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    Who's that Knocking at My Door
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    cylon86
    cylon86

    2 256 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2012
    Premier long-métrage de Scorsese, "Who's That Knocking at my door ?" met déjà en place le style et l'univers du cinéaste : on y retrouve la religion, le goût pour le cinéma, l'influence de la Nouvelle Vague et du néo-réalisme, la musique rock'n'roll qui vient ponctuer des séquences, des petits truands et l'énergie de la mise en scène que Scorsese ne perdra quasiment jamais. On admire déjà le style et le talent d'acteur du jeune Harvey Keitel même si certaines expérimentations ne fonctionnent pas et que le scénario n'a rien de vraiment original et manque cruellement de rythme.
    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2012
    Tout le cinéma de Martin Scorsese dans ce premier long...? L'ensemble est digne d'intérêt mais ne nous emballons pas : Who's that Knocking at my Door doit être reconnu pour ce qu'il est, c'est à dire un film de fin d'études. Si la réalisation promet quelques scènes réjouissantes ( principalement un plan-séquence virtuose de cinq minutes au début du film ), elle oscille maladroitement entre mouvements de caméra démonstratifs et moments d'intimité tour à tour émouvants et insignifiants. On regrette aussi un peu l'utilisation quasi permanente d'un accompagnement musical : si les morceaux sélectionnés par Scorsese sont alléchants, ils sont parfois incorporés à mauvais escient au métrage. Cela dit, Harvey Keitel se fait d'ores et déjà remarquer par sa première apparition à l'écran : sa prestation s'avère charmante. Pour ce qui est des thématiques du film, on constate effectivement les caractéristiques du cinéma scorsesien : machisme, marginalité mais surtout culpabilité sont autant d'idées présentes dans l'esprit du cinéaste. Un bon premier film, généreux ainsi qu'ambitieux. A voir sans trop s'emballer, donc.
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2021
    Harvey Keitel est le visage d'un début de carrière. Avant de faire le bonheur de Ridley Scott et Quentin Tarantino, il est choisi pour incarner une certaine jeunesse américaine filmé par le futur très grand Martin Scorsese. Le cinéaste américain qui prouve déjà ici l'étendu de son talent de metteur en scène. Un noir et blanc solaire, des petites frappes très juvéniles et inoffensives. La religion déjà bien présente et pesante, au cœur du sujet principal du film : le mariage. Le passé malheureux de cette jeune femme cause le questionnement d'un jeune homme à principe. La transgression et la réflexion est déjà présente. Who's that knocking at my door se veut social.
    loulou451
    loulou451

    105 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2010
    Avec "Who's that Knocking at My Door", Scorsese jette les bases d'un cinéma anglo-américain qui arrivera à son apogée dans les années 70 et 80. On y retrouve déjà tous les stigmates du cinéma Scorsésien, références à la bible, jeux de miroirs avec la religion, violence, humanisme écorché, rage de vivre au milieu du chaos.
    NewBoorn
    NewBoorn

    54 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 février 2016
    Si l'oeuvre est imparfaite avec des redondances ennuyeuses et gênantes, le premier long-métrage du génial réalisateur est déjà porteur des aspects fondamentaux de son cinéma : énergie incontrôlable de ses personnages, amour fusionnel puis destructeur, univers autour de malfrats (plutôt amateurs, ici), importance de la famille et religion... Son premier acteur fétiche aussi, Harvey Keitel, et une scène culte, celle où ce dernier est allongé dans un lit façon crucifix...
    JeffPage
    JeffPage

    33 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2012
    Premier film de Martin Scorsese, celui-ci nous raconte les magouilles et l'histoire d'amour de J.R., jeune new-yorkais habitant à Little Italy.
    Sorti en 1967, ce film aura pris 3 ans à Scorsese et plusieurs tournage différent, ce qui explique une différence d'image entre les plan, certains ayant été tourné en 35mm d'autre en 16mm. Déjà dans ce premier film on retrouve les thèmes classique de Scorsese : la religion et le milieu du crime organisé (bien qu'ici il ne s'agisse que d'une bande d'amis vivant de petit larcins). On retrouve aussi Harvey Keitel, alors débutant, dans le rôle de J.R.. Coté réalisation, le style Scorsese n'est pas encore là (après tout il s'agit d'un film d'étude) mais on sent une influence importante de la nouvelle vague sur le film. Coté musique, l'ensemble est discret mais on retiendra la séquences de sexe accompagné par The End des Doors, montrant déjà la passion de Scorsese pour le rock.
    Au final, on a affaire à un film sympathique permettant de retourner au débuts de la carrière de Scorsese.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 octobre 2011
    Ce premier film de Martin Scorsese, me laisse perplexe. En effet, les plans de caméra, les jeux d'acteurs et l'effet qui ressort de la nouvelle vague française, avec ces faux raccords au montage, des dialogues très vague et à répition donne au film une grande profondeur et annonce directement le talent du réalisateur. Néanmoins, le film se perd facilement car il est hésitant et nous ne savons pas trop où le film veut en venir pour se rendre compte à la fin, l'impression d'avoir loupé un épisode.
    oranous
    oranous

