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    Don Camillo Monseigneur
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    3,3
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    31 critiques spectateurs

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    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    6 abonnés 596 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juin 2023
    « Vous l’avez connue, c’était une brave femme, attachée à son foyer et tout. »

    Dès le début, on se demande si le narrateur n’a pas pris une substance illégale : on est loin de celui qui maniait avec rigueur l’usage de l’imparfait du subjonctif. Heureusement, ça n’est qu’un effet de manche lié à la frénésie de la ville et on retrouve vite le ton plus posé qui sied à la campagne, entre mer et montagne, de la plaine du Pô. Barjavel est toujours présent à la réécriture des dialogues de l’oeuvre de Guareschi. Inregardable en VO, ce quatrième volet des aventures de Don Camillo et Peppone doit, en outre, encore beaucoup aux voix françaises des interprètes italiens utilisées depuis le premier épisode et à la musiqu reconnaissable.

    Gino Cervi et Fernandel ont (été) vieilli(s) mais leurs querelles gardent le ton des épisodes précédents. Ce qui manque le plus, c’est la magie romantique qui baignait le premier volet, nimbait encore un peu le second et finissait par être absente du troisième. Ce quatrième volet est entré dans l’ère de la modernité et cela lui coûte un certain parfum d’intemporalité : on est dans une suite de suite de suite, sans plus beaucoup d’âme, reconnaissons-le, même si quelques mécanismes narratifs demeurent. Et encore, on regrettera que les personnages principaux, mais aussi secondaires (notamment la femme de Peppone), n’aient pas été plus creusés depuis le premier épisode. C’est vraisemblablement en cela que la série s’étiole, chaque nouvel épisode s’avérant incapable de retrouver le souffle du tout premier.

    Quitte, d’ailleurs, à entrer dans la modernité sans creuser plus en profondeur des personnages pourtant complexes et emplis de paradoxes, on pourra être surpris que celle-ci ne suive pas complètement le cours de la société civile. Don Camillo apparaît en effet de plus en plus réactionnaire et les femmes sont toujours autant considérées comme des sauvageonnes hystériques, des nunuches décérébrées ou des grenouilles de bénitier superstitieuses. Bon, on n’est toujours qu’en 1961, aussi. Il ne fait nul doute que l’anecdote de Gisèle et de son mari pourrait encore être très populaire aujourd’hui, chez les Talibans. Comme quoi… Comme quoi ces épisodes ont perdu toute forme d’intemporalité, un autre charme disparu des deux premiers épisodes.
    bug bunny
    bug bunny

    40 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2021
    Un film que j adores malgré qui est ancien je passe toujours d excellent moment chaque fois que je visonnes
    CH1218
    CH1218

    158 abonnés 2 765 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2020
    Don Camillo et Peppone ont pris chacun du galon, le premier est devenu évêque, le second sénateur. Leur retour dans leur village va réanimer les vieilles querelles. Quelques bonnes répliques émergent de ce quatrième opus mais celui-ci marque définitivement le déclin de la franchise.
    Roub E.
    Roub E.

    746 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 novembre 2020
    Les années ont passées, Don Camillo est devenu évêque et Peppone est devenu sénateur. Le hasard (et surtout la volonté de refaire un succès avec un duo qui a fait ses preuves) va le remettre l’un face à l’autre dans le village qu’ils aiment tant. Il y a une vraie baisse de niveau dans ce quatrième épisode. Les deux acteurs eux mêmes ne semblent plus convaincus par ce qu’il font et le film semble tourner en mode pilote automatique. Il n’y a pas vraiment de passages amusants ou marquants. Il y a 60 ans on faisait déjà des suites sans intérêt.
    GéDéon
    GéDéon

    55 abonnés 448 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2023
    Carmine Gallone réalise, en 1961, le quatrième film de la saga des « Don Camillo ». Promus dans leurs fonctions respectives, Don Camillo (Fernandel) et Peppone (Gino Cervi) s’installent à Rome. Mais, loin de chez eux, ils s’ennuient. De retour dans leur petit village de Brescello, les affrontements reprennent de plus belle. On assiste à une succession d’accrochages entre les deux (le mariage, le gain du loto, la cloche, etc.). Bref, même si le scénario est moins travaillé que d'habitude, l’ensemble demeure agréable à regarder.
    vivaBFG
    vivaBFG

    11 abonnés 1 145 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2020
    Un bon divertissement qui a pour seul défaut de ressembler aux 1er opus. Néanmoins, on se divertit, on s'amuse et écrase parfois une petite larme. C'est donc une mission réussit pour cette comédie aidés par des acteurs parfaits.
    A voir par les amateurs de Fernandel et de comédies anciennes
    Ol M.
    Ol M.

