Mon compte
    La Vie est belle
    Note moyenne
    4,3
    11534 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Vie est belle ?

    277 critiques spectateurs

    5
    151 critiques
    4
    78 critiques
    3
    30 critiques
    2
    11 critiques
    1
    6 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    149 abonnés 1 725 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mai 2015
    Brillant film qui ne prend pas une ride. L'histoire et ses personnages sont toujours attachants. On a le droit un mélange de comédie dramatique et de fantastique. Stewart est un acteur hors pair. Une vraie claque cinématographique, un film à voir et à avoir.
    gamorreen
    gamorreen

    15 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2017
    Un bon film, qui rend de bonne humeur, mais à mon avis moins réussi que la plupart des films des années 30 de Capra, un peu moins célèbres mais avec plus de la 'folie' qui manque un peu ici.
    Louis Morel
    Louis Morel

    37 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2012
    Un film d'une beauté incroyable et d'une simplicité déconcertante. On ressort ébloui de ce drame fantastique, aux acteurs formidables et au scénario merveilleux.
    darthbebel
    darthbebel

    22 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2010
    Film optimiste en l'homme, qui fait du bien.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 décembre 2012
    Le film est bourré de bons sentiments, sans doute un peu trop. Le méchant est vraiment méchant, totalement sans scrupules et jamais en manque de manœuvre machiavélique. Le gentil est vraiment gentil, dévoué jusqu'au sacrifice, droit, intègre et sincère. L'histoire est belle et émouvante si l'on oublie son caractère trop caricatural et un peu niais. La première partie est simplement correcte, le film décolle et éblouit dans sa deuxième partie, lorsque l'ange intervient pour sauver notre héros. Il faut oublier le caractère simpliste pour s'imprégner à fond de la bonté et de la beauté de ce conte de Noël. On passe alors un excellent moment et on en ressort baigné d'ocytocine.
    kibruk
    kibruk

    110 abonnés 2 396 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2015
    Son scénario est une pure merveille d'écriture, et quand on découvre ce film pour la première fois, on comprend pourquoi il est considéré comme un chef d'œuvre du 7ème art. Jamais niais, jamais ennuyeux, ce conte moral véhicule de magnifiques valeurs qui font du bien.
    Audrey L
    Audrey L

    548 abonnés 2 399 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2019
    Une ode à l'amitié et à l'aide sans condition, à la confiance en soi et à la générosité. "Remember no man is a failure who has friends" (rappelez-vous qu'aucun homme qui a des amis n'est un échec), tout est dit. Ce magnifique conte s'offre le luxe d'un James Stewart brillant et d'une Donna Reed non moins pétillante, d'une intrigue qui met un temps certain à s'installer (la première heure qui présente la vie du jeune homme est un poil longue) mais vraiment nécessaire si l'on veut ressentir tout le panel d'émotions finales qui nous emporte dans les dernières minutes. On fond devant la tendresse en même temps que l'on pleure de joie lors du final en apothéose de chaleur humaine, et cela nous rappelle qu'une action de bonté en appelle une autre en retour. On rigole bien grâce à l'humour cynique distillé par les dialogues et par une voix-off (un peu gonflante au début, puis l'on s'y fait), et le fantastique est bien amené, on ne regrette pas d'avoir plongé dans cette histoire à la morale irréprochable et à la vague d'émotion chaleureuse qui nous submerge de joie à la fin. Accrochez une cloche à votre sapin, qui sait si elle tintera...
    Jipis
    Jipis

    32 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juin 2012
    Plein de projets Georges Bailey s’apprête à visiter le monde sans s’apercevoir que tout ce qu’il désire connaître existe déjà localement.

    Une amitié profonde est à savourer à deux pas grâce à l’immense bonheur de contempler les transformations dans le temps d’une faune accompagnatrice.

    Du policier au chauffeur de taxi en passant par le pharmacien et le premier et unique amour tout pousse en même temps que soi dans un univers ou les comportements évoluent en même temps que les morphologies.

    Ici le malheur est le bienvenu car il déclenche une solidarité à toutes épreuves appuyée par des analyses célestes démontrant que chaque vie est indispensable.

    Le refus d’exister carbonise des schémas de vies. L’absence est terrible et ne dois pas être. D’une manière ou d’une autre faire ses bagages ne sert à rien, il suffit d’avoir la force de se fondre dans un environnement ou tout ce qui vous entoure se répète en réclamant votre soutien.

    Ici voir les mêmes visages chaque jour est un gage d’équilibre.

    Ensemble il faut vivre et lutter afin d’empêcher le déploiement d’une ville perdue avec comme apothéose finale la concentration d’un magma gigantesque d’amis de toujours venus spontanément vous sortir du bourbier.

