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    La Dernière maison sur la gauche
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    151 critiques spectateurs

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    Chaill
    Chaill

    12 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mai 2014
    Ce film n'est en rien un film d'horreur, juste une démonstration de sadisme et d'ultra violence gratuite, à réserver aux pervers amateurs de ce genre de "spectacle" malsain. J'invite ceux qui qualifient ce film de "culte" à visionner le 1er Evil Dead, Street trash ou encore Braindead afin de juger ce qu'est vraiment un film d'horreur culte. On a affaire ici à une bouse digne d'un amateur qui s'éclate avec le caméscope de son père, avec un scénar qui tient sur une feuille OCB.
    Yetcha
    Yetcha

    741 abonnés 4 268 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 janvier 2016
    Même si la photographie, le jeu et la réalisation en général ont pris un coup de vieux, il reste regardable par les amateurs du genre, notamment pour parfaire sa connaissance des oeuvres de Wes Craven. Il inspirera d'ailleurs plus tard Day of the woman ou encore Funny Games par l'intrusion de malades obsédés et avides de violences sadiques. Wes Craven a le mérite d'être le "premier" à proposer un thème comme celui-ci en y apposant des scènes gores et quasiment sans tabou. A découvrir, plus par curiosité que pour sa qualité.
    pfloyd1
    pfloyd1

    100 abonnés 2 025 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 mai 2023
    Bien que l'on puisse pardonner certains ratés et l'amateurisme de la réalisation du à l’époque (1972), le film est complètement nul. A commencer par des acteurs certainement débutants et bien médiocres, une bande son totalement inadaptées pour le genre: de la country et de la pop des années 70 pour un film d'horreur ? Vraiment ? L'histoire tient à peu prés debout, du moins le scénario, propre à Orange Mécanique où une bande de sadiques s'en prennent à deux jeunes filles en fleurs en leur infligeant quelques tortures "légères" et mal interprétées. Pour l’époque c’était osé, aujourd'hui ce serait risible. La réalisation est tellement mauvaise que l'on ressent aucune empathie pour le sort de ces deux jeunes filles tellement c'est mal joué. Entre certaines scenes de nudité et de terreur qui ne convainc pas, ce film ne vaut pas grand chose. Préférez largement le remake de 2009 !
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Premier long-métrage et première polémique importante pour Wes Craven dont le film se verra interdit pendant trente ans au Royaume Uni. Réalisé en 1972, "La dernière maison sur la gauche" est un remake déguisé de "La Source", film médiéval d'Ingmar Bergman sorti douze ans plus tôt. À l'inverse de son originel suédois, "La dernière maison sur la gauche" se veut ancré dans son époque. Craven y dresse le portrait d'une Amérique à la croisée des chemins, à peine sortie de la libération sexuelle et de la génération hippie. Le cinéaste semble sonner le glas de cette période à travers les quatre fous furieux qu'il met en scène. On peut y ajouter la peinture jubiliatoire des policiers, présentés comme incompétents, incapables et stupides. Malgré un budget faible, le film fait preuve d'inventivité et reste d'une redoutable efficacité. Ce qui fait enfin la particularité du film est qu'elle contient aussi de nombreux instants bucoliques et comiques (la musique country possède a une grande importance), ce qui permet au spectateur de respirer avant un carnage.
    videoman29
    videoman29

    203 abonnés 1 809 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2021
    En 1972, le grand cinéaste Wes Craven (« Les griffes de la nuit », « Scream ») réalise son premier film... qui se révèle terriblement choquant et qui fait d’ailleurs immédiatement scandale (Il restera interdit pendant près de 30 ans en Grande Bretagne). « La dernière maison sur la gauche » alterne des passages étonnamment légers et bercés par une musique aérienne... avec des scènes d'horreur terribles et glaçantes de réalisme. C'est sans doute la plus grande force de ce film éprouvant et qu'il ne faut surtout pas mettre entre toutes les mains... son ultra-violence est bien ancrée dans la réalité et on ne peut que s'identifier aux pauvres victimes, confrontées à un groupe de prédateurs dénués de pitié. Le calvaire subit par ces jeunes femmes reste longtemps en mémoire, ce qui rend « jouissif » la dernière partie du film, consacrée à la vengeance libératrice. Évidemment, s'agissant d'une première œuvre, le budget est très limité, même pour l'époque. Le film a donc assez mal vieilli visuellement. Il conserve pourtant une bonne partie de son aura d'origine et reste à tout jamais comme une pierre angulaire de l'histoire du cinéma d'horreur. A noter, la sortie d'un remake plutôt efficace en 2009.
    Romain Saint-prix
    Romain Saint-prix

