Avis : Love (et ses petits désastres) - Page 2

Film raffraichissant & comtemporain.
Très beau reflet des moeurs actuels.
Réalisation & dialogues innovants.
Film qui va devenir culte !!!
Mélodie de rires pendant les 45 dernières minutes car la première demi-heure met en place les personnages...

Les déboires amoureux d'une journaliste de mode, et de son colocataire gay, tout deux vivant à Londres. Voilà à quoi peut se résumer "Love and Other Disasters", comédie romantique anecdotique des plus superficielles, qui aligne des clichés en guise de personnages (la copine névrosée, l'ex jaloux, le photographe de mode infecte, le latino ténébreux, le gentil confident gay...). Sans parler de Brittany Murphy, qui apparait tellement à moitié nue que cela en devient risible (y avait-il un contrat de placement produit avec une marque de lingerie ???), et qui n'a clairement pas les épaules pour tenir une comédie romantique qui tente un peu de se la jouer "Bridget Jones". On notera également que le film tente de jouer la corde de la mise en abîme, se comparant à des clichés hollywoodiens ou à des célèbres comédie romantiques pour tenter de vendre un message plus subtil (l'amour n'est pas une question de coup de foudre, et vient de là où on ne l'attend pas forcément). Mais le problème est que le film étant lui-même peu profond, mise en scène de manière purement fonctionnelle, et ne proposant pas grand chose, cette mise en abîme l'enfonce plus qu'autre chose. Reste tout de même le personnage attachant incarné par Matthew Rhys, avec ses mimiques et quelques petits effets de montage qui sont parfois amusants. Mais il est malheureusement relégué au second plan.

Une grosse déception que ce film, malgré une Britanny Murphy pétillante, le scénario est plus que léger, et les blagues tombent souvent à plat.

Infime hasard. Infime celui d'aller voir ce film, infime qu'une amie me propose ce dernier encore plus infime venant de sa part et infime choix que j'accepte. La réponse se trouvait dans le générique fin.
Comédie romantique au resorts et essorts communs mais un je ne sais quoi qui nous laisse tomber dans ce petit objet simple et efficace.
La différence se joue principalement par le casting (réussit la plupart du temps), l'héroïne en premier podium. Sinon on oscille entre comédie souriante et non amusante (encore moins drôle), scène(s ?) culte(s), allez au moins une...hilare même. Sinon la trame est connue et rabattue. Et pourtant c'est "bien joué" de part la structure et la fin "originale" (mm si on se joue du code "film dans le film". En résumé film que l'on peut éviter mais qui ouvre (peut-être) les portes plus grandes sur différents axes des comédies romantiques...
Après le The end de la fin...je m'aperçois par le plus grand des hasards que David Fincher est le producteur exécutif ((merci Ju.)) ...

Préambule : Il ne faut pas confondre « comédie romantique anglaise » et « comédie romantique américaine dont l'action se passe à Londres ». Il y a en effet un mot qui change tout ; c'est « américaine » ! Par ailleurs, l'épaisseur des habits de l'héroïne, dans de nombreuses scènes, est proportionnelle à celle du scénario, c'est-à-dire plus que léger. Celui-ci accumule les situations prévisibles et donc les chutes téléphonées. Heureusement, la B.O. est excellente. A défaut d'un bon film, on a au moins un bon clip. Outre la musique, le film est bien construit, bien interprété et pas trop long, d'où mon indulgence au niveau de la note. Pour ne pas rester sur une mauvaise impression de ce type de films, revoyez plutôt une très bonne comédie romantique anglaise de 1999 qui traitait déjà, elle aussi, de l'homosexualité mais en mieux. Il s'agit de « Des Chambres et des couloirs » (Bedrooms and Hallways).

Après un début plein de promesse, dynamique et plutôt drôle, le film sombre vite dans la facilité, des séquences bien plates et n'arrive jamais à se départir d'une référence trop lourde à porter pour ses frêles qualités... n'est pas Mankiewicz qui veut. et celui-ci fait tâche comparé à Diamant sur Canapé. Brittany minaude joliment, sans génie. n'est pas Julia Roberts qui veut non plus... c'est souvent mal joué par des rôles secondaires qui balancent entre flegme so british et hystérie dure à suivre. Certains dialogues font rire involontairement, surtout dans les moments graves, le rythme s'effrite et la réalisation finit par s'effacer totalement pour devenir transparente... bref, rien de bien glorieux. dommage, la BA laissait espérer autre chose que ce film bâclé.

Ce n'est pas le téléfilm type M6, ce n'est pas non plus la comédie romantique signée Lubitsch", ça se laisse regarder, c'est plutôt fin, surtout la première partie, il est dommage que durant la seconde, le scénario s'étiole petit à petit ! Pas désagréable, mais pas non plus nécessaire, Joyce ! A voir en charmante compagnie, sur un vol Paris-Los Angelès, ça peut le faire !

