Parmi les trois opus de la trilogie "Mad Max", le dernier est celui qui a été le plus critiqué et est globalement le moins apprécié. L'histoire se déroule trois ans après les évènements du précédent film. George Miller revient derrière la caméra mais il n'est plus tout seul. Il se fait aider par George Ogilvie, un ami avec lequel il avait travaillé sur une mini-série. En revanche, pour l'écriture le cinéaste australien est accompagné de **Terry Hayes** qui avait déjà collaboré sur le deuxième film. Ensemble, ils vont élaboré le scénario de ce nouvel "Mad Max" et pas mal s'éloigner des autres volets. Alors que le premier film avait fait scandale pour sa violence, se faisant censurer dans de nombreux pays, et que le deuxième avait impressionné par sa course-poursuite finale, ce troisième quant à lui ressemble plus à un film d'aventure familiale. Le film est tout public et le récit fait intervenir plusieurs enfants. Nous sommes bien loin de la brutalité et du futur pessimiste dont on avait eu droit. On comprend que cet opus ait déçu et faut admettre qu'il est inférieur aux deux autres. Il y a plusieurs longueurs, l'histoire est inconstante, étant parfois intéressante, parfois ennuyeuse et peu crédible. L'ennuie touche le spectateur à plusieurs reprises. Cependant, le film se rattrape pas trop mal vers la fin et la bande originale de **Maurice Jarre** colle plutôt bien à l'univers. Et puis, la chanson "We don't need another hero" de Tina Turner est plutôt cool. "Mad Max : Beyond Thunderdome" est en fait un film d'aventure familial assez moyen et irrégulier mais qui n'est pas si terrible que cela.
Un troisième volet en dessous du deuxième volet. Mel Gibson incarne bien son rôle. Tina Turner a dû mal à trouver sa place dans ce film de science-fiction.
le plus commercial des 3, mais ca s'oublie vite devant les décors superbes, l'ambiance poisseuse, le casting en grande forme, et un coté enfantin sans naïveté qui séduit toujours 22 ans après. pas le meilleur, mais un très bon film, un classique du genre.
Pour les amateurs de la franchise évidemment ce sera un plaisir de retrouver MAD Max néanmoins cette version qui semble plus réchauffée voire commerciale m a moins convaincu, certes Tina Turner y donne une nouvelle âme mais bon ... ça manque d originalité. Sans doute le moins bon rejeton de la série.
mad max 1 et 2 sont géniaux mais bizarrement le 3 est un navet et cela est certainement du au fait que tous les éléments faisant la force des deux premiers ont disparus
3ème volet dans l'ensemble en dessous des 2 premiers volets mais qui reste convaincant !! George Miller nous à concocter un Mad Max un peu trop " tous publics !! " . Il manque cruellement cette violence, cette folie, cette sauvagerie qui faisait le charme des autres opus !! Quelques longueurs notamment avec les enfants mais quelques scènes valent le couop , la bataille du dôme et la course finale sont réussis !!
Se voulant plus "grand public", « Mad Max au-delà du Dôme du Tonnerre » s’avère être une réelle déception, perdant par la même occasion de son identité propre. Visuellement, le film n’est pas trop mal (costumes, décors), mais impossible de se passionner véritablement pour son intrigue. C’est périodiquement lent et ennuyeux, malgré un réveil tardif avec une ébouriffante course-poursuite en guise de conclusion. Ni l’humour, ni la présence étonnante de Tina Turner, n’arrivent à sauver ce troisième volet, pourtant optimiste, du naufrage.
Dans la lignée des deux premiers volets : décalé et assez violent mais avec cette fois une mise en scène plus posée, plus linéaire. Un rôle assez intéressant pour Tina Turner, Mel Gibson est lui dans son registre habituel mais un opus généralement moins bon car plus commercial. Sans plus.
Prabablement le meilleur des trois, mais qui perd un peu le fil de la trame du début. Ce n'est plus la recherche d'essence, c'est le recherche d'un nouveau monde. Un remake de la trilogie pourrait être sympa avec les effets spéciaux actuel.
Le moins bon de cette trilogie fantastique qui nous prouve qu'il faut savoir ménager sa gourmandise pour ne pas franchir les barrières du moyen, du réchauffé et de la déception.