film theatral au magnifique décor faisant penser plus à une demeure de "autant en emporte le vent " qu'à un pensionnat de jeunes filles ; féministe avant l'heure et totalement avant gardiste parlant de sentiments refoulés, de désirs homosexuels ; film étonnant pour l'époque ; écrit par une femme, réalisé par une femme, joué avec des femmes : les hommes brillent par leur absence...
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1,0
Publiée le 22 mars 2019
Edwige Feuillère, grande actrice. Quelle classe ! Belle reconstitution d'époque, jolies robes. Mais avec ces filles de 20 ans qui courent en groupe de trois en se tenant la main et en riant, on atteint le comble de la niaiserie. On se croirait dans un sketch des Inconnus.
Ces filles de 20 ans ont toutes une mentalité de petites filles de 8 ans, toujours riant ou pleurant, toutes bonnes et niaises. (Evidemment l'innocence, passage obligé des sujets scabreux).
Cet univers n'est vraiment pas ma tasse de thé, je préfère Le Pont de la Rivière Kwaï. Mais pardon pour cette critique " genrée".
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1,5
Publiée le 8 décembre 2018
Ce jour, ressortie en salle d’Olivia, film réalisé en 1951 par Jacqueline Audry qui fut l’une des pionnières du cinéma français au féminin. Cinéaste féministe dans l’âme, la réalisatrice joint dans Olivia le geste à la parole. Prenant l’homosexualité féminine pour thème principal, Audry fait la démonstration d’un cinéma féminin et féministe jusqu’à l’extrême. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com