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    La Vie est belle
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    zinjero
    zinjero

    19 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 février 2011
    Avec sa philosophie bibliothèque rose, son optimisme naïf, on se demande à quel public s'adresse ce film hyper démonstratif. Au passage, on apprend que les anges doivent mériter leurs ailes. Qu'advient-il à ceux qui échouent ?
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    666 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 août 2014
    Au dire de certaines personnes, "La vie est belle" est le meilleur film de Frank Capra et vu le résultat final j’ai bien envie de les croire bien que ce soit seulement le troisième film que je visionne de ce metteur en scène. Car une chose est sûr, c’est que ce film nous donne le sourire et une certaine joie de vivre après le générique de fin. L’histoire est vraiment très belle, le couple que forme James Stewart et Donna Reed est particulièrement attachant grâce évidemment aux formidables prestations des deux comédiens et la mise en scène de Frank Capra fait preuve d’une justesse comme on en voit malheureusement presque plus aujourd’hui. A noter aussi la très bonne prestation de Lionel Barrymore dans le rôle de cet homme avide d’argent et de pouvoir et la présence d’une superbe BO de Dimitri Tiomkin. Bref, cette comédie dramatique s’impose comme étant un des chefs-d’œuvre du cinéma américain des années 1940.
    Bcar
    Bcar

    11 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 octobre 2010
    Un film incroyablement beau. J'avais énormément d'attente sur ce film et bien ce n'était pas encore assez tellement Franck Capra aidé par un James Stewart en état de gràce on placé la barre haut. Ce film plein d'humanisme, de tendresse nous propose tout simplement 2h d'un bonheur artisan auxquel on ne croyait plus. A chaque scène on se dit que Capra vient d'atteindre l'Everest de l'humanisme puis vient la scène suivante qui nous donne tord .Les dialogues sont magistraux, une fois hilarant une fois déchirant. Scénario d'une poésie subtile et sublime, au final Capra montre des choses parfois utopiste parfois totalement désenchanté. Par son utopisme assumée Capra montre surtout qu'il veux croire en une société solidaire même s'il à du mal à l'espérer. Devant la scène finale j'ai fondu comme une madeleine pour la première fois de ma vie, qui pourtant ne montre pas de mort ou autre bouleversement, mais cette scène renferme le rêve de tout Homme, c'est magique, c'est fort, incroyablement incroyable.
    Quel bonheur !

    Si vous n'avez jamais vu ce film précipité vous sur le DVD laisser vous porter par tant beauté, d'une simplicité que l'on pensait dépassé.
    _domimi_
    _domimi_

    7 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 avril 2014
    Un conte humaniste par essence (parti pris assumé par Capra). Performance majuscule de J. Stewart.
    S'il ne vous redonne pas espoir en la bonté de l'Homme (au moins le temps du film), on ne peut plus rien pour vous :) !
    totoro35
    totoro35

    86 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 novembre 2010
    De nos jours, un tel film serait taxé de niaiserie intersidérale. Tourné il y a plus de 60 ans, il est considéré comme un chef-d'oeuvre incontournable. Pour ma part, si l'ensemble est formellement irréprochable, et si James Stewart est impeccable, le film ne m'a sorti de ma torpeur qu'à la dernière bobine.
    Akamaru
    Akamaru

