Avis : Spawn - Page 3

Film tres drole car il passe du nanar à quelque scene bien mais sinon, ça rivalise pas la bd. D'ailleurs par rapport à la bd les personnage sont mal fait.

Film correct . Je comprends pas trop les critiques négatives qui pleuvent sur ce film , j'ai trouvé que ce Spawn était plutôt cool . Je suis d'accord pour dire que certains effets spéciaux comme ceux utilisés pour les Enfers et pour Malebolgia sont moches mais il y aussi des bonnes choses ( le Violator , Spawn ...) après je n'ai pas lu les comics pour dire que ce film n'a pas respecté l'histoire du super-héros . 2,5/5 .

L'oeuvre de Todd McFarlane adapté avec un non respect effarant. Le réalisateur Mark A.Z. Dippé s'est contenté de loucher très fort sur une ambiance gothique et d'aligner effets spéciaux d'une incroyable laideur sur un scénario simplet.

Alors oui, On est très loin du génie de Mc farlane. Dommage pour un anti-héro plus anti que héro. Un chevalier du mal qui a tellement la classe et qui est ici bridé au possible. Le hardcore de la série n'est jamais atteint passant plus à la comédie potache et crade. Cependant quelques idées étaient bonnes et certaines scènes d'actions jubilatoires. Un film sorti trop tot avec des effets spéciaux qui ont mal vieilli (pourtant l'idée de la cape n'était pas mal) mais qui se laisse regarder un dimanche après midi quand il pleu dehors. Reste un comics qui mériterait une adaptation non blockbusterienne à l'instar d'un spider man ou d'un Xmen, le trash ne le permettant pas, mais avec des moyens plus ambitieux! Je conseil de se rabattre sur la série animé qui garde tout son charme!

Le comics est bien respecté,le clown''evil'' est marrant ,l'ambiance est glauque mais le tout est un peu baclé (surtout la fin).

C'est quoi ce truc? J'ai pas souvent vu des effets spéciaux qui me piquent autant aux yeux oulalaaaa. Non sérieux c'est nul.

Une daube sans nom.. Malfaite mal mise en scène mal joué... une catastrophe. Dommage parceque le Spawn en question a du style le masque mis et la grande cape déployée..

Complètement raté car ne retranscrivant en rien l'ambiance du comics.

Il n’y a que trop peu de films de super-héros R-Rated pour ne pas les signaler. Spawn (en tout cas son director’s cut) fait partie de ceux-là. Et il a terriblement mérité son R-Rated.

En effet, Spawn est méchant, très sale, par moments ultra-violent, extrêmement vulgaire, grossier, bourrin, masculin et surtout d’une mocheté ahurissante. Réalisé par Mark A. Z. Dippé, pourtant superviseur des effets spéciaux de métier, le film s’ouvre sur une introduction toute en images de synthèse plus laides les unes que les autres qui résume tout ce que le spectateur doit savoir pour comprendre le déluge de violence qui va lui tomber sur la tronche pendant 90 minutes. Si tout ceci est risible en 2013, il n’en est pas moins jouissif, de par sa manière de réveiller les pires instincts chez le spectateur, qui se réjouira d’une telle saleté assumée, de ce défouloir sans nom. Si le film est laid, il n’en est pas moins bourré d’effets spéciaux, ce qui l’inscrit dans une époque pré-Seigneur des Anneaux ou Matrix, ce qui en fait presque une pièce historique.

Malheureusement, le film est un peu ennuyeux car, durant 90 minutes, les scènes d’action ultra-bruyantes, ça fatigue assez vite. Forcément, on s’agace assez vite, malgré les nombreux rebondissements improbables de l’intrigue. Les acteurs cabotinent un max, hormis Michael Jai White, qui n’est pas assez expressif. Mais entre un génial Martin Sheen qui force sur sa voix comme un vulgaire Christian Bale, tout en jouant une raclure, Melinda Clarke qui prépare sa Amanda de Nikita (si le personnage de la série avait beaucoup plus ressemblé au personnage de ce film, la série aurait été incroyablement meilleure) et surtout John Leguizamo, dont on ne verra jamais la vraie tête, toujours grimé en clown, mangeant des parts de pizza grouillantes de vers, lâchant des pets foireux dans son caleçon et s’en vantant, il est à l’image du film : fatigant, agaçant, mais terriblement jouissif et souvent drôle.

