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    Cet obscur objet du désir
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    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    164 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2018
    J'ai moyennement été séduit par ce film.
    Je ne comprends pas vraiment l'intérêt de faire jouer un même rôle par deux actrices (en soi toutes les deux excellentes). J'ai trouvé que ça m'apportait strictement rien au film si ce n'est que de le rendre plus confus.
    Le film ne passerait pas du tout s'il sortait aujourd'hui (où les femmes « s'achètent » ou presque).
    J'ai trouvé que certains dialogues étaient téléphonés (notamment dans le train) et manquaient de naturel.
    L'histoire n'est au final pas si originale que ça et ne constitue pas un première au cinéma spoiler: (un homme qui se fait dupé par une femme qui n'en veut qu'à finalement son argent)
    .
    La fin ne m'a pas du tout convaincu et m'a laissé de marbre (elle est assez étrange).
    Bref, je suis content que ce film ait lancé la carrière de Carole Bouquet mais franchement je le trouve bien surcoté.
    Cronenberg
    Cronenberg

    217 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2018
    Un film sans dessus dessous et presque insoutenable. On est immergé dans une histoire d’amour absolument incompréhensible où l’on ne peut démêler le vrai du faux, ce côté vicieux me rappelle The game. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 septembre 2017
    « Cet obscur objet du désir » (1977) est le 32ème et dernier film de ce cinéaste alors âgé de 77 ans – film testament ?- peut être pris comme un nième marivaudage entre un homme veuf vieillissant bourgeois et décadent, Mathieu (Fernando Rey, acteur fétiche de Buñuel), et une jeune jouvencelle aguicheuse, Conchita magistralement interprété et filmée par Carole Bouquet d’une part et Angela Molina d’autre part pour montrer la double personnalité de cette femme.
    L’histoire est racontée dans un grand flash-back dans un compartiment de train entre Séville et Madrid à la grande satisfaction des autres voyageurs dont un nain psychologue (Pierre Piéral), un femme avide de savourer cette histoire d’amour, et un homme un peu dubitatif (Jacques Debary qui au passage était avant d’être acteur Instituteur à Amiens). Cette histoire se déroule en 2 grandes étapes :
    # le point de vue brut de l’homme qui veut évidemment coucher mais ne peut y arriver… et « amoureux » il va devenir aveugle et agir souvent ardeur mais sans succès car « il est bête et plus innocent qu’un enfant » comme lui dira plus tard Conchita. Cette première partie du film peut sembler lourde figée même en termes de réalisation mais a retro tout ce qui est dit et vu sert par la suite … d’où mon avis de dire que ce film ciselé par le coscénariste Jean-Claude Carrière, doit être décortiqué scène par scène dans les écoles de Cinéma.
    # le jeu de Conchita qui en fait bien prémédité bien que suggéré rapidement « Je ne suis pas une fille de ce genre-là », « Je suis à moi… je ne suis pas à ma mère, je me suis faite toute seule », « ma guitare (mon corps) m’appartient » … etc. et affiliée à l’extrême gauche. Elle va développer tout un jeu de séduction grossier (scène du mouchoir, du bonbon, embrasse mes cheveux ...) dans lequel notre vieil Mathieu va tomber de Charybde en Scylla voire une sorte de masochisme sans se douter – dans sa quête du plaisir - de la réelle personnalité de Conchita.
    Malgré un pitch comme on dit de nos jours léger, Buñuel arrive à nous tenir en haleine pendant 1 h 45 : tout le monde dans le compartiment du train et dans la salle d’attendre avec impatience comment l’histoire va se terminer et comment on peut expliquer la première scène du départ brutal de Conchita avant ce flash-back narratif ponctué par des scènes du train, des sourires ou des signes de désapprobation des personnages du compartiment …
    Finalement seul le serviteur de Mathieu avait vu juste dans le jeu de Conchita et avait compris la situation et pourtant dit à son maître de façon très crue que « les femmes sont des sacs de Mer… » et Buñuel de citer rapidement également un Philosophe Allemand disant « si tu vas avec les femmes, n’oublie pas le bâton ! ».
    Un film très macho donc au début … mais très féminin par la suite et - comme toujours avec Buñuel - des images chocs : un ouvrier qui passe dans la rue en portant un sac quand pour Mathieu l’histoire semble pouvoir se conclure, la tapette à souris, la mouche qui tombe dans l’apéritif, l’affiche de corrida, la procession religieuse, le cochon dans le sac de la diseuse de bonne aventure, le seau d’eau pour remettre la tête de Mathieu en ordre … et bien sûr toute une série de symboles : la clef, la grille, les miroirs, le saignement de nez de pseudo-défloration …
    Le tout baigne dans une atmosphère de terrorisme … qu’on comprendra dans la scène finale accompagnée de la Chevauchée des Walkyries après Mathieu ait longuement admiré à travers une vitrine une brodeuse semblant réparer une dentelle, la vie de Mathieu (?).
    Bref un grand Buñuel très critique de nombreuses choses (cf. la mère bigote pour racheter l’âme de son mari et qui est aveugle puis « accepte de l’argent » pour sa fille, le groupe armé de l’enfant Jésus, le PC qui déplore qu’un évêque ait été victime d’un attentat ...) mais à voir à plusieurs reprises pour en percevoir toute la finesse. Pour ma part, je l’avais pas revu depuis sa sortie et j’avais loin d’avoir tout compris à l’époque !
    De façon plus moderne c’est le thème de l’homme à la recherche du plaisir (resté ici « obscur ») et de la femme à la recherche de l’amour … même si ici il y autre chose que l’amour.
    cylon86
    cylon86