La 1ère partie n'est pas géniale et peu drôle alors que la 2de partie est meilleure et plus drôle. Le scénario manque de situations originales et il est assez prévisible.

Je ne m'attendais pas à une si bonne surprise, ce film n'est pas la comédie romantique cul-cul dont nous sommes habitué et auquel on pouvait s'attendre... Le film a pourtant du mal à commencer, le premier quart d'heure parait longuet... Mais une fois la situation installée c'est un régal! Cela faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas fait autant rire, et la salle était morte de rire aussi. Les situations sont originales, le réal' joue avec les clichés du genre en se moquant (toujours gentillement) des films romantiques classiques... A noter l'apparition hilarante d'O. Bloom et G. Paltrow.

Quand la comédie romantique se moque de ses codes et les détournent avec subtilité cela donne cette comédie pleine fraîcheur et de pétillant qu’est « Love (et ses petits désastres) » qui est à la fois un grand hommage au classique de Blake Edwards « Diamants sur canapé » en reprenant la fantaisie du personnage féminin principal et en détournant tous ceux qui gravitent autour d’elle dans une très actuelle société londonienne superficielle. Le thème de la dictature du paraître et de l’univers impitoyable de la mode est aussi traité avec autant de panache que « Le diable s’habille en Prada », les deux films sont d’ailleurs assez semblables sur quelques points. Mais « Love… » se distingue par son détournement des comédies romantiques, puisque sa narration est construit comme une lecture de scénario ou les lieux, les personnages, les intrigues, les rebondissements et le romantisme mielleux conformes à ce genre éculé sont dépeints avec une ironie des plus mordantes et grâce à la présence d’un humour anglais pince-sans-rire très efficace pour la plupart du temps. Cette comédie trouve également son rythme grâce à l’énergie de Brittany Murphy , qui combine charme et énorme talent comique. La jolie brune, est entouré d’une pléiade de très bons acteurs qui semblent tous s’amuser dans ce film atypique ou les habituels chassé-croisé amoureux entre homme et femme penche du côté de l’homosexualité, ce qui prouve également que la société évolue et est de plus en plus ouverte. Le film possède néanmoins quelques moments de creux qui lui font perdre par moments son rythme effréné et son charme pétillant. Son achèvement est particulièrement bien trouvé (rare pour un film de ce genre), ceci étant du au parti pris plus qu’intelligent du réalisateur Alek Keshishian qui maîtrise parfaitement son projet original.

Loin des poncifs du genre, David Fincher et Luc Besson ont produit une comédie romantique fort distrayante, souvent touchante, mais surtout loin de toutes les romances du genre. Dénué de cliché, doté de situations délirantes et de dialogues savoureux, Love et ses petits désastres parvient à divertir le spectateur sans lui resservir une énième comédie romantique maintes fois revues! A voir!

Dommage que cette rom com ne devienne drôle qu'au bout de 45 minutes. Sinon, Brittany Murphy imite très bien Jennifer Love Hewitt quand elle imite Audrey Hepburn.

La petite Brittany Murphy est mignonne comme tout dans une petite comédie sentimentale sans prétention et sans grande originalité. Du déjà vu sur toute la ligne mais le casting sans grandes stars relèvent un peu le niveau pour nous offrir un bon et beau moment sans qu'on est besoin de réfléchir !

Une belle comédie romantique à l'anglaise quelque part entre Le diable s'habille en Prada, Bridget Jones et Notting Hill. Un film beaucoup moins léger qu'il ne peut le paraitre. Plein d'un humour très british, les répliques font mouche et l'on rit beaucoup. L'interprétation y est pour beaucoup, les acteurs s'en donne à coeur joie et Brittany Murphy fait preuve de beaucoup de naturel. A noter la présence clin d'oeil de Orlando Bloom et Gwyneth Paltrow juste à la fin du film et celle plus savoureuse de Dawn French (du célèbre duo French and Saunders) dans le rôle truculent de la psy dans une scène d'anthologie !
Si l'univers de la mode est bien moins écorché que dans le film avec Meryl Streep, les personnages en sont d'autant plus attachants, même si la psychologie ne vole parfois pas très haut. Les situations sont quelques fois peu probables et on évite pas les clichés mais le tout, malgré ces quelques petites maladresses se révèle pétillant et finalement très agréable à regarder.

love (et ses petits désastres) n’est pas un bon film de Alek Keshishian. La mise en scène du réalisateur reste très simple, le scénario est plat et sans aucun intérêt, l’humour fonctionne très mal et les acteurs comme Brittany Murphy, Matthew Rhys ou encore Santiago Cabrera sont assez peu convaincants dans leurs rôles. Bref, c’est à éviter…