    2 801 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2012
    Le film de Noël par excellence.Celui qui redonne foi,et permet de croire que tout est possible.celui qui agit comme une thérapie du bonheur sur le spectateur."La vie est belle"(1946)est l'étendard chaleureux et irrésistiblement optimiste de Frank Capra.A l'époque,il fut beaucoup décrié,car il ne reflétait pas du tout la réalité(la gueule de bois de l'après-armistice),et qu'il semblait semer des opinions pro-communistes(critique acerbe des banques).Aujourd'hui,le débat est dépassé et la fable de Capra se déguste en famille.Les valeurs de la solidarité,de la communauté soudée,du sens du devoir et des responsabilités familiales est exacerbé.Bailey,prêteur de fonds pour les logements des déshérités,y est une sorte de Bon Samaritain,qui trouve intolérable de ne pouvoir faire plus envers son prochain.C'est presque une figure christique,même si cette thèse prend du plomb dans l'aile,lorsqu'il veut se suicider,et qu'un ange tombé du ciel,est chargé de lui remettre les idées en place.Toute la grandeur humaniste et l'utopie communautaire de Capra est là.James Stewart,déguingandé,naïf,pieux,joue divinement de sa proximité avec les habitants,et par rebond avec le spectateur,très impliqué affectivement.En cas de déprime,ce genre de prescription s'impose!
    blacktide
    blacktide

    39 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Non, Mr Potter, vous ne l'emporterez pas avec vous… notre humanité

    La vie est belle est un chef d'œuvre intemporellement féerique, archétype de l'esprit de Noël, éclatant sous une couche d'affectivité et d'enthousiasme sans pareil. Comment ne pas se reconnaître dans le personnage de George Bailey, idéaliste sacrifié, allégorie de l'humanité ? Ce juillettiste contemplateur monopolise notre attachement tant au cours de sa jeunesse exaltante d'idéalité que pendant sa prise de maturité doublée de désillusions, faisant le bonheur des autres aussi bien que sa déconvenue. Son déboire n'est autre que Potter, usurier sans scrupules, incarnation de Satan, s'enrichissant sur le dos des infortunés. Potter, malgré son hégémonie pécuniaire, n'arrivera pas à vaincre l'humanité, la bonté incarné par George, secondé par son ange gardien Clarence qui lui rappellera sa place de pilier dans la communauté de Bedford Falls, utopie lointaine, terre de l'espoir en tout homme, symbole de l'American Dream où le raté du coin est le millionnaire de demain: "C'est étrange, non ? La vie de chaque homme touche tant d'autres vies que lorsqu'il n'est plus là, il laisse un trou affreux, n'est-ce pas ?". En effet, on ne connaît ses vrais amis que dans l'adversité. Capra façonne donc ses personnages de façon à en donner une vision innocente, débordants de générosité mais opprimés par le capitaliste et le patricien, de manière à y mêler un fond de crise économique.

    Quelle puissance émotionnelle se dégage de ce bijou cinématographique, c'est incroyable ! Mais qu'est-ce qui fait la force de monument du cinéma américain ? Pourquoi se sent-on si vivant à travers ce talisman sentimental ? C'est tout simplement un ensemble de choses inexplicables. Peut-on encore croire en l'humanité ? Frank Capra a la réponse.

    La Vie est Belle, sur le papier, est loin d'avoir ce grain de folie, ce trait de génie scénaristique et pourrait ressembler aux premiers abords à un conte de Noël académique d'une banalité abusive, sombrant brièvement dans un passe-temps niais, pleurnichard, alourdissant et agaçant. Mais il n'est point question de cela dans ce film exceptionnellement époustouflant. En effet, Frank Capra détourne habilement les "bons sentiments" en les sublimant et en les amplifiant, non pas pour provoquer un sentiment d'exagération mais bien pour nous submerger d'une incommensurable envie de bonheur, aspiration commune à tous mais pourtant si rarement rencontrée. Frank Capra se fait alors l'expression des pensées du philosophe antique en apportant un bonheur inqualifiable à son spectateur, état durable de satisfaction, par le biais de cet happy end, idéal utopique inaltérable et à tout jamais persistant dans notre entendement. Frank Capra propose ainsi, toute au long de sa filmographie, une vision plus ensoleillée des difficultés de la l'homme ordinaire au sein de la société moderne et développe des contes candides exaltant la bonté des gens ordinaires et la valeur des rêves modestes, même non exaucés.