    29 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 décembre 2022
    Film de série B. Les acteurs ne sont pas bons, le scénario est bancale, aucune émotion ressenti à travers l'acting. Wes Craven était clairement dans ses débuts. Film à oublier.
    Shawn777
    Shawn777

    456 abonnés 3 320 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 novembre 2019
    Ce premier film réalisé par Wes Craven et sorti en 1972 est assez moyen. J'admire pourtant beaucoup le réalisateur mais j'avoue que j'ai eu énormément de mal à accrocher à cette histoire, dans l'ensemble plutôt atroce. C'est un rape and revenge un peu particulier car ce n'est cette fois pas la victime qui se venge elle-même de ses ravisseurs (comme le fera d'ailleurs "Day of the woman" quelques années plus tard) mais spoiler: ses parents, lorsque les violeurs trouvent refuge dans la maison de ces derniers
    . J'avoue également que j'ai découvert le remake homonyme de 2009 avant ce film et je dois constater que c'est une des rares fois où je préfère un remake au film original. Ce film est d'ailleurs lui-même un remake du film suédois "La Source" mais ne l'ayant pas vu, je ne pourrais pas comparer les deux films. Enfin bref, je trouve ici dommage que le réel intérêt du film, c'est-à-dire la vengeance, n'occupe que les vingt dernières minutes de film. Le film durant une heure vingt, nous avons ainsi une heure dans laquelle il ne se passe finalement pas grand chose puisque le viol ne dure que quelques minutes. Malgré tout, ces quelques minutes sont assez éprouvantes d'un point de vue psychologique car la violence y est montrée de manière très crue et je comprends d'ailleurs que le film ait fait polémique à sortie. Le film possède également beaucoup de longueurs, ce qui nous fait perdre le fil de l'histoire assez souvent. En ce qui concerne les acteurs, ils sont très bons et ont surtout un jeu terriblement réaliste, ce qui augmente l'effet de malaise que le film tend à donner. "La Dernière maison sur la gauche" n'est donc pas très passionnant et ce n'est certainement pas le meilleur film du réalisateur.
    Jérôme H
    Jérôme H

    137 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2009
    Le film a assez mal vieilli mais l'essentiel reste présent : l'ambiance oppressante que réussit wes craven dans ce film très flippant.
    heureusement les quelques défauts ont été habillement rectifié dans la version de 2009.
    Nico2
    Nico2

    78 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 août 2009
    Ayant découvert il y a quelques mois le remake de Dennis Illiadis, j'ai eu envie de visionner le film original que je connaissais de réputation. Disons le tout net: le premier long métrage de Wes Craven (également monteur du film) a énormément perdu de son punch et on a fait bien plus choquant depuis (la scèen du viol dans le remake est plus insupportable que celle de l'original). Néanmoins, le film de Craven joue plus sur la perversité et le décalage, particulièrement avec une musique en totale décalage avec l'intrigue. De ce point de vue, on pourrait reprocher au remake un certain classicisme, mais le film de Craven est totalement ancré dans son époque (les références sont d'ailleurs multiples). C'est pourquoi on peut énormément apprécier le travail de Dennis Illiadis sure le remake, à la fois fidèle et complètement différent. Néanmoins, le film de Craven n'est pas sans défauts: l'intrigue souffre de quelques invraisemblances (néanmoins moins que dans le remake) et les méchants sont, comme dans le remake, beaucoup trop caricaturaux, à l'exception de David Alexander Hess (également compositeur de la musique du film) formidable dans le rôle du terrifiant Krug. De plus, leurs scènes de dialogue ne sont absolument pas crédibles. Les scènes avec les deux policiers sont d'une rare inutilité et d'une grande lourdeur. La dernière maison sur la gauche 1972 est un film d'horreur fauché et violent quelque peu malsain qui ravira les fans mais qui ne séduit pas totalement à cause de faiblesses certaines. Pour ma part, je nourris une petite préférence pour le remake de 2009, même si ce dernier est loin d'être un chef-d'oeuvre également.
    Culturevsnews
    Culturevsnews

    56 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2024
    Wes Craven, architecte du genre horrifique, laisse une empreinte indélébile dans le paysage cinématographique avec "La Dernière Maison sur la Gauche". Dans ce tour de force, Craven explore les recoins les plus sombres de la psyché humaine, livrant un thriller psychologique d'une intensité rare, propulsé par les performances captivantes de Sandra Cassell et Lucy Grantham.

    L'intrigue débute par l'innocente quête de Mari pour fêter son dix-septième anniversaire, se procurant de la marijuana avec une amie. Cependant, leur rencontre avec Junior, un dealer associé à une bande de criminels menée par le redoutable Krug, catapulte le film dans un territoire cauchemardesque. Ce qui commence comme une quête adolescente dégénère rapidement en une nuit d'horreur insondable, confrontant les personnages et les spectateurs à une violence aussi brutale que psychologique.

