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Chaill
13 abonnés
396 critiques
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5,0
Publiée le 22 mai 2014
Chef d'oeuvre absolu du thriller et de l'épouvante, on peut affirmer sans hésiter qu'il n'a pas pris une ride tant il est palpitant! L'incendie du début, le tueur masqué... Le tout est filmé magistralement avec des couleurs flamboyantes et une interprétation de qualité de V Price nottament. A voir aussi Charles Bronson dans un de ses premiers rôles.
Destiné à l'origine à la 3D, ce film a permis à Vincent Price, acteur d'une très classe et d'une très élégance, de devenir une grande star du fantastique. C'est par ailleurs son interprétation de sculpteur fou qui fait tout le sel de ce film car malgré un début très réussi la suite malgré son aspect macabre n'arrive pas à instituer un climat d'épouvante et de plus les personnages gentils sont totalement insipides. On remarquera dans le rôle de l'assistant muet du sculpteur fou, un certain Charles Buchinsky (qui fera carrière par la suite sous le nom de Charles Bronson). Une déception du fait que je m'attendais à un grand film du genre.
L'un des classiques du film fantastiques des années 50. Une atmosphère bien rendue (les scènes de brouillard), une mise en scène correcte. On passe un bon moment a regarder ce film classique mais de qualité, même si il faut avouer qu'il vaut beaucoup aussi pour l'interprétation de Vincent Price, impressionnant.
Vincent Price est un acteur de grand talent et l'Homme au masque de cire s'inscrit parmi ses meilleurs films. Il s'agit de son premier film d'horreur, genre qui occupe la plus grande partie de sa carrière avec des titres aussi évocateurs que la Chute de la Maison Usher, le Grand Inquisiteur ou encore la Chambre des Tortures. Et le personnage de Jarrod n'est que le premier d'une longue série de personnages torturés ou malfaisants qu'il incarnera tout au long de sa prolifique carrière. L'Homme au Masque de Cire est également l'un des meilleurs films réalisés par André de Toth (la Chevauchée des Bannis, la Rivière de nos amours). Dans ce film, le cinéaste compose ses plans avec finesse. Visuellement, le film est très agréable à voir avec notamment des décors et des costumes très beaux. Et le scénario avec pour fond une histoire de vengeance macabre est relativement captivant. Bref, un vrai classique du film d'épouvante à redécouvrir.
Ce classique du cinéma offre un récit d'épouvante efficace qui aujourd'hui fait plutôt sourire que frémir. Ce film a su garder un certain charme grâce à une réalisation de qualité et des acteurs charismatiques dont Vincent Price. L'histoire est cohérente et montre crescendo jusqu'au final qui même si l'issu est prévisible, ménage le suspense avec brio. Une curiosité à voir avec beaucoup de plaisir.
Voici un film que j'adore depuis longtemps et que je suis content d'avoir revu. L'ambiance, les costumes, la musique, les décors et le scénario original font de ce petit film une vraie réussite. Vincent Price s'avère être l'acteur idéal pour ce film d'épouvante réalisé par André De Toth. Bienvenue à tous au musée des horreurs. Cultissime.
Un chef d'oeuvre de l'époque, l'apogée de Vincent Price, la douceur de Phyllis Kirk et une histoire toujours prenante. Le film a beau avoir plus de 50 ans, il n'en reste pas moins angoissant. Les décors y sont pour beaucoup. A voir absolument au moins une fois dans sa vie.
L'homme au masque de cire est un film de 1953, réalisé par André De Toht, il est le remake de Masques de cire (Michael Curtiz, 1933). Henry Jarrod est un artiste sculpteur qui crée et dirige son musée de cire, lorsque son associé le trahit en mettant le feu à ses œuvres et à son musée. Jarrod parvient à s'en sortir mais il est gravement brûlé. Dix-ans après, il réapparaît mystérieusement guéri pour inaugurer un nouveau musée, pendant ce temps-là... D'inquiétante disparition commence à se produire. Il faut reconnaître que le travail effectué, est tout à fait convaincant pour un film aussi vieux, l'histoire est intéressante, le casting satisfaisant et la photographie jolie ! C'est loin d'être choquant ou encore violent, mais l'histoire est bien gérée même si parfois, le rythme est à la traîne et que tout s'accélérer dans les dernières minutes. Plutôt pas mal, si nous tenons compte de son année de sortie.
Bon ... le scenario avait l'air pas mal mais le film est plutôt décevant, on s'ennuie ferme pendant la derniere heure. Je n'ai pas vu l'original de 1933, mais ça ne m'a pas tellement donné envie. La mise en scene est très plate, mais ça atteint le sommet du grotesque quand, sans aucun liens avec le scenario, on montre un mec qui joue du jokari pour justifier la 3D (au moins ça m'a fait rire, je m'en souviendrais longtemps de cette scene)
C'est un remake pas trop mal je vais dire pour un début des années 50, avec du suspense, des effets assez intéressants dans l'ensemble. Mais rien de réellement révolutionnaire, encore moins de visionnaire ; il n'a même pas l'atout de l'originalité. Néanmoins il est plus attrayant que son propre remake, le film fait en 2004. A voir si l'occasion se présente.
Remake du Masques de cire de Curtiz, plus réussi que l'original. Même début et même fin, mais le reste diffère un peu, notamment avec l'apparition de ce personnage de tueur défiguré (le fameux Homme au masque de cire) qui ressemble parfois à Jack l'Eventreur lorsqu'il poursuit ses victimes dans les rues embrumées. Le scénariste s'est débarrassé de tout ce qui était superflu dans le premier film et privilégie les scènes angoissantes, et André De Toth instaure une atmosphère horrifique efficace, qui produit toujours son petit effet plus de soixante ans après. En 1996, Sergio Stivaletti réalisera à son tour un remake, plutôt inspiré de cette version d'André De Toth, mais bien moins réussi cette fois.
L'homme au masque de cire est un film de 1953, réalisé par André De Toht, il est le remake de Masques de cire (Michael Curtiz, 1933). Henry Jarrod est un artiste sculpteur qui crée et dirige son musée de cire, lorsque son associé le trahit en mettant le feu à ses œuvres et à son musée. Jarrod parvient à s'en sortir mais il est gravement brûlé. Dix-ans après, il réapparaît mystérieusement guéri pour inaugurer un nouveau musée, pendant ce temps-là... D'inquiétante disparition commence à se produire. Il faut reconnaître que le travail effectué, est tout à fait convaincant pour un film aussi vieux, l'histoire est intéressante, le casting satisfaisant et la photographie jolie ! C'est loin d'être choquant ou encore violent, mais l'histoire est bien gérée même si parfois, le rythme est à la traîne et que tout s'accélérer dans les dernières minutes. Plutôt pas mal, si nous tenons compte de son année de sortie.
Très beau film. Ayant eu la chance de le voir en 3D (lors de la "rétrospective film en relief" organisée par la Cinémathèque française courant décembre 2009), j'ai pu découvrir une des merveilles du fantastique des années 50. Les distances et la profondeur étaient vraiement bien ressenties... Je conseille vivement (même s'il n'est qu'en 2D)...