    131 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2009
    Techniquement parlant, ce n’est pas parfait. La photographie n’est vraiment pas a féliciter. Certains plans sont bien trop sombres. On a du mal a tout percevoir.
    Au niveau du scénario, je me demande toujours quelle est l’histoire qui peut permettre au spectateur de ne pas lâcher. Pas d’intrigue, pas d’histoire, pas de but.
    La seule chose que l’on puisse retenir c’est la réalisation presque parfaite. A part des fois des gros plans moches.
    Finalement « Who's That Knocking At My Door” est aussi chiant que “Means Street”. Le premier film d’un Scorsese qui heureusement ferra plus tard des films bien plus intéressants.
    Julien D
    Julien D

    1 102 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2013
    A la vue des erreurs techniques (tels que son montage assez brutal ou encore le perchman que l’on aperçoit dans le cadre dès la scène d’ouverture) qui s’accumulent dans Who's that knocking at my Door, on devine aisément qu’il s’agit de l’œuvre d’un jeune réalisateur à peine sorti de l’école. Mais ces quelques faiblesses sont tout à pardonnable tant les idées de mises en scènes sont preuves d’un talent indéniablement prometteur. Parmi coups de génie, on peut retenir par exemple la fameuse scène de "câlins" sur fond des Doors qui est tout simplement inoubliable. Le jeune Martin Scorsese réussit en effet à nous présenter avec brio dès son premier long-métrage, qui n’a pourtant pas encore la profondeur de ses œuvres suivantes, quelques-unes des grandes thématiques de sa future filmographie, à savoir la délinquance au sein de la communauté italo-américaine, ainsi que la rédemption pouvant passer par l’amour ou par la foi chrétienne.
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 septembre 2009
    Une curiosité que ce premier film de Scorsese, à voir pour découvrir Keitel dans son presque premier rôle, encore angélique mais déjà si puissant, et traquer les obsessions du cinéaste, si imprégné par son éducation catholique, et sachant, même si c'est encore maladroit, créer une atmosphère unique dans son cher New-York.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    160 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 janvier 2010
    Il est vrai qu'il n'est pas difficile de reconnaître la patte de Scorcese dans son premier film dans lequel tous les ingrédients de ses futurs succès sont déjà là. Harvey Keitel crève déjà l'écran du haut de sa petite vingtaine d'années à tout casser, dommage pour lui qu'une autre légende croisera la route de Martin dans "Mean streets" un peu plus tard... L'histoire sur cet amour impossible est assez touchante et bien construite, on sent le futur grand réalisateur encore en repérage, qui tâtonne et essaye. Un bon début pour une future grande carrière qui commence à partir en eau de boudin à mon goût depuis "Gangs of New-York".
    annastarnomberon
    annastarnomberon

    118 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2011
    Particulier... Pour son premier film Scorcese a tout de suite tapé fort. Traiter de la question du viol, et de comment un homme catholique se retrouve face à sa pratique de la foi est ambitieux et risqué : pas sûr que le public accroche. On retrouve bien dans Who's that knocking at my door les problématiques Scorcesiennes : hommes torturés, tiraillés, soumis à des remises en question. Je n'ai pas été emballée par l'histoire du film : trop long à se lancer, montage confus (on oscille entre les flashbacks, les pensées de JR, et le moment T sans vraiment savoir où on en est). Mais la démarche du réalisateur est intéressante : il met en scène un milieu catholique très macho (sans pour autant induire de jugement de valeur dans sa façon de filmer), et le revendique pleinement. En atteste le fait que le seul personnage féminin ayant un rôle notable dans le film n'est jamais nommée et est appelée "The girl" dans le générique. A côté du scénario que je trouve intéressant mais pas divertissant, j'admire la verve de Scorcese pour tout ce qui est de l'esthétique. La caméra est déjà excellente à l'époque : que ce soit lorsqu'elle tourne autour des personnages ou lorsque qu'elle change sans cesse d'angle de vue. Plusieurs scènes sont montées à partir de différents plans, ce qui donne un côté très théâtral au film. La bo aussi est bonne, surtout ce morceau des Doors dans la scène presque hallucinatoire où Keitel se souvient (ou rêve) de ses différentes conquêtes. Keitel qui est d'ailleurs purement excellent, très crédible ! Et c'est drôle de le voir si jeune avec une bouille ronde. En fait ce film est bon à voir parce qu'il possède véritablement la touche Scorcese et qu'il amène à réflexion, mais je le déconseille aux gens qui ont envie de divertissement ou d'être tenu en haleine.
    Thomas Roavina
    Thomas Roavina