    « La vie est belle » est une œuvre magistrale, un constant rappel à l’ordre de tout ce que nous ne savons plus ou ne pas faire, regarder les autres au plus près en sacrifiant toutes envies de briller hors de ses terres.

    L’indifférence est à des lieues de ce travail hors du temps consistant à reformater à l’aide d’un groupe sédentaire un esprit à terre.

    Le contenu offre une démolition sans pitié contrée par un panorama solidaire somptueux. Les prières montent au ciel, le cas Bailey étudié émeut des ressources contemplatives se décidant enfin à intervenir.

    Sur la terre comme au ciel un plan d’urgence se met en marche.
    L’homme bon est béni des Dieux et des siens dans un contexte de vie répétitif qu’il a su percevoir comme le parcours d’une existence entière entourée de ce que l’on voit grandir et vieillir le tout n’étant finalement que soi-même.
    Ti Nou
    Ti Nou

    405 abonnés 3 355 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2010
    La première partie du film est interminable. Capra met une éternité à rentrer dans le vif de son sujet et à exploiter les éléments du conte. Un film de Noël sympathique plein de bons sentiments et un brin mièvre.
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 décembre 2018
    De toutes les majestueuses œuvres qui composent la filmographie de Frank Capra, celle-ci est de loin la plus personnelle et la plus touchante. C’est un soir de Noël, un soir de fête et un soir de retrouvaille qui aura pour objectif de nous réconcilier avec tout ce que l’on possède, mais plus important encore, avec tout ce que l’on représente pour autrui. Il véhicule ces valeurs avec une qualité artistique irréprochable dont il a le secret. Il n’y a pas de mouvement inutile du cadre qui nous sortira de cette aventure féérique, pleine d’amour et d’espoir. Le modeste conte de Noël amène ainsi des leçons de vie universelle qui mette à profit l’âme et la raison qui alimente notre aura.

    La sagesse et la bonté sont deux qualités et défauts qui feront basculés George Bailey dans la souffrance. Mais avant d’en arriver là, il est important de souligner son parcours méticuleux. Il est comme tous ces hommes qui sont généreux et qui ne cherchent rien d’autre qu’à partager. Il ne demande rien à retour, si ce n’est la confiance. James Stewart l’interprète alors avec tout ce qu’il fallait en nuance afin que l’empathie nous saisisse immédiatement. Ses maladresses et sa naïveté sont communes à tous et bien que son lyrisme finisse par atteindre sa tendre et bien-aimée Mary Hatch (Donna Reed), il ne devient pas une caricature du peuple ou alors d’un personnage pour qui la vie se doit d’être vécu. On nous l’introduit non pas comme un bienfaiteur, mais comme un innocent, comme chacun à sa naissance. Et la magie prendra peu à peu forme dans sa vie. Son parcours s’avère logique et ses ambitions semblent intouchables. Mais le drame viendra interrompre ces moments de comédie et de romantisme, qui nous conviendrait presque à une fermeture de rideau.

    Toute la justesse passe par cette étape qui mélange les genres. Il ne sera pas difficile de comprendre les enjeux, car même le premier enfant qui ne sait ni lire ni écrire, aura l’ingéniosité et la subtilité d’apprendre comme fonctionne l’œuvre. Habile dans cette démarche, le metteur en scène italien saisit le contre-pied qui enferme le personnage dans son passé. Et à ce moment-là, c’est le présent du spectateur qui est cristallisé et qui est inconsciemment confronté à celui du héros. Lui-même est confronté à l’absence d’une paternité protectrice et devra se remettre en question, d’où certains nœuds scénaristiques qui n’hésiteront pas à nous provoquer afin de mieux nous émouvoir. Il sera aisé de se placer derrière les bonnes intentions de ce père de famille, de cet homme de tous les jours, de cet homme de « toujours ». Le « système » ne doit alors plus avoir d’impact sur l’humanité et c’est à la croyance de se manifester afin de sauver ce soir de Noël, où George fera face à ses propres démons et ses propres anges gardiens. La peur de quitter le meilleur des mondes est un risque à courir si l’on souhaite préserver l’instant.

    « La Vie Est Belle » est comme son nom l’indique. Le film évoque et rassure dans son discours. Aucun homme n’est un raté, quel que soit sa classe sociale, ses problèmes, ses opinions, car il faut parfois savoir chérir ce qu’il n’est plus possible de rattraper. Le travail de toute une vie est d’atteindre ce bonheur qui conquit par sa justesse et son dénouement tire-larme. Le bonheur est un sentiment que Capra adoube avec fierté et sans concessions. Il s’agit de notre cadeau de Noël, à nous spectateur qui sommes là en train de regarder le destin d’un homme malmené par des situations de vie qui nous sont voisines. On nous fait prendre conscience du plus important en ce monde et il suffisait juste d’être là pour être heureux.
    Alolfer
    Alolfer

    86 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2023
    Le chef d'oeuvre de Noel ultime ! Frank Capra, avec ce film, nous a réalisé le meilleur film de Noël, mais également un des films les plus cultissimes du cinéma ! C est drôle mais également très triste tantôt que l'histoire est divulgué !