    D'un optimisme populiste jouissif, It's a Wonderful Life bénéficie d'un scénario tout en légèreté, profond et complexe à la fois, représentation onirique de La Dolce Vita et du Carpe Diem, regorgeant d'émotions pures et sincères aboutissant à l'un des dénouements heureux les plus intenses de l'histoire du cinéma, d'une puissance inégalée par sa convivialité. C'est l'apothéose pour Frank Capra, grand rêveur, poète des temps modernes, père Noël de nos films d'enfance qui par sa mise en scène incroyable égaye notre réveillon. Véritable hymne à la vie, Capra signe le film PARFAIT, éblouissant dans toutes ses formes tant dans sa construction narrative que dans l'émotion magnifiée qu'il confère. L'impact émotionnel procuré est si intense qu'on ne peut en ressortir indemne. On pourrait même dire qu'il y a un avant et un après La Vie est Belle. Sûrement le seul film qui donne foi dans le triomphe de l'esprit humain. A vrai dire, on a tous un George Bailey dans notre cœur et un Clarence qui veille au dessus de nos têtes…

    Joyeux Noël à tous et que George Bailey soit avec vous…
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 mars 2011
    Je n'ai jamais été émerveillé par le cinéma de Capra ce qui explique que je n'avais jamais vu "La vie est belle". Je viens de combler cette lacune... et de conforter mon a priori : je n'aime pas, mais pas du tout ce film ; et il serait grand temps de revoir, à l'aune d'une critique objective, la place de Capra dans l'histoire de la comédie américaine et même du cinéma en général. La mise en scène et l'interprétation de James Stewart nous font accepter qu'un naïf, aussi médiocre en affaires qu'il est bien intentionné, puisse, au pays du dollar roi, triompher des puissances d'argent. La trame du film nous conduit à la séquence dans laquelle George Bailey voit ce que serait devenue la ville sans lui et il apparait alors qu'il était vraiment le messie sans qui le bonheur du peuple était impossible. Mais, lui-même parait à ce moment condamné malgré sa réussite, c'est alors que l'intervention divine, et elle seule, le sauvera. Il fallait bien l'aveuglement de l'enthousiasme qui accompagna la fin de la guerre pour qu'une bande aussi débordante d'américânerie et de foi naïve, passe pour un chef d'oeuvre. Et, même si sur un strict plan technique, la réalisation de Capra souffre peu de reproches, elle ne parvient pas à transcender son scenario ni à éviter la longueur de certaines scènes et l'ennui qui gagne le cinéphile au bout d'une heure de projection. Il reste la qualité de l'interprétation des seconds rôles : Lionel Barrymore, parfait en vieil avare cynique et sans pitié, Donna Reed la seule qui parvient à faire passer parfois une émotion grâce à un jeu très juste, jamais appuyé et, enfin Gloria Grahame, éblouissante en vamp de province, mais que l'on voit malheureusement trop peu. La musique de Dimitri Tiomkin est plus gênante qu'autre chose et ne laissait guère présumer de la brillante carrière de musicien de cinéma qu'il fera par la suite. Enfin, je m'aperçois que j'ai omis de mentionner qu'on retrouve dans ce film une constante de Capra : la vulgarité ; c'est certainement elle qui lui fait mettre en valeur les benêts ordinaires (hier M. Deeds, ici George Bailey) et qui trouve son accomplissement dans la détestable séquence où Donna Reed perd son peignoir et, dans une position humiliante, est livrée aux moqueries de Bailey et aux ricanements des spectateurs ; on pense à la séquence de "New-York Miami" où une main masculine, traînant sur le siège disponible dans l'autocar, embarrassait l'héroïne qui ne savait comment s'asseoir ; décidément, la"verve comique" de Capra a toujours les mêmes sources d'inspiration. Et, pour terminer sur une note positive, je veux dire qu'il existe un antidote à Capra : c'est Leo Mac Carey, véritable roi de la comédie américaine, dont la carrière est parallèle à celle de Capra, et qui était capable de faire passer son spectateur du rire aux larmes (le merveilleux "Place aux jeunes") en faisant toujours appel à l'intelligence et sans jamais même effleurer la vulgarité.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 juin 2013
    L'un des plus beaux films de tous les temps : hommage virulent à la vie et magistrale apologie de la beauté.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 décembre 2012
    Superbe James Stewart. L'histoire est tout simplement jolie et sans prétention. La version colorisée passe au mieux. Ça donne la pêche et le moral et si on en doutait on se dit que "la vie est belle".
    Dave le nantais
    Dave le nantais

