Avis : Des souris et des hommes - Page 3

L'adaptation du roman de Steinbeck par Sinise est vraiment réussie. A commencer par les prestations des 2 acteurs principaux : Sinise et Malkovich. Amis dans la vie, là, c'est le premier qui offre un role difficile mais splendide au second. Et cette amitié transpire jusque sur la pellicule. Cette histoire, mise en image par le père de Gary lui-même m'a ému aux larmes. On appreciera aussi la description de cette Amérique agricole des années 30, rude et raciste. Un excellent moment.

si l'histoire est touchante, c'est avant tout l'interprétation de John Malkovich qui est exceptionnelle

J'avais déjà trouvé le livre inintéressant, le film ne pouvait donc pas être mieux. La faible lueur qui s'en dégage provient de l'excellente interprétation de Lennie par John Malkovitch. A zapper donc.

Remarquable film de sinise , terriblement émouvant, ou malkovich donne la pleine mesure de son talent.

Le film est une très bonne adaptation du livre. Resserré. Sans effets. Humain par dessus tout.
Dramatique évidemment et tragique avec une sorte de lueur de paradis dans un récit noir où la perversion détruit tout.

De et avec Gary Sinise, cette adaptation du chef d'œuvre éponyme de John Steinbeck est très fidèle et si, format ciné oblige, l'imagination qu'offre l'œuvre littéraire est mise de côté on retrouve parfaitement l'ambiance des années 30 qui y est relatée. Ici la part belle est donnée au casting et notamment à John Malkovich, plus que convaincant en Lenny, ce colosse aux pieds d'argile, simple d'esprit à la force impressionnante. Bien sûr lorsque l'on connaît le bouquin on n'est pas surpris mais cette atmosphère tendue très propice à la tragédie en sommeil est du plus bel effet. Parfois un peu longuet ça se laisse tout de même très bien suivre jusqu'au final particulièrement touchant.

Adaptation soignée et académique mais manquant de souffle du roman de Steinbeck, une belle et tragique histoire d'amitié dans l'Amérique de la Grande Dépression, qui doit beaucoup à l'excellente prestation de John Malkovich.

Deux ouvriers, George est brillant, Lennie est un colosse simplet. Ils sillonnent les routes à la recherche de travail dans le but de mettre de côté et se payer un coin tranquille où vivre sans histoire. Mais les patrons cherchent des noises et Lennie n'aime pas qu'on dise du mal de George. Un film assez touchant qui montre la difficulté pour les personnes incapables de vivre seules, à s'intégrer dans les communautés où la méchanceté prime souvent sur l'innocence.

Le cinéma, fossoyeur de la littérature ? C'est la question que je me pose après avoir vu cette adaptation. Voir ce film après avoir lu le bouquin, c'est un peu comme aller manger au McDo après avoir été dans un trois étoiles. Pourtant, ce n'est pas vraiment mauvais (cf par exemple le film "Mme Bovary" qui est honteux), juste sans saveur. Et voir John Malkovich faire le neuneu pendant 1h30, c'est usant pour les nerfs.

Pour son deuxième film Gary Sinise s'attaque à l'adaptation d'un célèbre roman. Et il s'en sort plutôt bien, très classique dans son approche elle n'en demeure pas moins efficace. Le tous est bien interpréter et se laisse agréablement suivre, la fin suscite peut-être moins d'émotions que le livre mais reste convaincante.

Même s'il ne sublime pas l'ouvrage de Steinbeck, cette adaptation porte assez d'humanisme pour en ressortir grandi.

Un très bon film. Un très bon drame inspiré d'un roman de John Steinbeck . John Malkovich incarne un autiste face à son frère incarné par Gary Sinise .

Fidèle au livre de Steinbeck, Des souris et des hommes de Gary Sinise est un film bouleversant, interprété par un John Malkovich dont la performance à l'écran est tout simplement exceptionnelle!
Un film à chialer comme une madeleine même si l'académisme de la mise en scène nuit parfois à l'intensité dramatique lors du climax final

Le bouquin se lit bien, sans plus, célèbre de la littérature nord américaine, l’histoire me m’a pas transcendé d’émotion, il faut dire que les œuvres de John Steinbeck sont complexes, dans le contexte de la grande dépression, la misère sociale sévit et fera redescendre sur cette terre ce que représente le paysage de l’agraire, la désillusion des rêves, l’honnêteté du travail manuel et machinal, des longueurs d’ennui, des personnages peu crédibles, alternant l’idiotie et le ridicule. Le grand bêta Lennie/John Malkovitch est un jeu non naturel, le rôle ne convient pas, le dénouement était prévisible au vu du lourd passé du personnage, une mise en scène médiocre et vite fini, le fort lien du duo inséparable n’est d’approfondissement complémentaire, dommage.

Une superbe histoire (normal car adapté de John Steinbeck). Gary Sinise met en scène de jolie manière les idées de l'écrivain. Malkovich est impeccable dans son rôle, rien à reproché a cette oeuvre qui se termine par une scène magnifique et dure, émouvante.