    2 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2020
    Evidemment il ne date pas d'hier mais Fernandel est tellement pile poil avec se rôle que l'on croit presque à Dieu qui lui parle, sa vaut largement les comédies ridicule récentes de kad ou boon boom flop...A voir pour Fernandel et bien sur son rival Gino excellent.
    ronny1
    ronny1

    30 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2018
    Pour « La grande bagarre de Don Camillo, Carmine Galllone succède à Julien Duvivier qui a réalisé les deux premiers volets d’une série qui en comporte cinq (les autres sont des greffes purement commerciales). L’opposition entre deux hommes et deux doctrines que tout rapproche, si ce n’est le dogmatisme qui les habite est dépeinte avec humour et réflexion. Le charme est intact, si bien que le film ne marque pas de grande différence avec les DON CAMILLO précédents. Passage du témoin réussi.
    Fabios Om
    Fabios Om

    37 abonnés 1 264 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2017
    c'est vraie que ce film est le moins bien de la saga car il est moins drôle sans doute mais le plaisir et tellement grand de retrouver Fernandel et ses histoire tellement bien écrire de l'époque comment ce laser de Son Camillo qui en plus est devenu monsigneur mais qui ne change pas et pour notre plus grand plaisir
    Eselce
    Eselce

    1 212 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2017
    On retrouve nos compères dans de nouvelles disputes avec cette fois-ci une prise de galon de part et d'autre : Peppone est "Sénateur", Don Camillo est "Monseigneur". Toujours de bonnes idées, de bonnes répliques et beaucoup d'humour avec quelques échanges entre Don Camillo et le Seigneur. Le fils de Peppone veut se marier à l'église quand son père ne veut que d'un mariage à la mairie. Beaucoup de ruses vont être mise à l'oeuvre pour satisfaire, une fois de plus, tous les partis. J'aime bien l'audace des personnages pour venir à bout l'un de l'autre et les astuces de chacun pour obtenir ce qu'il veut. Une bonne suite !
    Stephenballade
    Stephenballade

    357 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 décembre 2015
    Six ans ont passé entre "La grande bagarre de Don Camillo" et cet épisode. Il peut s’en passer des choses en six ans… La preuve : Peppone est sénateur, et Don Camillo a lui aussi pris du grade puisque nous le retrouvons contre toute attente Monseigneur. Comme quoi, tout arrive… En raison des nouvelles tâches qui leur sont octroyées par leur poste respectif, nous retrouvons nos deux trublions bien loin de ce village du haut de l’Italie coincé quelque part entre la mer, le fleuve et la montagne. Et quand on aime son pays, difficile de ne pas être nostalgique. C’est le cas des frères ennemis de toujours. Car non seulement ils s’ennuient de leur pays, mais ils n’ont pas oublié les rivalités qui jadis les ont opposés. C’était le bon temps… Qu’à cela ne tienne ! Peppone n’en a pas terminé avec ses lubies. Et quand il s’agit de faire bâtir une maison des travailleurs en lieu et place d’une chapelle où trône la Madone, le sang de son éminence ne fait qu’un tour. D’habitude, des personnes de ce rang règlent le différent par voie de courrier et par personnes interposées, mais là… il s’agit de leur village, quand même ! Au diable donc les protocoles administratifs pour en découdre soi-même sur le terrain. Je ne sais pas si le poste qu’ils occupent leur a apporté une relative sagesse, mais Gino Cervi et Fernandel n’ont plus tout à fait la même fougue, et la saga tend à s’essouffler un peu. Qu’on se rassure, il reste encore de très bonnes séquences, que ce soit en situations cocasses ou en répliques hilarantes, arbitrées malgré lui par le chauffeur de Don Camillo qui ne sait pas trop où se mettre. Et puis la très visible complicité entre les deux acteurs vedettes finit de sauver le reste de ce nouvel épisode politico-clérical, car ils nous ont tant habitués à leurs joutes verbales que nous attendons bien plus que la solidité du scénario.
    willycopresto
    willycopresto