    Les performances de Sandra Cassell et Lucy Grantham sont poignantes, incarnant avec une crédibilité troublante la terreur et la vulnérabilité de leurs personnages face à des agresseurs impitoyables. Leur jeu transcende l'écran, établissant une connexion émotionnelle profonde avec le public.

    Wes Craven, en maestro du suspense, opte pour une réalisation subversive et audacieuse. La mise en scène provocante, combinée à des choix narratifs surprenants, élève le film au-delà des conventions du genre, créant une œuvre qui dépasse le simple frisson pour devenir une méditation poignante sur la nature de la violence et de la vengeance.

    La bande sonore percutante, les séquences visuelles brutales et les choix esthétiques provocateurs forment un tableau cinématographique intense. Craven parvient à créer une ambiance oppressante, où la terreur émane autant des actes sauvages que des implications psychologiques, laissant le public dans un état de malaise durable.

    "La Dernière Maison sur la Gauche" s'affirme ainsi comme une pièce maîtresse du cinéma d'horreur, redéfinissant les codes du genre avec sa brutalité sans concession et son exploration subtile des tourments psychologiques. Wes Craven, en insufflant une nouvelle dimension à l'horreur, crée un classique qui continue de hanter les esprits et d'influencer les générations suivantes d'amateurs du cinéma de terreur
    CRITICATOR
    CRITICATOR

    33 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2009
    Ou la la, que ça vieillit , 1ère mouture de Craven qui a engendré un remake en 2009, celui ci n'est pas terrible non plus car tourné avec 1 € de budget, m'image fait mal au crane, l'action donne envie de vomir , bref, on pourra la comparer avec la nouvelle version tout aussi malsaine et moins pire .
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    588 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 avril 2017
    La seconde partie, réservant quelques idées de mise en scène agréables, relève un film navrant, simple postiche sur la violence, la perversité et la torture d'un adolescent pubère à la recherche de sensation forte. La Dernière Maison sur la Gauche s'avère fade, ennuyeux, et passablement vide.

    https://m.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
    DarkParadise
    DarkParadise

    101 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 décembre 2010
    Premier film de Wes Craven et il démarre fort, cette œuvre ne peut laisser indifférent de part le malaise qu'elle engendre. On ne pourra s'empêcher de la rapprocher de Massacre à la Tronçonneuse ou Maniac, deux autres films aux scènes chocs à la limite du soutenable et à l'ambiance des plus glauque. La force de La Dernière Maison... réside aussi dans un superbe retournement de situation des plus inattendu aux 3/4 du métrage. J'ai passé un agréable moment. Mais je dois tout de même avouer que je préfère son remake, ça doit être du au fait que le film à tout de même pris quelques rides.
    boscopax
    boscopax

    72 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2009
    1972. Le monde n'est pas prêt pour "La dernière maison sur la gauche". Bien sûr à la regarder aujourd'hui, cela reste un film d'horreur sadique dont les acteurs jouent mal (comme tous les films de l'époque, même les meilleurs Carpenter ou Craven). Mais remettez-vous en 1972 et imaginez les gens hurler ou avoir la nausée dans la salle de cinoche. Aujourd'hui la mode est au sadisme, toujours plus loin et plus dur (Saw, Hostel et j'en passe), mais Craven, en 1972 ouvrait la voie à un genre qui n'a pas été repris pendant....30 ans. Leb réalisateur se paie même le toupet d'accentuer toutes les scènes difficiles avec un musique quasi comique. Un film sur la déchéance humaine, la vengeance, l'horreur quoi.
    real-disciple
    real-disciple

    67 abonnés 1 022 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 septembre 2011
    Enfin vu...et pas hyper convaincu. La dernière maison sur la gauche s'est sans doute imposé à son époque mais le film ne fait plus mouche aujourd'hui, on a vu pire et pas seulement à la télé. Le film peut retenir l'attention sur le soin accordé à l'ambiance, on a d'un côté le luxe bourgeois et le cocon familial bucolique et de l'autre des hippies paumés, abrutis mais qui ne reculent devant rien, les scènes de torture ont du être terrifiantes pour les spectateurs de l'époque. Il faut tout de même savoir que le film devait être plus violent sans censure. Mais l'image est vieillotte, les acteurs sont mauvais, et la musique mal utilisée. Un film à voir pour sa culture perso, parce qu'il a traumatisé Tarantino enfant, mais en 2011 il n'a plus de fraîcheur. Il faudra faire avec TCM pour marquer l'histoire du genre deux ans plus tard.
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