    23 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2008
    Première oeuvre de Martin Scorsese construite sur plusieurs années dans des conditions semi-professionnels, il en ressort un film brouillion mais pleins d'idées et surtout d'une liberté d'expression caractéristique de l'époque. Fortement inspiré de la Nouvelle Vague française et surtout de Jean-Luc Godard, le "Who's that..." de Scorsese essaye de peindre à la manière du "Mépris" l'éclatement d'un jeune couple. Si la mise en scène et les dialogues rappellent (trop) les films de Godard, les thèmes en sont différents : Culpabilité, omniprésence du catholicisme, recherche de rédemption, Scorsese n'a jamais autant montré sa culpabilité envers son éducation religieuse. Avec sa caméra, il réalise des choses incroyables, des prises de vues osés et un découpage le caractérisant déjà. La musique intervenant toujours à des moments euphoriques est techniquement ce qui a le plus reussis dans ce film. Mais la construction du récit est bancal : scènes entres amis n'ayant pas vraiment de sens entre elles puis celles meilleurs avec J.R et sa copine (trés mignonne par ailleurs). Le film de M.Scorsese ne trouve pas de stabilité mais ce suit agréablement grâce à des acteurs s'immiscant parfaitement dans l'esprit du cinéaste. Une des meilleurs interprétations d'Harvey Keitel parfait alter ego du réalisateur. Alors fragment de vie d'un pti mec de Little Italy ? Chronique du même quartier ? Essaie cinématographique ? On ne saurait dire, peut être que "Who's that..." est tout ça à la fois et même si c'est un peu du n'importe quoi, cela reste fort sympatique et impresionnant de virtuosité.
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    138 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 janvier 2009
    Premier long-métrage de Martin Scorsese, "Who's that knocking at my door ?" pose d'un bout à l'autre les bases d'un cinéma propre à son auteur aussi bien dans les caractères des protagonistes présentés (notamment le fameux JR, alter-ego du cinéaste) que dans la forme strictement visuelle, fourmillant d'inventivité malgré des moyens très limités (et par moyens, je n'etends pas forcément que le budget). Ainsi, nous découvrons un film dans la continuité des courts-métrages initiaux, clairement marqué par une riche cinéphilie et un amour inconsidéré pour le septième art. Se dessine ensuite le portrait d'un immigré habitant dans Little Italy, petite frappe un peu machiste mais se découvrant un amour réel pour une jeune femme qu'il ne parvient à considérer en raison d'un viol subi par le passé et qui la "dépurifie" à ses yeux. Semblant de chrétienté, de culpabilité catholique essentiellement, exploration de la notion de pêché et de rédemption, le tout illustré par de nombreux symboles et métaphores, qui deviendront pour certains une marque de fabrique de Scorsese (cf miroirs, portraits de vierges...). Le couple est plutôt creusé et donne dans son traitement un sentiment nouveau, déjà entamé avec "Bonnie And Clyde" et qui caractérisera le Nouvel Hollywood tout le long de sa glorieuse décennie. Les plans sont souvent originaux, pris dans des angles impossibles et obéissant à une logique de montage à l'époque nouvelle et dynamique, recelant d'idées de tous chemins la majeure partie du temps originales et marquées de par le style Scorsesien. Quelques séquences sublimes, une virtuosité à toute épreuve (chapeau dans la maîtrise de la narration, impressionnante), un duo d'interprètes justes et déclompexés pour une oeuvre puissante qui ne laisse pas indifférent. La musique est géniale ; on pourra toutefois rester critique en énonçant les nombreuses fautes techniques dues à un professionnalisme très relatif. A voir sans faute !
    LBDC
    LBDC

    85 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2015
    ée sous le signe de l’immersion:
    – Dans un New York singulier par sa proximité;
    – Au cœur d’un microcosme culturel, le milieu italo-américain: violent, mais pas encore vraiment mafieux comme dans le reste de la filmo;
    – Dans la tragédie de l’intime auquel devra faire face un couple trop dépareillé.

