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    Le Lauréat
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    279 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Film culte. BAFTA du Meilleur Film, Golden Globe du Meilleur Film de comédie et Oscar du Meilleur Réalisateur pour Mike Nichols. Une comédie dramatique passionnante. L'histoire d'un étudiant qui rentre dans le monde adulte grâce à deux femmes. Avec une bande originale formidable avec les chansons de Simon et Garfunkel. Anne Bancroft (Golden Globe de la Meilleure Actrice dans une comédie) est excellente dans le rôle de la femme mariée et manipulatrice. Dustin Hoffman joue ici son premier grand rôle celui d'un étudiant déboussolé et Katharine Ross est magnifique dans le rôle d'Elaine.
    mazou31
    mazou31

    77 abonnés 1 257 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2012
    Film mythique — beaucoup pour la musique — qui n’a pas trop vieilli et reste une très bonne comédie. C’est vrai que les débuts de Dustin Hoffman étaient prometteurs : il domine entièrement le film, Anne Bancroft étant tout aussi impressionnante dans son rôle de cougar avant la lettre. Mais l’intérêt majeur reste la critique satirique de la société américaine, de son côté matriarcal, superficiel et hypocrite et l’éclairage sur le besoin de la génération de l’époque de s’affranchir de ses chaînes…
    surfnblue
    surfnblue

    51 abonnés 1 531 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juillet 2017
    Un classique que tout le monde a vu, sur une bande son magistrale.
    Dustin excellent, comme toujours par la suite.
    Un scénario classique, une fin évidente.
    Dans le même thème et en plus crédible aussi, plus saga: Ce que le jour doit à la nuit.
    Dawasta
    Dawasta

    43 abonnés 635 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2017
    Une comédie dramatique, un brin romantique, sur le passage à l'age adulte et l'envie de liberté, avec le très jeune et très juste Dustin Hoffman. La mise en scène regorge de plans bien pensés. Comme dans "Closer", aucun des personnages n'est heureux et ils se réfugient dans l'adultère. Un fort sentiment de mélancolie se dégage de ce film, appuyé par la BO (culte) de Simon & Garfunkel. (Pas mal)
    SpiderBaby
    SpiderBaby

    36 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2013
    Plusieurs ingrédients, qui pris à part n'ont rien d'exceptionnels : une relation ambigue entre un homme et une femme plus âgée, une chanson de Simon & Garfunkel, la libération des moeurs... mais qui, mis ensemble et saupoudrés d'un grain de folie, se révèlent magiques. Question d'alchimie.
    Philippe C
    Philippe C

    76 abonnés 998 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2018
    Un joili film sur l'éducation sentimenatle d'un jeune diplômé dans l'Amérique des années 60. L'histoire est bien contée, les personnages sont attachants , mais le scénario sans trop de surprise. Le film vaut aussi pour son coté vintage, avec la performance du jeune Dustin Hoffman et les sublimes chansons de Sigmund and Garfunkel.
    Se revoit toujours avec plaisir
    Tendax_montpel
    Tendax_montpel

    22 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2012
    Un classique qui cinéma américain. La jeunesse bien mise des lotissements, incarnée notamment par un Dustin Hoffman excellent pour son premier rôle, dévoile ici ses doutes et son désir de ne pas calquer ses pas dans ceux de ses parents. Un scénario bien pensé et une musique inoubliable.
    Marie-Saphire Von HANOVER
    Marie-Saphire Von HANOVER

