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    Winchester 73
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    babidi
    babidi

    4 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2018
    anthony mann derriere la camera et james stewart devant

    un western avec un scenario original très bien réalise ou l on peut voir cette arme mythique traverser l ouest
    par un imbroglio vraiment intéressant

    a voir aussi pour la composition de stewart encore une fois impeccable ( encore une fois )
    this is my movies
    this is my movies

    619 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2017
    Très bon western signé par un A. Mann plutôt inspiré et qui donne à un J. Stewart exceptionnel un rôle complexe. L'acteur est en grande forme, livrant une prestation complète qui met une énième fois en valeur son talent unique. Western assez violent et bondissant, enchaînant cavalcades, batailles contre les Indiens, duels de virtuosité, bagarres et autres péripéties, le film se révèle toutefois assez mal rythmé et un peu longuet en dépit de sa courte durée. Quant à la mise en scène d'A. Mann, autant elle est incroyablement classique, autant le bougre spoiler: trousse un affrontement final palpitant au milieu de roches escarpées et labyrinthiques tout en restant lisible grâce à son sens du cadre et de la topographie
    . Le scénario est également très bon, avec ce gimmick de la carabine maudite, qui passe de main en main. Solide divertissement donc, qui propose quelques jolies réflexions sur la nature humaine et qui nous permet d'assister aux débuts de quelques futures stars comme R. Hudson (en chef indien) et T. Curtis (en jeune soldat, crédité sous le prénom d'Anthony). D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 juillet 2017
    Premier film de mon cycle W comprenant notamment « La prisonnière du désert », « L’homme des hautes plaines » et « Tombstone » (de G. Pan Cosmatos, en effet). Oui, ce premier western me tenait à cœur car Anthony Mann en est le fer de lance.
    D’après le roman controversé de Stuart N. Lake (« Wyatt Earp, frontier marshall »), Anthony Mann en tire donc ce western étonnant, incisif et drôlement marquant (dans le bon sens du terme).
    Tout d’abord, l’histoire. Comment une Winchester 73, une carabine des plus rares sur le marché des armes, arrive-t-elle à passer de mains en mains, par une galerie de personnages, tous assez bien fouillés faut-il avouer. Le tout, ancré dans le véritable contexte de l’Ouest américain (évocation des guerres, de Little Big Horn, et surtout du personnage de Wyatt Earp ici incarné par Will Geer –vu dans « Jeremiah Johnson » !). A l’écriture, on retrouve donc Borden Chase (qui a livré d’autres grands classiques tels « La rivière rouge », « Vera Cruz », « Les révoltés du Bounty ») et Robert L. Richards (scénariste établi sur liste noire en période de maccarthysme) qui, associés à ce projet, arrivent à nous immerger dans ce scénario à tiroir (ce qui est assez moderne dans le genre et pour l’époque) mais néanmoins très bien maîtrisé car ne tombant jamais dans les clichés du genre, à savoir une vengeance belle et brutale (je pense bien sûr à « Apaloosa » de notre bon vieux Ed Harris). Ici, le récit suit admirablement bien la fameuse carabine qui en est le fil conducteur. Les scénaristes nous coupent l’herbe sous le pied, et c’est tant mieux !
    A cela, le réalisateur du « Cid » ne s’évade pas totalement de la rigueur et des codes imposés du western, même si le final en étonnera plus d’un. Comment un duel peut-il se passer en terrain pentu ? Pour répondre à cette question, seuls poussière, shérifs et figures délavées par la transpiration et la sueur sauront y remédier. Et, ici, Anthony Mann dépoussière le genre à lui tout seul. Bravo !
    Et donc, pour parler ambiance, comment passer à côté de ce N&B magnifiquement mis en relief et de cette musique au diapason ? Eh bien, on ne peut pas, tout simplement ! L’on est ainsi transporté par l’incroyable technique de William H. Daniels à la photographie (il a travaillé pour Greta Garbo, « La chatte sur un toit brûlant », « L’express du colonel Von Ryan »…) et de l’entrainante bande-son de Walter Scharf (compositeur pour certains films avec Elvis, Jerry Lewis…). Pour moi, bon western = bonne musique. Tout simplement.
    Toujours sur l’ambiance, « Winchester 73 » nous offre tout ce que le western peut nous proposer : chevauchées sauvages, paysages grandioses du Far West, tuniques bleus effarouchés, mais surtout, des indiens (les plus cinéphiles auront reconnu un Rock Hudson –qui devra sa notoriété grâce à Douglas Sirk- grimé en peau-rouge). Ici, les grands espaces marquent le style du réalisateur car les personnages arrivent et partent de nulle part. Une première également dans le genre du western. Brelan de roi, Monsieur Mann ! Et toujours dans sa mise en scène, la violence est de mise, elle est non cachée, brutale comme les hommes sans loi qui défilent devant notre écran. En cela, « Winchester 73 » porte bien la griffe d’un maître : Anthony Mann.
    Et le coup de maître de Mann est d’avoir embauché James Stewart (oscarisé pour « Indiscrétions ») en héros rongé par sa vengeance, inéluctable. Au casting, donc, James ‘Jimmy’ Stewart, charismatiquement impeccable. Dans le rôle de Dutch, son ennemi juré, Stephen McNally (il a joué pour Cukor, Don Siegel, Wise…). Stewart/McNally : duo d’enfer, le second arrivant à chiper la vedette au premier. Extra ! A leurs côtés, la féminine Shelley Winters (Mme Gassman à la ville !) qui apporte la fraîcheur du film fordien. Précisons (également pour les cinéphiles !) les débuts de Tony Curtis ‘le viking’.
    Pour conclure, « Winchester 73 »(1951), coup de maître d’Anthony Mann, film mythique du metteur en scène (pour ma part, c’est lui qui a eu toutes ses idées novatrices), restera un western bijou et un métrage coup de poing car précurseur du western crépusculaire pourtant immortalisé par « Impitoyable » 42 ans plus tard.
    Spectateurs, winchesterement vôtre !
    A noter : il s’agit ici de la première collaboration westernienne entre le metteur en scène de « La ruée vers l’Ouest » et de l’acteur de « La vie est belle »/« Fenêtre sur cour ». Les deux hommes continueront leur aventure par « Les affameurs », « L’appât », « Je suis un aventurier » puis « L’homme de la plaine ».
    Wagnar
    Wagnar