    2 277 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2017
    Déjà adapté plusieurs fois au cinéma (avec Marlene Dietrich et Brigitte Bardot notamment), le roman "La femme et le pantin" de Pierre Louÿs trouve ici une résonance particulière chez Luis Bunuel. A l'aide de son complice Jean-Claude Carrière, Bunuel s'empare donc du sujet du roman et le transforme en "Cet obscur objet du désir" qui s'avèrera être son dernier film ! Un film testament tout à fait passionnant où le cinéaste reprend nombreuses thématiques de sa filmographie (le désir, le masochisme) tout en livrant une variation tout à fait personnelle sur la relation unissant le pauvre Mathieu Faber à Conchita, qui ne lui ouvre jamais les cuisses (ce n'est pas faute d'avoir essayé) mais qui n'hésite pas à danser du flamenco nue devant une foule de gens lubriques ou à coucher avec un jeune guitariste sous les yeux de Mathieu. Histoire d'amour contrariée (quoique Mathieu semble se faire assez vite à cette relation, dévoilant des attraits masochistes) racontée sous la forme de flash-back sous toile de fond terroriste (des attentats commis par le Groupe Armé de l’enfant Jésus (!) arrivent régulièrement au fil du récit), "Cet obscur objet du désir" entend démontrer l'incapacité de la société à réagir face à la violence qui le laisse apathique. Troublant dans son comportement, le pauvre Mathieu (Fernando Rey, doublé pour l'occasion par Michel Piccoli) ne parviendra jamais vraiment à saisir Conchita que Bunuel, d'abord par défi, a confié à deux actrices. Coup de génie permettant de donner du corps à cette femme sensuelle mais glaciale, chaleureuse mais distante. Ainsi, Bunuel préfère dénuder largement Angela Molina (sensuelle à souhait) et laisse Carole Bouquet, alors âgée de vingt ans, le soin de montrer une Conchita plus distante, plus froide mais néanmoins belle à tomber. Difficile de rester indifférent face à ce dernier film du maître Bunuel dont la patte et le regard acéré sont toujours tombés justes.
    Dkc
    Dkc

    21 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2017
    La seule chose que je souhaite rajouter sur ce film magnifique étrange prenant pervers et unique c est qu il est " inspiré de faits réels " comme on dit. Le roman de louys se basant sur les mêmes événements. A savoir les déboires de Casanova à Londres avec une intrigante nommée la charpillon. Le film de bunuel est celui qui est le plus proche de l histoire de Casanova. A lire ou relire.
    Eselce
    Eselce