Spawn est un film singulier, unique et même parfois très bon. Mais il faut aussi pouvoir se munir d’un bon tube de Doliprane pour le lendemain, tant le film est bruyant. A voir.

Je le souviens d'une seule scène de ce film et il y était question de pet.

Je viens de me le remater dernièrement et une chose me tarraude l'esprit: à quand un Remake afin de réctifier le tir, car punaise y'a dl'a matière dans Spawn

un bon film pour l'epoque ou il et sortie moi javai aimer a l'epoque

L'année 1997 est souvent mentionnée quand on évoque l'un des pires films de super héros existant : "Batman & Robin". C'est sans compter un autre méga-ratage, "Spawn", sorti le même été. Adapté d'un comics de Todd McFarlane, le film raconte l'histoire d'un assassin qui se retrouve en enfer, puis ressuscité sous la forme d'un guerrier aux pouvoirs puissants. Celui-ci est chargé de servir le mal mais changera son fusil d'épaule. L'intrigue comporte quelques bonnes idées, et l'univers est a priori sombre à souhait. Sauf que l'ensemble se vautre lamentablement. Réalisation et montage approximatifs, scénario écrit à la va vite enchaînant les invraisemblances et les trous : on finit par se soucier très peu de ce qui se passe à l'écran ! Sans compter des effets visuels complètement innommables. Le film disposait d'un budget correct, mais la technologie a été à la fois mal et trop utilisée, donnant lieu à des CGIs grotesques qui étouffent la pellicule. Terminons par les acteurs, avec un méconnaissable John Leguizamo, particulièrement insupportable en clown grossier, et un Martin Sheen qui en fait des tonnes en méchant mégalo de service. Ainsi, "Spawn" mérite allègrement sa place dans l'Enfer des nanars.

Ça atteint un tel niveau de nullité que ça en devient génial. Mais c'est malheureux de voir un matériaux de base passionnant piétiné à ce point. On retiendra ce clown démoniaque en mode The Mask et ces hideux effets spéciaux à faire decoler la rétine

Vos yeux ne sont pas prêts. Vous pensez pouvoir supporter toute mocheté filmique, mais vous allez faire la connaissance d'un film à 40 millions de dollars qui a tout d'un film d'étudiants (les cancres, au fond de la salle près du radiateur), absolument hideux à voir. Les effets spéciaux tels que les détourages verts qui émanent du clown (l'antagoniste dont on ne comprend pas vraiment les motivations, il retourne sa veste toutes les deux minutes) vous piquent déjà les rétines ? Attendez d'avoir découvert l'Enfer et son Démon, tout en numérique vomitif, qui vous faciliteront le transit. Spawn mérite le zéro pointé, avec son intrigue nullissime : le papounet qui revient des Enfers en héros malaimé, qui lutte contre une prophétie apocalyptique qu'il doit déclencher... Soit, mais avec Bozo qui se transforme en cafard géant, avec un Cerbère de la Porte encore plus mal fait que dans l'ancien Ghostbusters - oui, il fallait le faire - et un papounet qui n'est qu'une base à des scènes mièvres... Au secours. Spawn nous donne envie de regarder nos pieds durant une heure trente, heureusement les doubleurs sont là (l'unique raison qui nous a poussé à mettre quelques points à ce navet accompli) : Roger Carel brille de mille feux même dans ce rôle minable, Michel Vigné et Patrick Floersheim assurent, et même un petit rôle de Véronique Augereau (Marge Simpson, pour les intimes). Ils sont tous là, et ils nous ont régalé les oreilles malgré la pauvreté abyssale des dialogues qu'ils ont eu à débiter, on reconnaît bien là le pouvoir fascinant des bons doubleurs. On regrette que le visuel ne suive pas le milliardième du talent vocal offert à Spawn, on remet un coup d'oeil au Démon, et on veut se désinfecter les yeux à l'eau bénite. Fortement recommandé si vous avez des tracas intestinaux.