    64 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2017
    Sur un scénario d'une grande richesse signé Borden Chase, magnifiquement écrit, Anthony Mann livre un somptueux western qui semble comme un condensé du genre et d'une limpidité aussi biblique que le déchirement des deux frères qui lui sert de prétexte. James Stewart y compose un personnage plus dur que ce à quoi il avait habitué les spectateurs, un homme qui porte le poids des blessures du passé (thème que l'on retrouvera dans les quatre autres westerns tournés par Mann avec Stewart). Le duel final à la carabine, superbement photographié par William H. Daniels, est un grand moment.
    peter W.
    peter W.

    39 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2017
    La réputation du film est peu être exagérer mais le dérouler du scénario amène du nouveau tout le long du film et les prises de vue sont excellentes. Le tout avec des acteurs qui tiennent la route, c'est dans la boite.
    Matis H.
    Matis H.

    11 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 novembre 2016
    Un peu déçu, bien que ce soit vraiment sympathique. Cette critique va être courte tout simplement car "Winchester 73" de Anthony Mann est un western, et plus globalement un long-métrage, très classique. Là où ou le film surprend et il faut reconnaitre c'est dans sa narration qui, sans être novatrice, est originale : cette dernière suivant non pas un personnage, mais une des carabine qui donne son titre à l'oeuvre.

    Malgré que ce procédé est clairement l'ambition d'être une fresque des hommes qui ont bâti l'Amérique, le récit se limite très vite à l'histoire de vengeance du personnage incarné par James Stewart. Alors certes, tout ceux qui obtiendront la fameuse Winchester représente une partie de l'histoire Américaine, mais n'a pas l'ampleur que ça voudrait avoir, c'est très en surface et au final il aurait été plus pertinent de réellement s'attarder sur chacun des possesseurs de l'arme plutôt que de s'en servir comme unique toile de fond.
    Après, le récit est tout sauf inintéressant, le passage avec la cavalerie alterne entre humour et intensité, les interactions entre Stewart et Winters sont sympathiques, et toute l'histoire de vengeance envers Henry Brown (qui se révèlera être le frère de Stewart) se suit sans déplaisir. Ça manque juste d'une vision plus large.

