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    Shadows
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    Jean-luc G
    Jean-luc G

    46 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 août 2023
    Un premier film joué comme une impro de jazz et dans l'esprit novateur de la nouvelle vague. Présente un intérêt surtout historique par la mise en scène d'un mélange racial au sein de la beat generation à New-York, qui contraste avec le racisme profond d'une bonne partie de l'Amérique profonde.
    DVD1 - aout 23
    JacksVDL
    JacksVDL

    16 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 avril 2020
    1/ Pour la fiévreuse atmosphère jazzy qui se dégage du film ;
    2/ Pour la mise en scène libre qui ouvre la voie à un nouveau cinéma.
    Denis L.
    Denis L.

    1 abonné 32 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    très très ennuyeux... des dialogues vides, et rien d'autre. Heureusement, le voyage dans une époque que le film nous offre permet d'y voir un intérêt, qui n'existait pas à sa sortie.
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 août 2019
    Le premier film de John Cassavetes à l'influence très nouvelle vague qui aborde le sujet du racisme. Film élégant, belle direction d'acteurs mais pas très prenant.
    Frédéric P
    Frédéric P

    14 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2019
    Ce film de 1959 vaut avant tout pour l’impression de vérité qu’il transmet. Le générique de fin affirme qu’il s’agit d’une improvisation. Quel crédit accorder à cette affirmation ? Certes nous avons des comédiens non professionnels. Mais le rythme est donné par le montage. Le film est tourné surtout en gros plan voire en très gros plan. Cassavetes casse les codes du cinéma de studio avec son approche indépendante et sa sensibilité aux questions sociales et aux questions des rapports blancs/noirs aux États-Unis.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 décembre 2017
    Quand la forme fait de l’ombre à la matière ! Shadows aborde dans une tout autre facture la même thématique que celle que l’on retrouve dans Imitation of life de Douglas Sirk, c’est-à-dire la quête d’identité des personnes noires ayant la peau plutôt pâle. Ben et Leila errent dans les rues de New York avec appréhension ne sachant trop comment s’afficher et à qui faire confiance. Malgré l’importance du sujet, le film n’a pas marqué le 7ième art par son contenu, mais par la manière dont il a été produit. Shadows est perçu comme une oeuvre pionnière du cinéma d’auteur. Ces œuvres signées par leur réalisateur et non initiées par les grosses machines de production. Donc pas de budgets faramineux, pas de stars sur l’affiche et encore moins de photos de vedettes enlacées en vue de la promotion. Pas de mise en scène et de découpage technique tout écrit d’avance avec des déplacements de comédiens réglés au quart de tour. Ici c’est la caméra qui s’ajuste à l’action et au jeu improvisé des acteurs. Tout cela occasionne des maladresses ici et là : Des hors foyer non planifiés, un manque de rythme entre les répliques, etc. Mais la finalité dans une telle démarche cinématographique ne se calcule pas par le nombre de beauty shot. Elle réside plutôt dans la liberté de création et dans la vérité non manipulée que l’on retrouve à l’écran. En plus de refléter sa génération, le premier film de John Cassavetes a contribué à l’émergence d’un nouveau cinéma qui allait permettre de jeter un œil différent sur le monde qui nous entoure.
    Nicolas S
    Nicolas S

    38 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2017
    Avec ses personnages qui, en trois mots, apparaissent plein d'humanité, ses dialogues au cordeau et sa réalisation dynamique, 'Shadows' est un film foisonnant et plaisant. L'histoire, néanmoins, est plutôt anecdotique.
    Plume231
    Plume231

    3 472 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2014
    Ce n'est pas le premier style "Nouvelle Vague" dans le Pays de l'oncle Sam puisque Morris Engels est parvenu à faire de la "Nouvelle Vague" quelques années avant la "Nouvelle Vague" de manière plus fraîche et dynamique avec "Le Petit Fugitif", mais c'est un des rares films américains style "Nouvelle Vague".
    John Cassavetes pour son premier film réalise ce qu'il appelle une improvisation dont le sujet tourne autour du racisme autant du côté des noirs que de celui des blancs. L'improvisation donne quelques caractéristiques intéressantes comme la musique jazzy qui colle parfaitement à l'image.
    Mais le manque total de structure scénaristique empêche la profondeur de l'histoire et celle des personnages. On regarde d'un œil vaguement (très vaguement !!!) intéressé ces ombres mais jamais passionné.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2014
    Un beau film, nuancé et sensible, avec une caméra proche de ses personnages qui provoque l'empathie de façon imparable. Toutefois, le film ne parvient pas à garder un rythme constant, que ce soit dans l'intensité générale ou dans la capacité à faire ressentir les émotions. Du coup, même si quelques scènes sont extrêmement fortes, notamment dans le discours qu'elles proposent et dans leur réalisation, la plupart des images restent un peu trop froides et ne permettent pas au film d'avoir un impact plus fort. Une mise en scène néo-réaliste qui vaut le détour, mais pas impeccablement rôdée.
    Truman.
    Truman.