    27 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 janvier 2016
    Que la vie est belle après la vision de ce quasi chef d'oeuvre de Frank Capra. Le fantastique cotoie aussi bien la comédie que la peinture sociale d'une Amérique meurtrie par la crise des années 30 et la seconde guerre mondiale. Un James Stewart, absolument exquis et une Donna Reed, craquante à souhait, illuminent ce film mythique, au charme inaltérable.
    VodkaMartini
    VodkaMartini

    40 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    On dira ce qu'on voudra, on pourra même le dire comme on le pense, on objectera ce qu'on veut, et critiquera ce qu'on peut, mais on finira toujours par rire et pleurer, qu'on le veuille ou pas, devant "La Vie Est Belle".
    Agnes L.
    Agnes L.

    119 abonnés 1 463 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2015
    Juger un film qui date de 70 ans est une entreprise délicate.
    Il est jugé par beaucoup comme un chef d'oeuvre sans doute à cause des émotions qu'il déclenche mais avec les yeux d'aujourd'hui, il est plutôt irritant par plusieurs aspects.
    Capra a t-il peur des silences ? Car son film est fatigant avec ce blabla continuel !
    Et la propagande moralisatrice est assez pénible aussi !
    Bref, je choisis la voie moyenne en mettant 3 étoiles compte tenu de son ancienneté mais je ne peux pas dire que j'ai vraiment apprécié l'oeuvre.
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    39 abonnés 668 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 décembre 2020
    LA VIE EST BELLE (1947): George Bailey, un homme rêvant de liberté, sera contraint de reprendre l'affaire de son père décédé brutalement. Généreux, il aidera les plus démunis de sa ville et mènera un bras de fer contre un redoutable homme d'affaire, Monsieur Potter. Un film en noir et blanc sympa, agréable et jovial. Dans ce paysage enneigé, le joli rayon de soleil qui réchauffera le cœur de cet homme effondré, sera cette étincelante actrice Donna Reed. Lumineuse, les yeux brillants, sa tendresse et sa beauté contribueront à façonner l'éclat de cette histoire. Deux petits reproches à la mise en scène: le changement d'humeur trop rapide et choquant du personnage de George, joué par le pimpant James Steward, un film dont le début descriptif aurait pu être écourté au profit de cet ange, afin qu'il puisse créer d'avantage de situations fantastiques et amusantes pour que cette histoire paraisse plus attrayante et moins longue. Un film de 1947, sans la dynamique de nos films actuels, mais deviendra très chaleureux dans ses rapports humains. LA VIE EST BELLE nous démontrera que quoi qu'il arrive, nous apportons tous une pierre à la construction de ce monde, si bien que rien n'est vraiment grave. Hum! Hum! Pour certains problèmes ça marchera, mais à mon avis, je ne pense pas que ce raisonnement fonctionne pour les drames irréversibles. N'entrons pas dans ces débats sans fin…ici, c'est tout simplement du joli cinéma Hollywoodien. Un long-métrage qui se regarde paisiblement.
    Alix D
    Alix D

    47 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 décembre 2015
    magnifique, à couper le souffle ... Ce film réveillerai des émotions aux plus durs.
    jeu d'acteur exceptionnel .. bref La vie est belle ♡
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