    Cependant il faut reconnaitre au long-métrage de Mann sa grande efficacité. En effet, et bien qu'il n'atteigne pas le niveau de son homonyme contemporain, le cinéaste est très incisif dans ces scènes d'actions, qui possèdent toute un vrai sens du rythme. C'est nerveux et globalement très bien mis en scène, malgré qu'aucune réelle fulgurance ne soit à noter.

    De plus, certain moment ne manque vraiment pas de lyrisme, comme cette discussion sur l'amitié et la richesse entre Stewart et son compagnon, c'est tout simple mais vraiment beau. Et c'est peut-être un peu tout le problème de "Winchester 73", d'être très simple malgré la promesse d'une narration des plus réjouissante. C'est tout sauf désagréable, c'est nerveux et pas inintéressant, mais ça manque de souffle, d'ampleur. On ressent tout le potentiel du long-métrage et l'ambition du cinéaste sans que ça donne rien de plus qu'un petit divertissement efficace. Mais c'est déjà pas mal mine de rien.
    Romain Z
    Romain Z

    10 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2016
    Winchester 73 (1950) - 1er Western des cinq collaborations du genre entre James Stewart et Anthony Mann , malgré un titre et un pitch alléchant , est loin de tenir ses promesses. La profusion de personnages successifs voulus par le scénario empêche le réalisateur de donner un centre de gravité à son film et une profondeur de champ à ses personnages. Les quelques beaux plans à son actif ne parviennent pas à compenser l'ennui qui émane de l’émiettement du récit.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    217 abonnés 2 785 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2016
    Sur un canevas original pour l'époque (le destin d'hommes divers suivi à travers les péripéties d'un objet), Anthony Mann trousse un western de belle facture, peuplé d'une galerie de personnages bien campés par des interprètes de talent. Bien rythmé et gorgé de scènes spectaculaires, avec des dialogues bien écrits, ce western est à la fois novateur et empreint tout de même d'un certain classicisme (le bon samaritain, la demoiselle en détresse,...). Le style sonne un peu vieillot aujourd'hui mais ça reste un spectacle de qualité.
    fandecaoch
    fandecaoch

    957 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2016
    Winchester 73 : Une vraie pépite d’or ce pourtant vieux Western. Comme quoi, même un vieux film peut être captivant, prenant et excellent sur tous les points, ça c’est du cinéma, du vrai. Déjà, j’adore les westerns et celui la ma particulièrement plus et convaincu et ça, c’est grâce a l’histoire qui j’ai trouvé génial et bien prenant, ça change un peu même si on retrouve les codes classiques des westerns. Mais la, c’est un peu comme dans le seigneur des anneaux ^^ c’est une winchester qui va être convoitise. En faite, c’est cette arme qui est une des plus belle de ce temps qui va être gagné par un gars dans un concours et elle est tellement rare qui va se la faire prendre et elle va passer de main en main car des que une personne la voit, il la veut, moi a leur place, je la garderai pas car ceux qu’ils l’ont meurt ^^. Donc, ça va être un jeu de chasse et cette arme va bien voyagé. Et sinon, ce film est gorgé de scène vraiment pas mal : partie de carte a suspense, avec les indiens, le fameux concours au début… Il n’y a pas de scène en trop, le film dure 1H30, pas le temps de s’ennuyer et il a un très bon rythme. Avec aussi de bon personnage et une rivalité qui sera expliqué a la fin, de façon simple et efficace et ça c’est du cinéma. Tout comme la réalisation qui pour a l’époque est magnifique, les plans sont bien étudiés, c’est efficaces, bien cadrés, montage impeccable, coté ambiance western, on est dedans, que demander de mieux. Et pour finir, les acteurs sont justes et convaincants et le casting est bon, on note James Stewart en haut de l’affiche. Donc voila, vous aimée les vieux films, les excellents westerns et tout ça, ce film est fait pour vous.
    Cine vu
    Cine vu

