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alex dbs
2 abonnés
201 critiques
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4,0
Publiée le 8 août 2022
et bah désolé les critiques mauvaises perso j'ai adoré ce film ^^ film de mon adolescence et dans mon top 3 des meilleurs Astérix, le casting est génial je trouve , une belle introduction grecques, des jeux olympiques très drôles comme spectaculaires, des apparitions sympathiques en fin de films, l'actrice qui joue Irina est d'une beauté *_*
Après une bonne première adaptation du héros gaulois par Claude Zidi, Alain Chabat avait réussi avec Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre à signer un vrai petit bijou de la comédie. Le niveau d’exigence était donc assez élevé pour le troisième volet. Hélas, Astérix aux Jeux olympiques offre une véritable douche froide. Frédéric Forestier et Thomas Langmann (le second étant à la fois coréalisateur, coscénariste et coproducteur) semblent croire que le succès des films précédents tenait à son défilé de stars. Dans les œuvres de Zidi et de Chabat, ces choix se justifiaient soit par une certaine adéquation avec les personnages soit par une utilisation intelligente de la personnalité de ses interprètes afin de les amener dans une nouvelle direction (notamment chez Chabat). Ici, par contre, ils ne servent qu’à ajouter un nom sur l’affiche afin de servir d’argument publicitaire (on arrive à une indigestion) et à donner des blagues navrantes.spoiler: La traditionnelle séquence du repas final, qui clôt ainsi le film de manière affligeante, en est un parfait exemple : après un passage où Jamel Debbouze (qui réapparaît uniquement dans celle-ci sans autre raison que de surfer sur le succès du film précédent) fait une sorte de remake de sa dernière séquence chez Chabat tout en faisant un clin d’œil à sa célèbre prestation aux César 1999 avec Adriana Karembeu (dont le personnage semblait être resté au village gaulois mais nous ne sommes plus à une incohérence prête), nous assistons aux apparitions grotesques d’Amélie Mauresmo, Zinédine Zidane et Tony Parker.
Il n’est pas surprenant qu’en utilisant des personnalités de ce type qui ne sont en rien des acteurs (contrairement aux choix qu’avaient fait Zidi et Chabat), leurs prestations ne soient pas justes. Cependant, on peut estimer que le problème vient également de la direction d’acteurs car le surjeu est généralisé même de la part d’acteurs expérimentés (on ne croit par exemple jamais à Clovis Cornillac dans le rôle d’Astérix). Seul Gérard Depardieu réussit à tirer son épingle du jeu car il est une fois de plus absolument parfait dans son rôle d’Obélix qui semble définitivement avoir été inventé pour qu’il l’incarne (même s’il a été créé 8 ans avant son premier rôle au théâtre et 11 ans avant sa première apparition sur le grand écran). En outre, le scénario n’aide pas à remonter le niveau. Il ne se contente pas ainsi de faire des références aux œuvres précédentes mais reprend purement et simplement certains éléments de leurs récitsspoiler: (la réunion des druides et l’enlèvement de Panoramix étaient déjà présents dans le premier, la séquence de drague de Numérobis suscitée...). Il se permet même de reproduire la fameuse action de Cyrano de Bergerac de souffler le texte à un homme amoureux afin de bien souligner que Gérard Depardieu a interprété avec brio le héros d’Edmond Rostand même si cela va complètement à l’encontre de la personnalité d’Obélix qui est loin d’être un grand poète . À l’image de ce dernier exemple, les dialogues surlignent absolument tout comme s’ils pensaient que les enfants ne pouvaient pas tout comprendre et qu’il fallait bien insister. En effet, même un élément qui pourrait faire sourire au début comme l’autoparodie d’Alain Delon devient lourd à force de répétition et de manque de subtilité. Il n’est pas étonnant qu’Alexandre Charlot et Franck Magnier (qui avaient été tout de même auteurs des Guignols de l’info et qui enchaîneront directement sur Bienvenue chez les Ch’tis) semblent renier un peu le film (qui aurait été très réécrit par Thomas Langmann en fonction des possibilités d’obtenir des stars) tant l’humour est consternant et aligne les blagues tombant à plat et d’une grande lourdeur. Ainsi, même si on pourra toutefois sauver la prestation de Depardieu, la volonté d’offrir des décors impressionnants comme on pourrait l’attendre d’un film bénéficiant d'un tel budget (même si le village gaulois semble factice)spoiler: et, à la limite, la course de char qui remonte très légèrement le niveau (avec encore une fois l’idée totalement idiote de faire apparaître de manière insistante Michael Schumacher et Jean Todt) , Astérix aux Jeux olympiques est un film au final assez désolant, d’autant plus après la réussite de celui d’Alain Chabat.
