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    Winchester 73
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    67 critiques spectateurs

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    Buzz063
    Buzz063

    63 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 février 2011
    Excellent western signé Anthony Mann, qui marquera l'histoire du genre avec ce film et les suivants. Le scénario, original, fait suivre le parcours d'une carabine exceptionnelle qui passe de mains en mains au cours de l'histoire. A travers sa trajectoire et la destinée de ses différents propriètaires, Mann enchaîne une série de séquences qui portent à chaque fois en elles une réflexion sur la haine ou la vengeance (James Stewart poursuit içi son frère, coupable de parricide, motif biblique à l'évidence). Le western commence à s'imposer comme un genre introspectif à travers lequel le cinéma américain traite pleinement de son histoire et de la construction du pays. De la même manière, la psychologie des personnages est plutôt fouillée, bien qu'elle n'atteigne pas la profondeur et la subtilité des films suivants du cinéaste. De la même façon, ses westerns à venir seront beaucoup plus nuancés sur les motivations de ses personnages et moins enclins au manichéisme. Ce schéma narratif permet également à l'histoire de constamment tenir en haleine le spectateur en renouvellant les enjeux, les rebondissements et en introduisant de nouveaux personnages.
    cylon86
    cylon86

    2 255 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2009
    Un grand classique du western qui pose les bases de la collaboration entre James Stewart et Anthony Mann. Le scénario est original (tout tourne autour d'une winchester), certains thèmes sont biens exploités, les acteurs sont bons mais il manque quelque chose à la mise en scène ou à l'histoire pour que le plaisir soit total.
    bidulle3
    bidulle3

    51 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2010
    parcourant les terre a la recherche de sa celebre et rarissime winchester 73, lin mcadam (james stewart) va au fur et a mesure du temps a la fois se prendre d'amour pour une femme, rencontré un sheriff depassé, et celui qui a tué son pere d'une balle dans le dos...
    anthony mann realise avec winchester 73 un western particulier du faite de la mise en avant d'une arme qui fait figure de personnage, et qui a le premier role, un premier role que tient james stewart avec une prestence et un charisme impeccable, les scene de guerre et d'echange de coup de feu sont d'un réalisme rare.
    Ryce753
    Ryce753

    15 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2012
    Ce western se laisse regarder avec plaisir même si je trouve que ce n'est pas un chef d'oeuvre comme les westerns de sergio leone (mais c'est pas comparable). L'histoire est bien et ne manque pas de rebondissements et d'actions. C'est un vieux film et pourtant les acteurs sont sympas à voir surtout Shelley Winters très charismatiques. A voir si vous aimez les bons vieux films de l'âge d'or d'Hollywood.
    CH1218
    CH1218

    152 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2014
    Doté d'un scénario pour le moins original dans sa construction, ce western est le premier des cinq que tourna James Stewart sous la direction d'Anthony Mann. L'histoire est rythmée par toute une série de personnages dans les mains desquelles passe, en guise de fil rouge, un exemplaire de la légendaire carabine. «Winchester 73» est un parfait exemple de ce qui se faisait de mieux dans le genre au début des années 50. Un excellent film, à la mise en scène soignée, et dans lequel évoluent deux jeunes futurs stars : Rock Hudson et Tony Curtis.
    vadorbane93
    vadorbane93

    14 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2009
    Le meilleur western de mann. Premier d'une longue série avec l'acteur james stewart , il est devenu culte pour les aficionados.
    Wagnar
    Wagnar

    63 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2017
    Sur un scénario d'une grande richesse signé Borden Chase, magnifiquement écrit, Anthony Mann livre un somptueux western qui semble comme un condensé du genre et d'une limpidité aussi biblique que le déchirement des deux frères qui lui sert de prétexte. James Stewart y compose un personnage plus dur que ce à quoi il avait habitué les spectateurs, un homme qui porte le poids des blessures du passé (thème que l'on retrouvera dans les quatre autres westerns tournés par Mann avec Stewart). Le duel final à la carabine, superbement photographié par William H. Daniels, est un grand moment.
    ElAurens
    ElAurens