    124 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2016
    La fratrie sous l’angle symbolique du bien et du mal

    C’est un bon western mais pas le meilleur, ni même le meilleur film d’Anthony Mann mais tout de même…

    A Dodge city, ville où règne le Sheriff Wyatt Earp, lequel fait déposer les armes aux nouveaux arrivants est organisé un concours de tir… Pour gagner une arme ! Et pas n’importe laquelle: une Winchester 73, baptisée aussi « une pour mille » tant la fabrication de celle-ci est quasi parfaite. Deux hommes s’affrontent: Lin McAdam et Dutch Henry, qu’un lien déjà lourd oppose.

    Ceci bien évidemment éclaire cette passion pour les armes chez les Américains.
    Le film nous montrera tout, au travers de cette arme magnifique si convoitée, laquelle passera entre nombreuses mains, bien viles la plupart du temps.

    Heureusement James Stewart !
    Il joue le personnage de Lin McAdam et bien évidemment le Bien, l’homme au cœur pur comme si souvent dans bien de ses films: « Mr Smith au sénat », « Vous ne l’emporterez pas avec vous », « La vie est belle », « The shop around the corner », « Indiscrétions », « La flèche brisée »…

    Après ses rôles se sont enrichis de plus de nuances, mais durant une bonne décennie (1938-1950), James Stewart est l’incarnation de la candeur de la pureté, avec peut-être en point d’orgue une dizaine d’années plus tard, le magistral « The man who shot Liberty Vallance ».

    Alors regarder un film avec Jimmy Stewart est une chose à part dans le cinéma. Hitchcock ne s’y est pas trompé, signant avec lui deux de ses plus beaux films: « Vertigo » et « Fenêtre sur cour ».

    Lubitsch, Cukor, A.Mann, Ford, Hitchcock, Capra, Preminger… ont su merveilleusement utiliser cet acteur simple et si immense qu’était James Stewart.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    919 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juin 2016
    L'histoire d'une poursuite en prenant le prétexte d'un arme littéralement emblématique du western, qui passe de main en main. De l'action et de la psychologie. Un western intéressant avec Stewart toujours magistral.
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juin 2016
    Le premier western d'Anthony Mann et déjà une maîtrise stupéfiante chez un cinéaste qui participera, avec Fuller et Boetticher, au renouvellement du genre : sécheresse de l'intrigue, ambiguïté des personnages loin de tout manichéisme, utilisation des décors naturels.
    La présence de James Stewart est un autre élément important, dans la mesure où ce sont aussi ses débuts dans ce genre très codé. Sa présence dégingandée, sa silhouette plutôt frêle, contribueront aussi à imposer un héros différent dans des récits généralement convenus, loin de l'image masculine d'un John Wayne ou d'un Gary Cooper. Son personnage, ici, dépend d'ailleurs beaucoup plus du pouvoir de séduction de la chanteuse interprétée par la belle Shelley Winters que de sa propre virilité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 juin 2016
    Pour son premier western, Mann ne déçoit pas, bien au contraire. Sa mise en scène classique est maîtrisée et épouse très bien ce noir et blanc de bonne qualité. James Stewart est au top, charismatique tout en étant sobre. Par contre, le scénario aurait pu être mieux travaillé : les révélations sont dites toutes au même endroit vers la fin, c'est maladroit. Mais ne boudons pas notre plaisir...
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2016
    Enfin un western qui sort des sentiers battus. James Stewart est le héros de cette fresque sous fond de testostérone exacerbée. Ce ne serait pas un western sinon forcément. Après l'épreuve de tires, afin de savoir qui aura la plus grosse, c'est surtout un film de fond sur l'Amérique et sa contradiction avec les armes à feux. On combine cela à une histoire de famille, disons-le toucher par la jalousie et l'ultra-violence. Le cocktail est séduisant et le film haletant.
    ER  9395
    ER 9395

    72 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 août 2016
    Un western très typé 50's , l'idée de base de suivre cette carabine qui passe de mains en mains est plutôt originale mais l'ensemble reste quand même très classique et ne réserve que peu de surprise .
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