    Puissant émotionnellement, "It's a Wonderful Life" est un film qui nous donne une seconde chance à la Vie.

    James Stewart est juste formidable et tient un de ses meilleurs rôles. Il rentre dans la catégorie de mes acteurs préférés.

    Chef d'oeuvre intemporel
    cinono1
    cinono1

    253 abonnés 1 985 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2012
    La vie est égale à la somme des efforts qu'on y place. On pourra trouver que la mise en place des situations longue mais La Vie Est Belle est l'archétype du feel good movie, une fable chaleureuse sur la ténacité, le courage. Le film n'est pas du tout mièvre, au contraire montre aussi le désespoir qui peut envahir à tout moment la vie d'un homme plongé dans une situation financière inextricable, et rappelle que la solidarité et l'honnêteté peuvent parfois être plus forte que le cynisme et la cupidité. Le couple James Stewart-Donna Reed est très émouvant. Tout ça donne du baume au coeur et comme en plus, Franck Capra n'est pas manchot derrière la caméra (les plans de la ville enneigée)...Chef d'oeuvre
    Cine vu
    Cine vu

    123 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 novembre 2016
    Bien avant Ken Loach… Capra flirte avec les anges

    La Vie est Belle est joyeusement mélancolique, une madeleine de Proust que l’on déguste avec bonheur.

    La vie de George Bailey n’est pas celle dont il avait rêvé. Sa bonté et son intégrité vont faire basculer son destin. Après la mort de son père, le voilà coincé dans sa petite ville de Bedford Falls.
    Lui qui se voyait déjà sur le toit du monde, il va porter sur ses épaules la petite affaire familiale qui lui semble si limitée.

    Mais Mary Hatch va lui redonner le goût à la vie, une famille et beaucoup d’amour. Alors, le coeur sur la main, il va aider les plus démunis avec sa petite société de crédit à la construction.

    Seulement, par malheur, son oncle et associé Billy, égare 8000 dollars entre l’entreprise et la banque. Les voilà ruinés entrainant avec eux tous ces braves gens qui leurs ont fait confiance.

    Le film prend alors une dimension fantastique car Les anges veillent sur Georges et précisément Clarence qui aimerait bien gagner ses ailes « Galons » pour accéder officiellement à son statut.
    Quand Georges décide de se suicider, Clarence va intervenir.

    spoiler: La deuxième partie du film est alors surprenante. Afin de convaincre Georges de son utilité dans la vie, l’ange va, virtuellement, effacer sa naissance et démontrer à Georges: qu’un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Car, sans ce brave Bailey, la vie n’aurait pas été si douce à Bedford Falls. Les banques auraient ruiné les pauvres gens, les agents immobiliers envahit la ville, sa femme serait une vieille fille aigrie, son frère serait mort… Une ville sombre et beaucoup de malheur tout autour. Après ce constat Bayley va reprendre vie et réaliser son bonheur,
    la fin est la hauteur des grands happy-end américains mais le film est magique et nous emporte sur les ailes d’un ange, tout près des étoiles du bon cinéma.
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    29 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2007
    Une sublime tranche de vie. Du superbe message (du livre), F.Capra crée un magnifique univers, le casting et la bande-son aidant. A terme, le long-metrage explose avec une beauté émouvante. Grand classique.
    Spiriel
    Spiriel

    29 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2008
    Naïf, It's a wonderful life? Difficile de le nier, et pourtant tout est là. Ce qu'on appelle naïveté devrait n'être rien de plus que du bon sens, c'est cela que dit Capra. Dans ce film humble, qui n'a l'air de rien, ce n'est qu'à la fin qu'on comprend sa force, sa portée. J'ai pleuré. L'ange gardien est peut-être le symbole du cinéma et sa magie, en tout cas on n'arrive pas à se moquer de la sincérité de Capra à propos du suicide, car on ne le veut pas. Ce personnage, plus capraien que jamais, qui sacrifiera tout, ses rêves de voyage pour fonder une famille, et reprendre la société altruiste de son père, et qui finit par croire qu'il vaut plus mort que vivant, c'est tout un pan de l'humanité qu'on a tendance à oublier voire mépriser par cynisme, faux pragmatisme. Ce film devrait effectivement être remboursé par la sécurité sociale. Je ne connais rien de mieux pour reprendre espoir malgré tout. Un peu dans la même idée, voir l'excellent Sullivan's travel.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top