    17 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 novembre 2016
    Le vice s'applique à la sexualité de mrs Robinson et dustin Hoffmann et s'évapore lorsque ce dernier entreprend une relation avec sa fille . Cette relation complexe est merveilleusement décortiquée par Mike Nichols qui réalise ici un film au sujet ambitieux . Perle rare .
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 045 abonnés 7 202 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2011
    Second long-métrage pour Mike Nichols (Wolf - 1994 & Working Girl - 1989) qui adapte ici le roman éponyme de Charles Webb et en restitue une brillante adaptation, une comédie dramatique doublée d'une romance qui nous surprend et nous tient en haleine en un rien de temps ! C'est avec une telle justesse et une telle puissance que le film nous immerge au coeur de ce sentiment à la fois malsain et crispant, un véritable étouffement ressentit à la fois par le personnage central et le spectateur, cette osmose qui règne dès le début du film, notamment lorsque la relation entre Benjamin Braddock (un étudiant fraîchement diplômé) et Mrs Robinson (une mère de famille) prend des proportions incontrôlables en devenant de plus en plus délicate, au fur et à mesure que les minutes s'écoulent et qu'elle "referme ses griffes sur sa victime".
    Une histoire d'amour interdite et extrêmement gênante entre un adulte de vingt ans et une femme d'âge mûre névrosée, cette histoire se compliquant d'avantage lorsqu'il tombe amoureux de la fille de cette dernière.
    Aussi surprenant que cela puisse paraître, le film fît un carton au box office, tout en faisant énormément de bruit (il avait de quoi choquer l'Amérique puritaine). Pour son second long-métrage, Dustin Hoffman s'offre une superbe carte de visite pour la suite de sa carrière, puisqu'il fut nominé à l'Oscar du Meilleur Acteur, contrairement à Mike Nichols, ce dernier reçu l'Oscar du Meilleur Réalisateur. Signalons enfin, la sublime (le mot est faible) B.O, dont le célèbre titre "The Sound of silence" de Simon & Garfunkel.
    NeoLain
    NeoLain

    4 136 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2008
    Bien des années après, l'éfficacité du scénario, la sophistication de la mise en scène, la qualité de la musique (Simon & Garfunkel) et le charisme des acteurs sont toujours aussi réjouissants. Dustin Hoffman excelle en étudiant qui perd sa timidité (et sa virginité). Le Lauréat est une chef-d'oeuvre.
    Redzing
    Redzing

    895 abonnés 4 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2019
    Après le cinglant "Who's Afraid of Virginia Woolf", Mike Nichols embraye sur l'histoire d'un jeune étudiant sans repère, dragué par une mère de famille, et tombant amoureux de la fille de celle-ci. Un film très anticonformiste pour l'époque, qui eut pourtant un grand succès. Dustin Hoffman incarne à la perfection ce jeune homme angoissé et niais, écrasé par un univers conservateur qui veut lui imposer le succès. Un rôle qui lui servira de tremplin pour sa carrière sur grand écran, avec à ses côtés Anne Bancroft, sensuelle en croqueuse d'hommes. Les dialogues sont subtils, tandis que la mise en scène, le montage sonore, et le montage visuel sont inventifs, et inspirés de la Nouvelle Vague européenne (transitions astucieuse, jeux sur les silences, inserts audacieux, jeux sur la profondeur de champs...). Plusieurs passages sont par ailleurs devenus des références, dont le final frénétique. En somme, une comédie dramatique intelligente, qui a finalement peu vieilli.
    Acidus
    Acidus

    599 abonnés 3 636 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2013
    Excellente réalisation, casting en or, une BO de qualité, une histoire prenante,... "The Graduate" a tout pour plaire.
    Audrey L
    Audrey L

    533 abonnés 2 390 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2020
    Le Lauréat, un film culte, dont tout le monde ne peut s'empêcher de compléter l'évocation par une petite improvisation de "Mrs. Robinson", la célèbre chanson de Simon and Garfunkel. Sauf qu'il est étrange qu'on se souvienne l'y avoir entendu : elle n'apparaît que trente seconde sous une version différente de celle qui tourne à la radio, et The Sound of Silence est, quant à lui, diffusé en intégralité trois fois ! Mais il faut croire que la sublime Mrs. Robinson a assez d'atouts pour ne nous faire suriner que son nom, encore et encore... Nous voilà à la place de ce jeune homme envoûté par l'amie de ses parents, cette dernière lui interdisant de fréquenter sa fille (dont le jeune homme s'enticherait bien...plutôt que la mère colérique). Un fait amusant : en réalité Dustin Hoffman n'avait que 6 ans de moins qu'Anne Bancroft, on en déduit que la piscine aide à rester jeune. La dolce vita fleure bon dans ce film, le côté provocateur est assez peu choquant au final puisqu'à l'époque une "cougar" (surtout mariée) impressionnait, mais plus aujourd'hui. Dommage que le film soit si redondant (toujours les mêmes scènes de piscine et de lits...) et bavard, car le final est assez inattendu. Si la première partie de film est assez convenue avec Mrs. Robinson, la dualité avec la fille apporte du piquant à l'intrigue. Au moins la bande-originale est un régal.
    Nyns
    Nyns