    1 215 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juillet 2016
    Le désir d'un homme pour une femme qu'il ne parvient pas à avoir. Au cours du film, le spectateur s'impatiente autant que le personnage principal. Le jeu du réalisateur sur le spectateur est bon malgré les longueurs. Une interrogation intéressante et très vrai de l'exercice charismatique des femmes sur les hommes.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    37 abonnés 1 093 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2016
    Adapté du roman de Pierre Louÿs (qui connait au moins 2 adaptations cinématographiques, celle de Julien Duvivier, « La femme et le pantin » en 1959 avec Brigitte Bardot et celle de Joseph Von Sternberg en 1935 avec Marlène Dietrich) à l’aide de Jean-Claude Carrière, l’histoire est simple : Fernando Rey (doublé par Michel Piccoli), notable qui rentre de Séville à Paris en train, renverse un seau d’eau sur la tête d’une jeune femme ; il explique aux passagers de son compartiment le pourquoi de son geste. spoiler: Il s’agit de son ancienne servante, Conchita, jouée par Carole Bouquet (âgée alors de 20 ans pour son 1er film) et Angelina Molina (22 ans), qui se refuse sexuellement à lui malgré tous ses cadeaux (le dernier étant une maison à Séville !).
    Le film est émaillé d’explosions terroristes. Un peu confus et probablement surréaliste pour qui a réalisé « Un chien andalou » (1928) et « L’âge d’or » (1930). .
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    94 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mai 2016
    Voilà un film qui, parmi les adaptations cinématographiques globalement décevantes du roman de Pierre Louÿs "La Femme et le Pantin", fait vraiment croire au destin tel qu'on peut louer ou comme on peut vouloir s'en débarrasser. Cette impression d'horrible destinée à laquelle on ne peut pas échapper est plus prégnante ici, bien que les actrices jouant le rôle de la femme cruelle - Carole Bouquet et Angela Molina - ne soient pas les plus performantes pour jouer sur cet aspect de la personnalité de leur personnage. Mais il faut avouer que leur jeu se fond l'un dans celui de l'autre et se prête à la folie de Buñuel d'une façon formidable. En revanche, la place du terrorisme, ambiguë et même floue, laisse une impression de bouche-trou qui prend toute son importance à la dernière image, impossible à interpréter et qui potentiellement gâche tout.
    Kloden
    Kloden

    114 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2016
    Avec Cet obscur objet du désir, Luis Buñuel partait sur un chef-d'oeuvre qui condensait son style surréaliste et ses obsessions pour les contrariétés amoureuses et la bourgeoisie. Traités sur un mode grotesque, les attentats qui occupent l'arrière-plan du film amènent un quelque chose d'alarmant et d'abscons, comme si tout allait exploser de façon ridicule et sans qu'on y comprenne rien. Buñuel, à travers ses personnages, les considère de loin, leur importance étant de loin dépassée par l'obsession charnelle du personnage de Fernando Rey, qui désire follement une femme qui se refuse à lui. Ainsi, le film s'inscrit dans une veine presque maladive peaufinée par des décors qui se font écho (parcs, appartements bourgeois et grilles sont omniprésents) , traçant un tableau mental, comme celui d'un paysage inextricable. Concernant le travail d'ambiance, j'ai beaucoup pensé à Sueurs Froides et sa ville qui répondait directement à l'état psychologique de son personnage, sans jamais que celui-ci ne manifeste la conscience de sa situation alors que tout l'environnement semblait la lui crier. Dans son développement et le grotesque de son histoire, ce film testamentaire me rappelle également L'Eternel Mari de Dostoïevski, où les personnages semblaient là aussi les jouets ridicules d'un destin qu'ils embrassaient à la fois en tant que coupables et victimes. C'est d'ailleurs ce genre de sensation souterraine que semble tenter de faire passer Buñuel, de façon bien plus riche que s'il débitait une thèse. Le désir, d'ailleurs, est considéré sous tous ses angles, pour finir par dépasser même l'objet qui le motivait et exister a priori, comme un élan humain dont la source est intarissable. Cette nature inévitable d'un désir dont on ne sait plus quoi faire, dont il faudrait presque se purger en le projetant quelque part est en grande partie amenée par l'idée géniale de faire jouer un même rôle à deux actrices différentes. Jamais utilisé pour appuyer une schizophrénie du désir entre pulsion charnelle et amour spirituel puisque les deux actrices jouent le même comportement (toutes deux se montrent tour à tour offertes et inaccessibles), le procédé concourt simplement à troubler en désacralisant la femme désirée et en faisant remonter le désir au sujet qui l'éprouve, qui continue pourtant de demeurer aveugle en croyant de façon grotesque que tout repose sur une femme et que tout se résoudra en la possédant. Mais en réalité, impossible d'agir d'une quelconque manière sur ces traits complètement inséparables de notre nature. On le comprend de façon simple, par le personnage du psychiatre condamné à débiter des banalités, même s'il comprend ce qui se passe : on peut bien analyser le désir et prendre conscience de sa nature véritable, cela ne permet en rien de s'y soustraire et d'y échapper. Profond, cohérent et très personnel, ce testament est un grand film, qui parle de l'Homme avec la sagesse usée d'un artiste arrivé au bout de ce qu'il avait à offrir, et préférait renoncer à son art (la scène de l'explosion finale signe la victoire nécessaire du désir et des impulsions humaines sur toute forme de recul) pour s'abandonner, le temps qu'il lui restait à vivre. Un chef-d'oeuvre.
     Kurosawa
    Kurosawa