    Il y a quelque chose de véritablement touchant dans ce tout premier film de Scorsese, au delà de ses parti-pris formels.
    Une émotion, des sentiments qui circulent à travers cette romance, et qu’on n’observera que très rarement chez le réalisateur… Mais également une vision inédite de la culture italo-américaine, disséquée du point de vue de la considération de la femme.
    L’idée est placée des la première scène puis répétée au cours du film: ce que l’homme cherche chez une femme, c’est une maman. Toutes les autres, seront des « broad », expression particulièrement dévalorisante, signifiant « large » au sens littéral, « pute » dans le langage local. Scorsese observe avec finesse ce déterminisme relationnel finalement assez tragique dans lequel sont coincés les deux personnages centraux, malgré leur puissant amour.

    Dans la forme, la mise en scène si typique de son cinéma n’en n’est qu’à son balbutiement. Pas encore de stylisation de la caméra (plans séquences ultra-dynamiques, mouvements latéraux signatures…) mais déjà une utilisation de la musique illustrant avec précision l’action; L’immersion typique de son cinéma est déjà présente, quoique presque intégralement confiné dans les décors intérieurs et s’exprimant dans le dialogue. Le noir et blanc, la liberté totale du rythme, et l’imprévisibilité du script renvoient quant à eux, à la nouvelle vague – tout du moins c’est la seule référence que je peux affirmer, avec mon simple bagage culturel.

    Cette liberté artistique est d’ailleurs partie prenante de la stimulation provoquée par le film; les enjeux sont placés assez tard dans le film (la révélation de « la fille ») mais redéfinissent totalement les rapports qu’entretiennent les personnages entre-eux. Ainsi, l’autre (homme ou femme) semble n’avoir d’autre fonction que de palier à un déficit affectif profond.
    Les femmes n’ayant d’autre utilité que sexuelle (hormis « la bonne »), ne reste que la camaraderie pour combler ce manque affectif. Scorsese illustre cela avec subtilité, via quelques scènes assez marquantes et/ou stylisées:
    – Une soirée entre mecs ou la finalité sera de prouver sa virilité, sa propension à l’humiliation – génialement mis en scène par travellings ralentis successifs, et sans autre son que de la musique extradiégétique.
    – Un défilement (fantasmé ?) de « broads », de corps, filmés avec une caméra retranscrivant assez bien les idées de vertige et d’abandon dans le sexe désintéressé.
    – Une excursion hors-New York, ou la possibilité d’évasion vis à vis des valeurs est suggérée (laisser libre cours à la poésie, à l’ouverture culturelle ?)
    – Une seconde soirée thématiquement identique à la première, mais ou la « femme-broad » sera le centre des enjeux.

    Parallèlement à cette triste(?) représentation, la relation entre J.R. (Harvey Keitel) et « la fille »(Zina Bethune) se construit sous forme de flashbaks indissociables de fantasmes, et ponctuant le « présent » par le contrepoint. Construite avec délicatesse et pudeur, ces moments captent les diverses étapes de la séduction, puis la tentative de vie commune.
    Durant la première phase, Scorsese fait son personnage masculin s’exprimer par le biais de la culture, cinématographique notamment. John Wayne et le western Ford-ien sont l’expression idéale de ses valeurs, celles de l’homme dur mais juste, dont le charisme est façonné par ses convictions vis à vis du monde.
    Elle, apparaissant d’abord plus effacée que lui, possède un passif insoupçonnable qui composera rétroactivement sa relation à l’Homme, à lui.
    La progression de leurs sentiments réciproques est parfaitement retranscrite, faisant naître une véritable empathie envers ce couple. Une empathie qui permettra indéniablement de voir plus loin que leur simple histoire lorsque le drame de l’intime fera petit à petit son entrée.

    En définitive, l’idée que l’on pourrait se faire du réalisateur à partir des thèmes émaillant sa filmo (mafias, immersions presque documentaires, ambition, violence ou instabilité) et de la vision de la femme à l’intérieur de ses films sont complètement bouleversés par ce profond WHO’S THAT KNOCKING AT MY DOOR et sa sensibilité, insoupçonnable chez Scorsese à l’exception du magnifique Alice n’habite plus ici sur lequel je reviendrai bientôt.

    Je n’ai toutefois pas encore vu Boxcar Bertha (film suivant), Raging Bull, Le Temps de L’innocence et La couleur de l’Argent.
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