    61 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 décembre 2010
    Je suis assez partagé sur ce film, certaines scènes sont très bonnes comme celles de fusillades, James Stewart est très convaincant, mais je reproche un ensemble trop fouillis. Cela vient bien sûr de l'histoire ou cette Winchester va passer de mains en mains, ou l'on va voir Wyatt Earp, des indiens révoltés, une histoire de vengeance familiale... ça fait trop. La scène du concours de tir est assez tiré par les cheveux, on est bien au-delà de voir deux tireurs d'élites ! Quant à la vf (sans doute faite récemment, j'ai cru reconnaitre la voix française d'Owen Wilson) elle est vraiment plus que mauvaise.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    224 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2013
    Ce western a beaucoup de qualités. D'abord : l'originalité d'un scénario "fétichiste", si l'on peut dire, en tout cas centré sur un objet, la fameuse Winchester 73, admirée, caressée, palpée... Cette carabine est aussi le moteur dramatique du film, révélant la psychologie des personnages qui la possèdent tour à tour. Par ailleurs, Anthony Mann ménage habilement le secret des liens qui unissent les deux protagonistes principaux, jusqu'au duel final. Visuellement, le noir et blanc est superbe. Beaucoup de scènes nocturnes font de ce western un théâtre d'ombres et ajoutent à la noirceur de l'intrigue.
    chrisbal
    chrisbal

    11 abonnés 591 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2023
    J'ai bien aimé ce western au scénario franchement original qui suit les périples d'une Winchester 73.
    Passant de main en main, elle sert de fil conducteur à cette histoire de vengeance qui passe presque au second plan.
    On a jamais le temps de s'ennuyer grâce aux scènes d'action qui s'enchaînent et sont bien mises en scène, que ce soit l'affrontement entre la cavalerie et les indiens, les combats entre cowboys ou bien l'affrontement final entre Lin McAdam (James Stewart) et Dutch Henry Brown spoiler: (son frère, même si ce twist n'est pas vraiment primordial...)
    , qui ne se limite pas à un simple duel et entretient le suspense.
    Cette 1ère collaboration entre James Stewart et Anthony Mann est donc pour moi une réussite (même si c'est vrai que le doublage en VF de 2004 est disons...spécial).
    Jack G
    Jack G

