Avis : Outsiders - Page 7

Un film plaisant sans être exceptionnel. C'est surtout l'occasion de voir les débuts d'une pléiade d'acteurs connus comme Matt Dillon, Patrick Swayze, Emilio Estevez ou encore Tom Cruise. Outsiders met également en avant quelques jeunes stars de l'époque comme C. Thomas Howell (E.T.) et Ralph Macchio (le futur Karate Kid).

Je critique ici la version remastérisé et dite complète sorti en 2005 par Coppola en Amérique. Comme je vis au Québec j'ai accès à cette version avec sous-titres français bon point: beaucoup de nouvelles scènes qui donnent du poids à cette version. Et puis des bonus passionnants: Un dvd et demi de plus pour regarder le film avec le maître lui-même ou avec les acteurs ( 4 ) qui redécouvrent cette version pour la première fois. Il y a aussi des auditions de casting fascinantes, la bande annonce originale du film avec la musique originale de Carmine Coppola et plein d'autres bonus. Mais c'est avec le mot musique que nous arrivons à la grande erreur de “ Coppola junior“ pour cette version. Il a en effet rayé la musique de papa pour mettre du Elvis et autres chansons parce que, comme il le dit lui-même, les jeunes de ce film écoutent cette musique (? c'est n'importe quoi cet argument et il ne s'en rend pas compte???). Et là, oh horreur ça sonne complètement petite production sans budget et sans envergure. Tout le lyrisme et la puissance de l'oeuvre sont évacués par cette musique insignifiante. Le film vieillit encore plus mal et tout manque d'ampleur. C'est comme si vous essayeriez de faire voler un superbe avion avec une seule aile. En fait cette nouvelle musique révèle les lacunes du film. Dommage car il y a des trucs très intéressants et originaux dans The Outsiders nouvelle mouture. La scène au lit des deux frères étant magnifiques. Cette scène avait été évacué en 83 car on aurait pu y voir là une certaine homosexualité. Le puritanisme américain n'est jamais loin sur la couverte. Alors que cette réédition aurait pu donner des ailes à ce film et une imprimatur définitive, elle ne fait que nous laisser sur notre appétit en détruisant tout le lyrisme contenu dans la musique qui insufflait au film une puissance plus forte qu'il ne l'était véritablement à l'origine. Avec la musique originale cette mouture aurait frisé les 4 étoiles. Coppola a attendu que son père meurt pour l'éliminer de la bande son car, comme il le dit lui-même, Il ne me l'aurait jamais pardonné. Je crois que moi non plus je lui pardonnerai jamais d'avoir massacré une telle bande et il mériterait un sacré bon coup de poing sur la gueule à la Tom Cruise! Bref le maestro plein de bonnes intentions a réussi à massacrer un projet vraiment bien parti, avec des scènes superbes rajoutées, en lui ôtant ce qu'il avait de plus grandiose pour le rehausser: la musique phénoménale de papa. Le maestro a joué les Outsiders avec sa pellicule et cela ne lui va pas bien du tout!

On me l'avait fortement conseillé ... pourtant, le casting est inégal par exemple Ralph Macchio (Johnny) est très crédible, et C. Thomas Howell (Poneyboy) l'est beaucoup moins, ce qui dévalorise le film; La mise en scène n'a rien d'exceptionnel au contraire, le pire moment du film étant la scène d'affrontement entre les 2 gangs rivaux, la pluie artificielle qui se met à tomber au moment du combat renvoie à une symbolique plus que simpliste, cette pluie battante combinée à une très mauvaise performance de simulation de combat, rend cette scène presque ridicule. Bref, je n'ai pas vraiment aimé.

Un film génial qui présente une Oklahoma sombre et poussiéreuse avec des acteurs magistraux pour leurs premiers rôles. Patrick Swayze crève l'écran et Matt Dillon sert une performance brillante. Stylé et émouvant, un grand film pour moi.

Un drame efficace avec une bonne morale et des personnages attachants. On regrette néanmoins que l'histoire soit parfois trop hachée et les personnages secondaires pas assez exploités.

Une mise en scène soignée pour une histoire de working-class heroes de Tulsa dans les années 60. Entre reconstitution d'une époque, film de passage à l'âge adulte et de nombreuses références à West Side Story. Ce film est particulièrement intéressant pour voir les débuts d'un certain nombre voire d'un nombre certain d'acteurs qui auront une belle carrière ensuite (Swayze, Cruise, Dillon en tête).

Magnifique film avec de magnifiques acteurs: excusez du peu, C.Thomas Howell (Brillant), Raplph Maccio (émouvant), Matt Dillon, Rob Lowe, Patrick Swayze, Tom Cruise, Diane Lane (Tous exceptionnels). Un film sur la jeunesse et la transition au monde adulte. Le réalisateur Francis Ford Coppola a soigné son image et son histoire. A voir absolument.

dommage que je n'était po encore néé car si je serai la je serai trop allez le voir au cinema un tre tre bon film a voir absolument une tres belle panoplie d'acteur et bonne histoire croison les doigt pour qui sorten e"n dvd version francaise et pa vo

C'est un assez bon film car il est très crédible, même si un peu pareil que les autres films (le bon copain avec un méchant, l'accident, l'acte de courage, la promesse, la vengeance, ...) mais c'est bien et Tom Cruise ajoute du piment.

