec de beaux plans et il y a une très belle musique de film de Dave Grusin.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 avril 2023
    Ce que je préfère dans les westerns, ce sont l’action, les rapports psychologiques entre les personnages et la perspective historique. Donc, ne m’ont intéressé dans ce film que l’histoire sur les fils barbelés (le 24 novembre 1874, l’Américain Joseph Glidden de DeKalb de l’Illinois déposa le brevet du fil de fer barbelé le plus répandu et construisit la première machine capable de le produire en grande quantité. Il s'agissait d'une version améliorée qui rencontra plus de succès que l'invention de Louis Jannin en France en 1865) et les intéressants travaux de plomberie en lien avec les WC. L’idée de confronter un cowboy aguerri et tourmenté joué impeccablement par Tony Franciosa (une très belle « gueule » de cowboy) et l’oie blanche jouée par Michael Sarrazin est classique, mais intéressante sur le fond. Cependant sur la forme, c’est long, lancinant, ça avance péniblement, pour, lors d’un gunfight final avorté, entendre le héros exprimer sa souffrance en expliquant à son padawan qu’il est sur la mauvaise pente. Tout ça pour ça… non merci… « Un colt nommé Gannon » est film barbant à base de barbelés.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
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