    184 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2017
    Les chansons de Simon and Garfunkel présentent sur la bande annonce de The Graduate sont devenus plus cultes que le film, même si ce dernier ne laisse pas sa part au chien... Il faut avouer que "And here's to you Mrs Robinson, Jesus loves you more than you will know..." pour l'inédit et la vraie écrite pour le film, c'est tellement le minimum vital. La fraicheur des sixties doublée par une histoire d'amour originale et moderne pour l'époque (sous fond de mise en avant du phénomène M.I.L.F. avant l'heure.. ah!), le tout avec le flegme et la gaucherie d'un nouveau jeune bientôt acteur incontournable, Dustin Hoffman. L'étudiant désœuvré rencontre l'épouse malheureuse et s'en suit une liaison peu constructive. Sauf que c'est sans compter sur la fille de cette dernière, que notre cher protagoniste ne pourra s’empêcher d'en tomber amoureux. Même si l'idylle demeure difficile à croire tant les deux jeunes gens font mal passer la tension de leur amour à l'écran (l’actrice jouant la mère, Anne Bancroft, étant pour beaucoup pour la dose de sensualité de The Graduate), cela brise un peu les codes de la famille bourgeoise des années 60 et met un peu de rock'n'roll dans la vision bien terne de la femme au foyer. Aaah l'âge des femmes à Hollywood c'est toujours une bien triste affaire, et ne date pas d'hier, Anne Bancroft n'a que...6 ans de plus que Dustin Hoffman. On comprend qu'elle soit si "bien conservée", on est loin du "double de son âge". Mike Nichols révolutionne la comédie romantique avec des données bien peu romantiques.
    Kloden
    Kloden

    110 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 septembre 2016
    L'un des films qui, avec Bonnie and Clyde et Rosemary's Baby, ouvrait le Nouvel Hollywood, portait déjà en lui ce mouvement de contestation (ou du moins de décalage critique, puisque le mouvement sombrera rapidement dans une désillusion qui le poussera à préférer les grands films mélancoliques à une recherche positiviste) envers l'American way of life des années 50 et le cinéma classique qui lui servait de vitrine. Le personnage de Dustin Hoffman, tout d'abord apathique au point d'en être agaçant, subit en effet longtemps les diktats d'une société parentale et de son bonheur pré-fabriqué qu'il finira par trouver la force de mettre à mal, inspiré par un amour pour Katharine Ross aux allures de Révélation. Si le réveil progressif du personnage est plutôt stimulant, il le doit surtout à la mise en scène de Mike Nichols, calibrée à la perfection et pensée autant comme une prison que comme une invitation insistante à faire exploser celle-ci. Tout du long sommeille en effet une vitalité souterraine, qui couve en attendant qu'on la laisse exploser. Parce que les cadrages de Nichols sont trop calculés, trop chargés de symbolique et trop déroulés sur un ton railleur pour qu'on prenne au sérieux le cadre qu'ils mettent en place comme un univers dramatiquement rigide et impossible à dépasser. Superbement mis en boîte, le récit pourrait quand même paraître un peu trop simple dans ses intentions, un peu trop facile à épuiser jusqu'au bout. C'est sans compter sur ce plan final sur les deux jeunes gens réunis, qui s'étire bien au-delà du nécessaire et voit leur sourire virer progressivement à deux masques incertains, perplexes et même effrayés. Si le plan dit toute la difficulté de construire quelque chose de durable après s'être débarrassé de ses chaînes, il va même bien plus loin et éclaire à mes yeux rétrospectivement tout le film d'un éclairage opaque et mélancolique. Comme une séquelle d'une aliénation depuis trop longtemps ressentie et que le ton hoquetant (visistant différentes nuances de la satire au drame) du film faisait sans arrêt ressentir, cette image laisse planer une ombre sur le futur des deux personnages, dont on craint finalement qu'ils aient trop longtemps vécu sous le joug pour savoir se mouvoir libérés. Constamment sur le fil, Le Lauréat est une oeuvre complexe, autant comédie romantique avant l'heure que tournant dans l'industrie hollywoodienne et film sur une époque qui se cherchait avec la peur de trop ressembler à celle qu'elle fuyait. Un classique.
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