« Les toiles et les bouquins ! J’aimerais que tu penses à autre chose de temps en temps. »

Les années ’80, dans la culture populaire aux Etats-Unis, ont été l’occasion d’un revival nostalgique des années ’60, qu’il s’agisse du retour du rockabilly (les Stray Cats, les Cramps, la redécouverte d’anciennes gloires à la faveur de BO de cinéma ou de pubs), de la mode (les vestes de collège), des séries télévisées à succès (Happy Days) ou du cinéma (Grease, American College, Stand by Me, Retour vers le Futur, Porky’s, Peggy Sue s’est Mariée du même Coppola). The Outsiders est à classer dans ce mouvement culturel, offrant, outre l’habituelle implication familiale (Francis Ford à la réalisation, le papa Carmine à la musique, le fils Gian-Carlo à la production et la fille Sofia dans un petit rôle) une distribution de rêve en termes de nouveaux talents, dont plusieurs membres plus ou moins affichés du Brat Pack, prêts à envahir durant la décennie et parfois même plus, les plateaux de cinéma : C. Thomas Howell (Hitcher de Robert Harmon, Toscanini de Franco Zeffirelli), Matt Dillon (Rusty James du même Coppola, Drugstore Cowboy et Prête à Tou de Gus Van Sant), Ralph Macchio (la saga Karate Kid, Mon Cousin Vinny de Jonathan Lymme), Patrick Swayze (Dirty Dancing d’Emile Ardolino, Ghost de Jerry Zucker), Rob Lowe (Hôtel New Hampshire de Tony Richardson), Emilio Estevez (Breakfast Club de John Hughes), Diane Lane (Rusty James et Cotton Club, toujours de Coppola), Tom Waits dans un tout petit rôle, chanteur et acteur fétiche de Coppola, Jim Jarmush et Terry Gilliam et, enfin, Tom Cruise. On notera également un caméo de l’autrice du roman dont est tiré le scénario.

Quête initiatique de deux ados d’une bande des bas quartiers de Tusla, portée, comme souvent chez Coppola, par une BO parfaite, l’oeuvre bénéficie d’une réalisation classique ponctuée d’effets simples mais efficaces, la caméra sans cesse braquée sur les expressions des protagonistes ou opérant en plan large comme un théâtre d’ombres. La direction d’acteurs est tout simplement parfaite et, malgré des dialogues basiques et réalistes, l’ensemble a quelque chose de shakespearien, à travers une rivalité ancestrale et le poids du destin, très sobrement résumé lorsque le héros et narrateur Gresar Ponyboy est invité par un Soc à discuter dans sa voiture.

Film en apparence superficiel, The Outsiders est un chef d’oeuvre dense et intemporel, d’une impressionnante maturité.

Si la réalisation est impeccable et la représentation des années 60/70 parfaite, le scénario n'est pas des plus passionnant. Une histoire sans grand intérêt. Par contre une pléiade de jeunes acteurs en herbes dont beaucoup sont devenus depuis de grands acteurs (Matt Dillon, Patrick Swayze, Tom Cruise... Loin 'être le meilleur de Francis Ford Coppola.

Un film à l'ésthétique soigné, finement mis en scène par Coppola, où campe de jeunes acteurs remarquables. L'histoire est forte intérressante, émouvante et révoltante.

Sur un fond de guerre des gangs,Coppola dépeint une jeunesse américaine rebelle qui se cherche.On pourrait dire que c'est le préambule de Rusty James.C.Thomas Howell alias Ponyboy et Ralph Maccio alias Johnny,tous les deux sincères et émouvants, campent deux adolescents par qui devra passer le changement.Le regard qu'il porte sur le monde est beaucoup plus mature que l'univers dans lequel ils évoluent, leur destinée en sera la preuve.De très beau plans enveloppent l'ensemble pour aboutir à un très beau film.

À mes yeux le plus beau film de Coppola. Le casting est d'or, le générique superbe (la chanson de Stevie Wonder est magnifique). Dommage que le réalisateur ait massacré son film avec un director cut catastrophique où le cinéaste sacrifie la merveilleuse musique de Carmine Coppola qui fait 50% du charme du film. Un peu comme si Lucas retirait la musique de John Williams sur les "Star wars". Préférez donc la version ciné de 83.

Le film a-t-il mal vieillit ? Est-ce l’effet Coppola ou dés qu’on voit son nom on est obligé de mettre une bonne note ? Je sais pas mais je ne suis pas réellement apprécié se film. Bon il n’est pas mauvais mais bon dieu que c’est lent. J’ai rien contre ses films la j’ai apprécié The Yards par exemple mais la trop c’est trop. Bon il est vrai que le réalisateur a fait le pari de mettre des étoiles montantes du cinéma peu connu du grand public. Certains ont acquis une renommé mondial et c’est tant mieux pour eux. Le scénario est simple en gros un gang plutôt pauvre affronte un autre plutôt riche et les deux se foute sur la gueule dés qu’ils peuvent. Pour le jeu d’acteur bof pas convaincu c’est souvent stéréotypé au possible. Le dénouement m’a laissé de marbres étant assez fan de James Gray qui est fan de Coppola je m’attendais à un truc du genre. Sa reste plutôt moyens dans l’ensemble mais on sera apprécié la bo discrète et de qualité.