    2 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 août 2020
    Premier des cinq films du cycle de westerns d’Anthony Mann avec James Stewart, Winchester 73 se démarque des autres films du genre par l’identité de son personnage principal : la Winchester modèle 1873, réputée pour être « l’arme qui a conquis l’Ouest ».
    Le scénario de Winchester 73 est le fruit d’une collaboration entre Borden Chase, scénariste de La Rivière rouge nommé à l’Oscar du meilleur scénario original en 1949, et Robert L. Richards. Tous deux, avec le réalisateur, qui participe également à l’élaboration du scénario, adaptent le roman de Stuart N. Lake, Big Gun, qui narre l’histoire de plusieurs hommes qui, en 1873, convoitent un nouveau modèle de carabine à répétition. A noter que quelques années plus tôt, en 1941, un autre roman de Stuart N. Lake a fait l’objet d’une nomination aux Oscars, pour Le Cavalier du désert, réalisé par William Wyler en 1940, avec Gary Cooper et Walter Brennan, acteur légendaire que tous les fans de westerns doivent connaître.
    Travaillant pour le studio Universal Pictures depuis 1948, Aaron Rosenberg est chargé de produire ce deuxième western d’Anthony Mann, après La Porte du diable la même année, et en produira d’ailleurs deux autres composant le cycle avec James Stewart (Les Affameurs, en 1952, et Je suis un aventurier, en 1954). Fritz Lang est initialement choisi pour la production de Winchester 73, mais finit par renoncer.
    Quant à Anthony Mann, c’est James Stewart lui-même qui a suggéré son nom, l’acteur ayant été impressionné par son travail dans La Porte du diable. Mann avait fait la connaissance de Stewart au moment où il avait fondé sa propre compagnie théâtrale en 1934, la Stock Company. Ils s’étaient perdus de vue depuis quasiment dix ans quand James Stewart lui proposa de faire un premier film ensemble. Universal engage Anthony Mann pour tourner un western : c’est l’occasion rêvée pour qu’ils se réunissent à nouveau. James Stewart devient alors l’acteur préféré du réalisateur et tourne encore sept autres films avec lui.
    Ici, James Stewart endosse le rôle de Lin McAdam, un homme déterminé et acharné (« Il y a des choses qu’un homme doit faire, il les fait », « C’est mon fusil et je le veux »), à la recherche de son demi-frère, l’assassin de leur père adoptif. « La force d’un personnage n’est pas dans sa manière de distribuer les uppercuts ou de faire saillir ses muscles : elle est dans sa personnalité, c’est la force de sa détermination » disait Anthony Mann. Une description parfaite pour le personnage de Lin McAdam, car c’est avant tout son opiniâtreté très affirmée à assouvir sa vengeance qui est le moteur principal de Winchester 73, celui qui pousse l’intrigue du film en avant. Lin McAdam est d’ailleurs tellement résolu et obstiné que son caractère, comme ceux des autres protagonistes, en est quasiment réduit à ces simples stéréotypes.
    En effet, les principaux protagonistes ne possèdent pas encore la profondeur psychologique et morale qu’ils acquerront par la suite. Cela est valable pour le personnage interprété par James Stewart, mais aussi et surtout pour les méchants. Stephen McNally et Dan Duryea interprètent ici des vilains sans nuance, de véritables truands vicieux et méprisants qui n’attirent à aucun moment une quelconque sympathie. Si Lin McAdam couve une certaine sauvagerie, et qu’il est plus monolithique et moins ambigu que les personnages que l’acteur interprètera par la suite, il n’en suscite pas moins la sympathie de par les relations de grande tendresse et d’estime qu’il entretient avec son ami High Spade (« Si un homme a un ami, il est riche : je suis riche ! »).
    L’intrigue s’ouvre dans une ville qui propose une vision pacifiste et progressiste : sous la houlette de Wyatt Earp, les armes sont bannies, mais l’exercice de l’autorité consiste moins à mettre en place une justice qu’à gommer l’expression de la violence, repoussée aux bordures de la ville. C’est dans cette ville qu’est organisée un concours dont le prix est justement le fusil qui donne son titre au film, et que Lin remporte loyalement contre son ennemi. Ce dernier lui tend dans la foulée un piège qui lance la chevauchée du récit et la transmission du fusil entre diverses figures archétypales du genre. L’acquisition et la perte du fusil par un individu reposeront toujours sur un duo de valeurs antinomiques : d’abord le mérite (Lynn) contre le vol (Dutch), puis la ruse (le joueur de cartes) contre la force (le chef indien), la bravoure contre la couardise (Steve), l’autorité d’un supérieur et la concession tactique de son subalterne (Dutch et Waco), et enfin le bon frère contre le mauvais.
    Le personnage principal, c'est la Winchester modèle 1873, la carabine qui a repoussé les frontières et conquis la Californie. Les cow-boys, hors-la-loi, shérifs, soldats et même Indiens sont prêts à tout pour en acheter une, même en contrebande. Or, l’usine Winchester avait coutume d’en exhumer un exemplaire d’exception, une sur mille, surpassant toutes les autres et mis en jeu lors du concours de tir qui ouvre le film. Le scénario fait ainsi circuler l'arme de main en main à travers tout l'Ouest jusque dans les territoires indiens. Mais son légitime propriétaire n'abandonne jamais l'espoir de la retrouver.
    Si le fil rouge du film est ce fusil qui change plusieurs fois de main, le fond du scénario est celui de la traque d’un homme et d’une vengeance. La construction du récit se démarque donc par son efficacité, son dynamisme et sa modernité. De plus, Anthony Mann parvient à y intégrer toutes les scènes qui constituent le grand classicisme du western : longues chevauchées, confrontations, attaque d’indiens hostiles, hold-up de banque, duel final.
    De plus, Winchester 73 a la spécificité d’être, sous ses faux-airs de film choral, un traité sur la violence, qui replierait l’Histoire du Far West (Lin McAdam et Dutch) sur celle de la Bible (Caïn et Abel). Cette réflexion se déroule sous plusieurs formes.