"Astérix aux Jeux olympiques", comédie franco-italo-hispano-allemande réalisée par Frédéric Forestier et Thomas Langmann, sortie en 2008. Troisième adaptation cinématographique tirée de la célèbre bande dessinée du même nom de René Goscinny et Albert Uderzo, après "Astérix et Obélix contre César" en 1999 et "Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre" en 2002. Un film sorti internationalement, la bande-dessinée étant traduite dans de nombreuses langues et diffusées dans de nombreux pays. Avec toujours Gérard Depardieu dans le rôle d'Obélix et de nombreux clins d’œil à "Cyrano", Clovis Cornillac dans celui d'Astérix, Stéphane Rousseau, Sim, Franck Dubosc, Benoît Poelvoorde, José Garcia, Alain Delon, Élie Semoun, Alexandre Astier, Francis Lalanne et le grand Pierre Tchernia pour la voix-off. Un peu trop d'acteurs connus pour des prestations qui ne sont pas toutes à leur hauteur. Une scène finale frisant le ridicule avec un véritable placement de produit de guest-star qui auraient dues être soit intégrées au film (comme le sont Michael Schumacher et Jean Todt ) ou bien en être totalement absentes. Un film cependant bien réalisé, avec une très belle photo signée Thierry Arbogast, un beau graphisme architectural, techniquement c'est bien fait. Ce n'est pas le meilleur film de la série Astérix et Obélix, mais le divertissement fonctionne et joue parfaitement son rôle de comédie populaire. L'esprit de la B.D n'est pas trahi. Astérix aux Jeux olympiques est le film le plus cher de l'histoire du cinéma lors de sa sortie. Une part du budget est consacrée à la promotion du film, ce qui va créer une grosse attente et aussi une grande déception. Les spectateurs sont au rendez-vous dans les salles dans toute l’Europe, mais les critiques traduisent une grande déception. Considéré comme un film "bling-bling" qui aligne trop de célébrités sans que cela soit justifié. Le film reçoit même un Gérard du Cinéma" pour le plus mauvais film de l'année.
A fuir comme la peste un Astérix sans clavier c comme un humberger sans steak la mise en scène et les dialogue son a chier et ils voulait se rattraper en mettant des guest mais ce film est l'un des pire film du monde
Ce film est super avec Clovis et Gérard. Le décor est magnifique avec du soleil. Surtout spoiler: numerobis... Meilleur que le 4 eme et le 1er pour moi. Cet asterix est le fils avec des acteurs qui étaient fait pour ces personnages là
Je me souviens être allé voir ce film en salles. J'avais passé un moment assez pénible et la salle dans son ensemble semblait plus que dubitative.
13 ans plus tard, on ne peut pas dire que le recul ait amélioré ma vision de ce film.
Les effets spéciaux faisaient déjà datés à l'époque, aujourd'hui c'est pire. Comment a-t-on pu valider ça ? C'est inconcevable que ça ne soit pas reparti en post-production, surtout qu'il a dû y avoir des séances test qui ont dû souligner la mocheté de ces effets ...