    523 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2014
    "Cet obscur objet du désir" est un film bien étrange. Les personnages sont atypiques, l'humour pour le moins décalé et la progression de l'action surprenante. Tous ces éléments confirment le style surréaliste de Luis Bu­ñuel, avec des choix de décors et de couleurs qui se répondent parfois très bien sans que l'on comprenne vraiment leurs significations. Si j'apprécie beaucoup le film, il ne passionne pourtant pas totalement, à cause notamment de l'alternance des deux actrices (Carole Bouquet et Ángela Molina) pour jouer le rôle de Conchita. De prime abord, cette idée de mise en scène se révèle troublante mais devient finalement vaine, dans le sens où elle n'apporte plus de distinctions relatives au caractère du personnage féminin. On retiendra un final hallucinant et un ensemble qui reste un document précieux sur la complexité du désir.
    S M.
    S M.

    30 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2014
    "Cet obscur objet du désir" est le dernier film de Luis Bunuel. Cette oeuvre surréaliste est passionnante et très intéressante notamment grâce à la duplicité des actrices jouant le rôle de Conchita (Excellente Carole Bouquet et superbe Angelina Molina). Quel jeu des deux femmes! Une très bonne ambiance s'installe et on se laisse "aspirer" par les images. Comme d'habitude chez Bunuel, la mise en scène est parfaite. Le maestro hispano-mexicain en profite même pour écorner un peu l'image de la bourgeoisie. Un classique, à voir!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 juin 2014
    "Cet obscur objet du désir", sorti en 1977, a un grand défaut : c'est le dernier film de Luis Buñuel !
    Chose plus grave, son réalisateur s'est autorisé à mourir en 1983, soit à peine quelques années plus tard.
    "Cet obscur objet du désir" est un film excellent, qui vaut mieux que 99% de ce qu'ont produit les américains depuis cette époque. Les choses n'ont d'ailleurs malheureusement pas tendance à s'améliorer ces dernières années ! Allez donc voir tous les films de Luis Buñuel et, s'ils ne passent nulle part, procurez-vous leurs DVD...
    Lotorski
    Lotorski

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juin 2014
    Personnellement, je n'ai pas aimé. Le personnage de Conchita est par trop invraisemblable. Les réactions de son vieil amoureux le sont tout autant.
    Grouchy
    Grouchy

    109 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 avril 2014
    La renaissance du surréalisme au cinéma, Bunuel en est le maître. Dans son dernier film, il ne récidive pas avec le thème du cadavre exquis et l'absence totale de logique comme dans ses précédentes oeuvres, mais décide de travailler sur une histoire d'amour semblable à Lolita de Kubrick. Tout en restant élégant, le cinéaste introduit encore quelques touches de son style, cependant très minimes. Il fait une éloge ironique de l'amour en comparant ce phénomène à la violence des attentats, et pour pousser le bouchon encore plus loin en comparant la femme à un sac d'ordures ( le plan panoramique du couple principal vers un ouvrier portant un sac ). Les abandons et retrouvailles amoureux s'enchaînent, jusqu'à la dernière séparation, non justifiée ( les paroles inaudibles de Rey derrière la vitrine ) et se terminent par une fin typique de Bunuel. Il n'hésite pas à maltraiter les types de personnalités, comme le nain professeur de psychologie. Bunuel a choisi de faire incarner l'héroïne par deux actrices, sans doute pour traiter du caractère indécis féminin. Il s'agit pour lui d'exprimer un cercle vicieux avec un objectif confus, comme souligné dans le titre, "obscur". Le film abonde de métaphores et de trouvailles scénaristiques, preuve de la grande perfecion du cinéaste.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 mars 2014
    Déroutant par la duplicité des actrices jouant le rôle de Conchita, mais une fois surmonté la première gêne on s'habitue à ce jeu qui, il est vrai, apporte une belle originalité et une richesse à cette oeuvre. L'ambiance du film est parfaite. Seul bémol: les passages dans le train, un peu désuets.
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