    Le regard que porte Lin à Dutch quand ils se retrouvent est empli d’une haine qui ne laisse aucune chance de s’en sortir à ce dernier : la vengeance aura lieu et Lin n’aura aucune pitié, aucun remord. La violence du combat qui s’ensuit lors du vol de la carabine est d’une grande dureté pour l’époque. Nous assistons ensuite à la mort et au scalp d’un marchand d’armes sans scrupules (dont la mise en scène est mémorable), à la mort violente d’un soldat lors de l’échauffourée avec des Indiens, puis au duel final entre les deux frères ennemis. Un duel marquant dont la fonction est à la fois de contenir et de laisser éclater la violence, la vengeance, bref la haine inextinguible, qui tenaille ces deux ennemis jurés. Un jeu de miroir qui révèle autant l’héroïsme que la part sombre des deux hommes dont le salut et la perte sont intimement liés
    De plus, Mann va assez loin dans la sauvagerie et la violence qui règne chez les bandits. Tout d’abord, c’est l’humiliation de l’acolyte couard avant son assassinat pur et simple par Waco qui ne lui donne pas l’occasion de se défendre. Acculé par les hommes du shérif à leur recherche, pour sauver sa peau et pouvoir s’enfuir, Waco, le chef de bande, envoie ses hommes au massacre : la violence est aussi sauvage du côté des truands que des hommes de loi puisque ces derniers ne laisseront personne vivant, tuant les bandits un à un comme des lapins. Bref, la vie et les coutumes rudes et sauvages de l’époque sont ici montrées dans toute leur crudité et leur sécheresse, soit l’un des facteurs de l’étonnante modernité de ce western.
    Winchester 73 inaugure une nouvelle ère du western qui va mettre en scène des individus névrosés, hantés par des conflits intimes et violents. L’histoire du film s’articule ainsi autour de la haine mortelle entre deux frères, du meurtre du père et de l’obsession fétichiste pour l’exemplaire parfait d’une arme de précision. La traque du frère parricide et la succession des infortunés propriétaires de la Winchester, qui tuent et meurent pour sa possession, offrent à Mann et son scénariste Borden Chase l’occasion d’un récit aux résonnances psychanalytiques, mais aussi d’une évocation de l’histoire sanglante des Etats-Unis. Au gré des rencontres et des péripéties incessantes du film sont rappelés des épisodes de la Guerre de Sécession (batailles de Gettysburg et de Shiloh) ou la bataille de Little Big Horn. Le début du film s’ouvre même sur la présence de Wyatt Earp et de son édit interdisant le port d’armes à feu dans l’enceinte de la ville, et le concours de tir se déroule un 4 juillet, fête de l’indépendance. Ainsi, à la modernité et au dynamisme du scénario s’ajoute son didactisme historique.
    Au sein d’un récit sans aucun temps mort, porté par un James Stewart magnifique, une sorte d’anti-John Wayne, on a le plaisir de retrouver la belle et faussement naïve Shelley Winters, ainsi que Dan Duryea, détestable mais savoureux en fripouille sadique.
    A sa sortie américaine, en juillet 1950, Winchester 73 rencontre un franc succès dans les salles et cumule 2,3 millions de dollars de recettes. En France, plus de 900 000 personnes se sont déplacées dans les cinémas. Anthony Mann a déclaré : « Ce fut l’un de mes plus gros succès. C’est aussi mon western préféré : ce fusil qui passait de main en main m’a permis d’embrasser toute une époque, toute une atmosphère. Je crois qu’il contient tous les ingrédients du western et qu’il les résume tous ». Dans une interview de 1957, il ajoute avec humilité : « [Winchester 73] est un western honnête et franc ».
    Winchester 73 constitue une entrée précoce et magistrale du western dans la modernité et la réflexivité, portée par le duo Mann-Stewart, un duo aussi important pour le genre que celui formé par John Wayne et John Ford. La réalisation d’Anthony Mann est particulièrement riche tout en restant sobre, avec de très beaux mouvements de caméra qui dynamisent les scènes d’action. Winchester 73 est vraiment un western particulièrement brut, jusque dans son manichéisme, remarquable dans son classicisme.
    La même année, James Stewart joue dans l’un des deux premiers westerns déclarés "pro-Indien", La Flèche brisée, de Delmer Daves, alors qu'Anthony Mann tourne l’autre, La Porte du diable. Winchester 73 est adapté pour la télévision en 1967, avec une qualité bien moindre et un remplacement en tête d’affiche, Tom Tryon prenant le relais de James Stewart.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Parfaite construction dramatique autour de la winchester,une violence exacerbée et une remarquable utilisation du paysage naturel(en particulier les roches du duel final)en font la première réussite du cinéaste dans le genre dont il sera l'un des maitres.
    Olivier G.
    Olivier G.

    3 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 septembre 2021
    Scénario excellent et très original, un premier western sellant la collaboration entre James Stewart et Anthony Mann, pour le meilleur.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2023
    Winchester 73 d'Anthony Mann coche tous les codes de l'excellent western. J'avoue être un inconditionnel de James Stewart, un cow-boy fragile et pétri de doute, l'antithèse d'un John Wayne. Anthony Mann construit son film autour de la rivalité de deux frères qui se cristallise sur la fameuse Winchester 73. La scène du concours qui, dans le réel, n''est pas crédible est un summum de tension jusqu'au duel final, à la carabine, qui va sceller le sort des deux personnages principaux. Stephen McNally est un admirable méchant. Shelley Winters, le personnage féminin, est bien présent, mais en retrait pour ne pas occulter le sujet principal à savoir la rivalité entre les deux frères, pas de dispersion dans le scénario. Un film haletant et superbe, complètement maîtrisé avec un James Stewart au sommet. Et l'ineffable Millard Mitchell en second rôle. Un chef d'œuvre du genre.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Première collaboration entre mann et stewart. Le film n'est pas aussi bon que les autres qui suivront mais je lui reconnais tout de même une certaine efficacité. En effet, cette histoire de carabine qui passe de main en main est originale et bien traitée.
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