Mais il n'y a pas que les effets qui font datés. Toute la ribambelle de caméos est marqué début XXIème siècle. Aujourd'hui, qui imaginerait offrir un rôle de barde à Francis Lalanne ?
On pourra m'objecter, sûrement à raison, qu'à l'époque voir Tony Parker, Amélie Mauresmo ou Zidane c'était quelque chose. Le problème, c'est quand les caméos deviennent le principal argument de vente d'un film.
Ces derniers se multiplient en effet pour masquer l'indigence du scénario et la pauvreté des dialogues ou de l'humour.
On propose soit des running gags lourds, soit des répliques qui tombent à l'eau, soit des vannes de cour de récré.
Je pense avoir pouffé de rire une seule fois en deux heures. C'est dire !
Bref, c'est probablement la pire adaptation ciné d'Astérix et Obélix.
Un film simpliste avec seulement de rares moments drôles qui viennent principalement du personnage de Poelvoorde (de façon plus rare du duo Lalanne/Dubosc ou Semoun). Le reste des gags est lourd et fait flop ! Le scénario est vide et l'histoire d'amour nulle. Cela tourne vite à la redondance avec un enchaînement d'épreuves sans trop de saveur et un rythme plat. La fin est interminable. Un casting quatre étoiles ne fait pas tout !
Astérix (Clovis Cornillac) et Obélix (Gérard Depardieu) participent aux JO pour aider leur ami Alafolix (Stéphane Rousseau) : il pourra épouser la princesse s’il gagne les JO. On a plaisir à découvrir le casting impressionnant au fur et à mesure, avec notamment Alain Delon (Jules César), Benoît Poelvoorde (Brutus), José Garcia… La fin étonnante fait bien sûr son petit effet (spoiler: apparition de plusieurs sportifs renommés ). Globalement le film n’est pas déplaisant. Il y a quelques petits clins d'œil sympas. Pour autant, Il y a trop d’effets spéciaux et trop peu de rebondissements. De plus, il y a une baisse de rythme en 2ème partie de film, le déroulement des JO m’a semblé un peu long.
Le film est quand même sacrément laborieux. Tout est luxueux mais en même temps lamentable dans le jeu des acteurs. Le couple est franchement atroce. On est vraiment plus du tout dans l'esprit du la bd. Poolevorde au début était pas mal mais en fait trop et c'est d'une lourdeur. A éviter
Un film qui n’a pour ambition que de divertir, et qui le fait très bien. Un scénario sans étincelles, mais qui fonctionne, est desservi par une belle brochette d’acteurs et de célébrités ( d’Alain Delon à Zidane, en passant par Alexandre Astier ) qui assurent le spectacle. On rit en famille devant ce film adapté de la célèbre bande-dessinée de Goscinny et Uderzo.
Une grosse distribution (incluant Francis Lal’âne) dont seul Alain Delon-César tire son épingle du jeu pour cette longue et faible farce aux gags puérils. On est aux antipodes du Mission Cléopâtre d’Alain Chabat.
Une superproduction pour tout public dont le seul point fort est dans les décors monumentaux et de jolis paysages.Car pour le reste,elle fait plus sourire et encore que rire,et les caméos des sportifs ne servent pas à grand chose en fait.Je ne sortirai du lot que Delon et Astier!
Ce film est émaillé ci et là de quelques notes inventives plutôt drôles ; mais ces quelques bonnes idées sont noyées dans un marasme scénaristique infantile. Le dernier quart d'heure est quant à lui lamentable : ce défilé de stars n'a aucun sens ... Enfin, la direction des rôles est fade : les personnages sont platement artificiels. Seuls deux acteurs arrivent à émerger : Benoît Poelvoorde et Alain Delon (qui est vraiment excellent : il y a notamment un dialogue avec lui-même au début du film qui est très drôle). Si l'on excepte un démarrage mauvais et une fin totalement nul, le reste peut très bien accompagner une soirée entre potes ou un temps de repassage.