Avis : L'Experience interdite - Page 2

Joel Schumacher et sa filmo éclectique nous livrait en 1990 l’un de ses meilleurs longs avec Flatliners. Sur un sujet passionnant et qui divise, il fait montre d’une belle maîtrise technique à la réalisation et réussit à créer une atmosphère très particulière entre onirisme et fantasmagorie avec pour but de tenter de percer le mystère de la vie après la mort. Et ce qui commence comme de la SF soft se transforme vite en thriller puis prend même des allures d’épouvante par la suite. On est d’accord que le principe est un peu répétitif mais chaque histoire personnelle des personnages est assez différente l’une de l’autre pour maintenir l’intérêt et d’autant plus que le casting est très costaud déjà à l’époque. Chaque comédien est en place et livre une belle prestation. L’idée de base est vraiment bonne et donne lieu à des scènes à suspens assez souvent. Finalement, et comme pour le remake, c’est la durée un tant soit peu élevée qui pose problème, rien de rédhibitoire cela dit mais c’est vrai qu’avec 15-20 minutes de moins on aurait gagné en percussion. Flatliners demeure malgré ses 35 ans un bon film, bien pensé et très bien mis en scène pour un résultat final satisfaisant et pas mal de questions qui s’immiscent dans la tête de son spectateur …

D'un sujet intéressant, on dérive vers une morale inutile qui met en l'air tout le film. Dommage, il y avait pourtant mieux à faire, et l'ouverture du thème était suffisamment importante, sans pour autant reprendre les thèses dont se servent les religions.

Bon film. Ni d'une grande originalité ni d'un ennuie total. Il se laisse regarder tranquillement avec en plus un très bon casting.

Un film dérangeant et soigné sur une bande d'étudiants en médecine qui désirent explorer la vie après la mort, ce qui les confrontera tous à leurs remords.
Entre la mise en scène très réussie de Joel Schumacher, les images très esthétiques de Jan De Bont et l'interprétation sans faille de Julia Roberts, Kiefer Sutherland, William Baldwin, Kevin Bacon et Oliver Platt, Flatliners prouve que le cinéma commercial américain savait prendre des risques dans les années 90...
Un film marquant et très bon.

Une réflexion intéressante pour un film marquant et bien interprété. Un beau petit casting avec quelques grands noms des années 90.

un bon film fantastique un casting de rêve du suspense des rebondissement jais passé un vrai bon moment

Des étudiants en médecine effrontés jouent à la poule mouillée avec un procédé qui simule la mort dans le but d'obtenir une vue temporaire espérons-le pour eux de l'au-delà. Certains rebondissements et thèmes sont un peu à côté de la plaque et le jeu des acteurs est parfois excessif. Mais le message sous-jacent sur le pardon des autres pour nos péchés réels ou supposés est positif et unique au cinéma et le casting est très très bon. La dernière séquence entre Julia Roberts et son père est si efficacement réalisée que des années après l'avoir vue j'en ai encore quelques frissons rien qu'en y pensant...

Bien meilleur que celui de 2017, mais il m'a été dur de rentrer dans ce film car Kevin Bacon et Julia Roberts ne sont pas du tout crédibles dans leur rôle de docteur, elle qui a l'air d'une playmate et lui d'une star de rock.

Ce n'est pas vraiment un film d'épouvante, il s'agit d'avantage d'une expérience scientifique et médicale pour se situer entre la vie et la mort avec un retour à la vie au bout de quelques minutes. Le casting est impressionnant, les acteurs principaux étant tous des célébrités aujourd'hui. L'expérience offre un scénario intéressant avec une histoire et un rendu différent pour chaque personnage. Exploitation relativement faible, on aurait aimé que le scénario aille plus loin qu' spoiler: une expiation de péchés mais bon...
Moyen dans son ensemble.

Un film où ils font une experience et je comprends pourquoi ce film n'est pas à la hauteur de mes esperances en tant que film fantastique. Le suspense est assez nul ! sinon, puisque l'idée est bonne, je pense que ce film doit avoir 2.

L’expérience interdite n’est pas un très bon film de Joel Schumacher. La mise en scène laisse souvent à désirer, le scénario souffre d’un manque de travail, les acteurs comme Kiefer Sutherland, Julia Roberts ou encore Kevin Bacon sont convaincants mais sans plus, le film est globalement assez ennuyeux etc… Je ne mettrais qu’un petit 06 / 20.

Un casting intéressant, un scénario qui suscite l'intérêt mais un ensemble tout juste passable. Dommage.

Un film malin intellegient qui explore la haut nous évitons d'aller... Sur un fil conducteur assez simple il develloppe un synopsis avec une réelle ambition est un twist final relativement correct. Pour les FX bah on va dire qu'ils datent un peu^^. Pour le reste, suspens, innovation, origninalité...

Qui y a-t-il après la mort ? Cette question que se pose l’humanité depuis la nuit des temps est au cœur de L’Expérience interdite ! Pour s’interroger sur celle-ci (le film n’y répondant pas véritablement), Joel Schumacher livre une histoire prenante se situant à la limite du fantastique et du psychologique en traitant un sujet original. Il offre également une réalisation efficace jouant essentiellement sur un très bon casting (Kiefer Sutherland, Julia Roberts, Kevin Bacon, William Baldwin et Oliver Platt) sans pour autant s’empêcher quelques effets de mise en scène pouvant servir la narration. Ainsi, sans être une des œuvres réellement marquantes de son époque, L’Expérience interdite reste un très bon divertissement possédant une réflexion sur la vie et la mort faisant partie des réussites de la carrière de Joel Schumacher.

Apologie du pardon. Revoir L'Expérience Interdite trente ans après sa sortie, c'est s'offrir le plaisir de re-découvrir des acteurs à leurs débuts, devenus célèbres depuis, notamment Kiefer Sutherland, Julia Roberts et Kevin Bacon. On voit déjà dans leur jeu ce qui fera d'eux des stars, pourtant rien n'était écrit d'avance et ils auraient très bien pu ne pas enchaîner les succès ensuite. Quant à la thèse sous-jacente du film, sans être dans la religion, il soutient clairement qu'il y a quelque chose après la mort clinique. Quelque chose d'indétectable par les appareils de mesure des activités du cœur et du cerveau. Surtout une souffrance, de celui qui vient de décéder ou de ceux qu'il a fait souffrir de son vivant. Une souffrance qui s'efface avec le pardon. La mise en scène est prenante, sans basculer dans l'horreur terrifiante de films comme Amityville. Suffisamment prenante pour ne pas avoir envie de tenter l'expérience, si ce n'est une seule fois, lorsque le moment est venu.