    203 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2014
    John Cassavetes brise les codes du genre comme la nouvelle vague sut le faire pour offrir un style vif et sobre aux interprétations improvisées .
    La caméra offre de très beau plans, la restauration est très bonne et nous allons dans un vieux New-York des années 50 sous de douces mélodies de trompettes entre des néons et des affiches de Brigitte Bardot, entre la complicité et la difficulté de frères et soeurs face à leur job ou leur amours .

    Cassavetes dénonce le racisme avec subtilité sans trop appuyer cette partie pour ne pas sombrer dans le grossier et offre du Jazz de bout en bout, l'ensemble me rappel du Scorsese dans sa façon de filmer les gens et New-York sous ses airs de jazz .

    Pour un premier Cassavetes c'est du bon malgré que ça ne mène pas très loin
    DenbroughX
    DenbroughX

    53 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2014
    Un film bien étrange, tellement réaliste qu'on en dirait presque un documentaire, mais tout cela est bien de la fiction, mais à ne surtout pas classer comme un docu-fiction ! C'est du cinéma très réaliste, avec des acteurs en improvisations totales, sans aucuns textes ni réél directives et un profond refus de la mise en scène au service d'un cinéma visant à mystifier le spectateur et à le séduire, ici tout est brut, vif et sans aucun effet ni tentative de récit. C'est sans aucun doute ce qui fait sa force, les personnages jouent leur propre rôles (et ont d'ailleurs leur propres noms) et tente de jouer leur vie devant la caméra avec un jeu en roue libre comme cité au dessus. Une nouvelle vague avant l'heure donc, avec un refus des effets et un budget minimale, et surtout des tournages extérieurs au coeur de la ville et du mouvement, ici très impressionnant et remarquable pour l'époque, avec des rues au coeur de la ville américaine très représentative du style de vie de l'époque et de la maladie de cette génération très passive et profondément touchée par cette pudeur, ces interdictions et cette sagesse imposés par la société, le racisme encore très présent, et les difficultés par rapport à toutes ces contraintes de pouvoir à cette époque rêver d'une relation amoureuse libre et insouciante.
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    42 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2014
    Premier film de Cassavetes et première grande réussite avec très peu d'éléments.
    L'amour, le racisme, la fratrie tout ça évoqué en 1h20. Sur un rythme jazzy des plus plaisant du début à la fin avec un noir et blanc parfait. Film un peu dur mais avec un message essentiel pour chacun d'entre nous. Son meilleur film après Une femme sous influence.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2013
    Un classique du cinéma indépendant américain. Ce film est un exemple type de la volonté de faire un film en toute liberté (il se présente comme une improvosation) pour un budget très réduit à l'image du Néo-réalisme italien et surtout de la Nouvelle vague française. Mais ce film expérimental est plus intéressant d'un point de vue sociologique (les rapports entre noirs et blancs sont traités de façon intéressante même si trop fugacement) et historique (début du cinéma indépendant) mais hélas malgré toutes ses bonnes intentions, on n'est pas passionnée et on s'ennuie un peu. Dommage mais le principe de l'improvisation amenait facilement à cela
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    160 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 novembre 2012
    Première expérience de cassavetes peu académique et improvisée, "Shadows" ne joue pas avec les mêmes règles hollywoodiennes sans aucune crainte. Cependant le rendu me laisse tout de même perplexe avec des blancs assez frappant et un manque de dynamisme évident. Une ouverture à une nouvelle façon de tourner? Sans doute un pas important pour l'histoire de la cinématographie indépendante, mais rien de très emballant honnêtement pour le spectateur.
    Cathedrale
    Cathedrale

    74 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 septembre 2012
    Hey, Benny, un triste mégot s'écrase au fond de ton verre , du bout des lèvres Lelia le repêche, les hommes en costumes papotent, les ombres, avec fracas, se meuvent, le ton est posé. Des gloussements idiots des bien pensant, surgit la peine du Noir délaissé, bouillonnant d'une envie irrépressible de chanter, voix chaleureuse, rires caustiques sur fond de contre basse rugueuse, tu sens, ce vent frais, qui s'échappe de l'écran? Emmitouflé d'une veste en cuire sonore, Benny rigole, Hugh s'affole, Lelia s'autorise alors, quelques instants frivoles, l'amour? WHO DO YOU BELONG TO? aux cous des femmes lisses scintillent de coûteux colliers de perles, en arrière plan, quelques fourrures jouent à cache cache, mais le regard, notre regard s'accroche sur ces femmes qui sourient, les yeux en l'air, le teint frémissant, la peau laiteuse, attirante femelle aux lèvres boudeuses qui rougissent en un soupir..
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