    118 abonnés 1 349 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    Don Camillo monseigneur
    Avant-dernier épisode de la saga des Don Camillo. Neuf ans après le premier tournage, don Camillo et Peppone ont pris du galon : l'un est devenu évêque, et l'autre sénateur ! Mais ils ont la nostalgie de leur terroir et, miracle (du cinéma) ils vont se retrouver dans le face à face auquel ils se livraient naguère à Brescello ! Retour vers leur jeunesse pour un excellent épisode où se mêlent tendresse, humour et communisme! On croirait aujourd'hui (2014) entendre Georges Marchais ressuscité ! Mais voilà, les deux protagonistes principaux ont vieilli et n'ont plus la même fougue. Notamment Fernandel qui ne le sait peut-être pas mais qui n'a plus que dix ans à vivre. Un superbe passage émouvant lors des tragiques funérailles d'un camarade-enfant du pays et dans lequel don Camillo va associer le glas de son ex-église au son de la cloche fêlée du communisme ! Une mention spéciale pour la ravissante Valéria Ciangottini qui joue le rôle de Rosette, la future belle-fille de Peppone qui doit le faire grand-père, mais qu'on ne verra plus guère ensuite en France. Si elle vit encore, elle est aujourd'hui (2014) septuagénaire ! Cette série a de nos jours, la valeur d'un témoignage historique. Les jeunes spectateurs auront peut-être de la difficulté à comprendre qu'au lendemain de la guerre 1939/ 1945, l'église est encore très puissante et omniprésente dans la vie quotidienne. Le curé est l'un des édiles d'une commune au même titre que l'instituteur, le chef de gare, le médecin (...) Mais voilà, déjà à cette époque le laïcisme est en marche et le parti communiste en plein essor ! On entre dans le parti comme on entre en religion bien décidé à y "bouffer" du curé ! Une époque révolue que "les moins de vingt ans" n'auront pu connaître !"
    willycopresto
    Chris46
    Chris46

    468 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2015
    4ème volet de la saga des " don camillo " . Don camillo est devenu évêque tandis que peponne occupe un poste de sénateur . Tout les deux vivent desormais a Rome loin de leur petite ville de brescello . Mais quand peponne annonce qu'il veut faire construire à brescello une maison communale à la place d'une vielle chapelle le sang de don camillo ne fait qu'un tour . Les deux hommes se retrouvent de nouveau à brescello pour régler ce conflit ...
    Ce 4ème opus de " don camillo " s'avère assez décevant dans l'ensemble . si fernandel et Gino cervi sont toujour au top dans leur rôles de don camillo et peponne bien qu' un peu plus viellissant le film lui s'avère assez moyen et pas tres drôle . Sa se laisse tout de même regarder grace a quelques scènes cocasses et repliques hilarantes qui sauve un peu les meubles . Mais on a tendance à s'ennuyer un peu devant cette episode de la saga pas super passionnant ou l'on s'attarde sur des intrigues sans grand interet ( le mariage du fils de peponne ) . Un opus mineur qui ne laissera pas un souvenir impérissable .
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 092 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 août 2014
    Bien des annèes ont passè depuis "La grande bagarre de Don Camillo" et les choses ont beaucoup changè! Don Camillo et Peppone ne se sont plus jamais rencontrès depuis! Pourtant la distance qui les sèpare est à peu près la même qu'autrefois mais les mètres deviennent des kilomètres quand il s'ètendent entre un monseigneur et un sènateur communiste! Car oui Peppone est un sènateur et Don Camillo un monseigneur! Mais la nostalgie du pays les tiraillent, ils n'attendent qu'un prètexte, qu'un signe qui ferait revoir Brescello et un jour...miracle! Les communistes et le clergè sont en dèsaccord au sujet de la construction de la Maison des travailleurs! Le duo est donc envoyè là bas (c'est toujours un plaisir de voyager par le train via la gare de Brescello) pour dèfendre leur cause respective! Le christianisme est une religion dèmocratique basèe sur le travail! Mais incorporer la statue de la madone (nom d'une cloche!!!) dans la construction de la « Casa popolare » n'est pas une mince affaire! Ce quatrième opus de « Don Camillo » se suit sans mal même si le souffle de l'histoire devient de plus en plus court! A noter les belles prises de vues aèriennes sur la Place Saint-Pierre et la prèsence de la jeune Valeria Ciangottini, immortalisèe par Fellini dans "La dolce vita"...
    Gonnard
    Gonnard

    218 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 janvier 2014
    Extrêmement lent à démarrer, "Don Camillo Monseigneur" nécessite d'être regardé à une heure de pleine possession de ses facultés intellectuelles tant le risque de somnolence est élevé. Les quelques escarmouches auxquelles se livrent les deux comparses laissent à désirer, leur intérêt étant proche du néant. Le souci de renouvellement de la série à travers la relation Rome-périphérie est certes louable, mais on tourne finalement vite en rond.
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