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    Annie Hall
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    3,9
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    221 critiques spectateurs

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    kermalec
    kermalec

    7 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2015
    Avec Annie Hall, Woody Allen aborde avec légèreté et humour des sujets sérieux et universels : les relations amoureuses bien entendu, mais aussi la confrontation en chacun de nous entre l'être et le paraître ou entre nos ambitions conscientes et nos rêves et besoins inconscients.
    Voilà bien tout le talent de ce jeune réalisateur, ce qui devint d'ailleurs par la suite la marque de son oeuvre : il place au centre de l'oeuvre des thèmes qui nous concernent tous et met en scène des personnages délurés dans des situations désopilantes, offrant ainsi au spectateur un moment de grâce, où rires, méditation et réflexions profondes viennent s'entremêler avec bonheur.
    Woody Allen est un réalisateur unique en son genre : qu'on l'aime ou qu'on ne l'aime pas, il est et restera un grand Monsieur du Cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 août 2013
    Un nom, beaucoup d'éloges et une grosse déception. La bonne conscience me pousse à mettre 3 étoiles, car oui, ça reste une comédie (romantique ?) pas trop mauvaise, mais je finirais quand même en disant que Woody Allen, ça fait toujours beaucoup de raffut pour pas grand chose, et quitte à me faire incendiée parce que j'ose critiquer mon sieur, ça reste juste un grincheux devant qui tout le monde s'agenouille et tape tape tape dans les mains, parce qu'il s'assume.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 janvier 2013
    Un fouillis inintéressant. On appelle ça de l'art en voyant le nom du réalisateur. On d’ennui et ça semble être le but comme dans tous les film de "Monsieur" Woody Allen. Je remarque qu'il y a quelques chose d'encore moins mérité qu'un oscar pour ce film. Le métier associé à W. Allen. Question de goût et de logique.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    933 abonnés 4 849 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2016
    "Mon sexe est un problème"!!!!!! J'ai pas lu cet ouvrage, c'est pas un ouvrage de Truman Capote!!!!!
    L'archétype du film d'introspection. Un modèle de son genre. Ici non seulement il s'analyse mais il prend aussi le public à témoin en s'adressant à la caméra. C'est assez jouissif, très drôle, rythmé; c'est la vie en accéléré.
    Hotinhere
    Hotinhere

    428 abonnés 4 758 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 octobre 2020
    Une comédie jubilatoire et nostalgique sur l'amour et le temps qui passe, à la fois drôle et très bien écrite et peuplée de scènes d'anthologie.
    Récompensée par 4 Oscars, dont celui du meilleur film.
    dougray
    dougray

    212 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2015
    Premier film du "quatuor magique" encensé par les critiques et les fans du maître (avec "Manhattan", "Hannah et ses sœurs" et "La Rose Pourpre du Caire"), "Annie Hall" n’a pas volé son statut tant on sent, dès les premières minutes du film, qu’on se trouve bien face à une œuvre particulièrement travaillée et, au final, un grand film. En intronisant comme héros une copie conforme de lui-même, Woody Allen crée un style (qui lui colle à la peau, aujourd’hui encore) et s’impose comme une figure iconique avec laquelle il faudra, désormais, compter. On pourra toujours lui reprocher d’avoir assez peu fait évoluer ce personnage de névrosé fataliste et légèrement asocial armés de répliques qui font mouche (on ne dira jamais assez de bien sur la capacité du réalisateur à ne pas se donner le beau rôle)… mais force est d’admettre que même ceux qui n’ont jamais vu un de ses films savent identifier cette interprétation. Et "Annie Hall" est l’exemple parfait du film où l’auteur profite de la fiction" pour se raconter et, au passage, faire sa propre psychanalyse. Woody Allen puise, ainsi, dans son propre parcours (et, accessoirement, sa séparation avec Diane Keaton) pour faire une sorte d’état des lieux, sous forme d’auto-critique, de sa vision du monde, des rapports humains, de la réussite, de la vie de couple (soit autant de sujets qui deviendront peu à peu sa marque de fabrique)… et il parvient à asséner son discours sur un ton extraordinairement drôle et une mise en scène formidablement inventive, ce que permet d’éviter l’écueil de la leçon de morale ou de l’austérité. C’est, d’ailleurs, sans doute, la mise en scène de "Annie Hall" qui lui a permis de tirer à ce point son épingle du jeu puisque Allen se permet des fantaisies d’une originalité inattendue qui viennent dynamiser le rythme (les habituelles plans séquences bien sur mais aussi les confidences face caméra, l’intervention absurde d’un auteur critiqué dans la file d’attente, les flash-back, les split-screens, cassures de rythme…). Cette créativité visuelle permet de faire passer l’image très 70’s et l’impression de grand bordel qui se dégage parfois du film. Woody Allen est, mine de rien, est des plus grands conteurs qui soit puisqu’il parvient à disserter sur des considérations d’ordre philosophique souvent terriblement pertinentes… par l’intermédiaire de blagues ! A ce titre, sa blague sur le fou et les œufs résume parfaitement le travail de l’auteur : un propos intelligent traité par le prisme du rire. On se prend, donc, à se passionner pour cette histoire d’amour qui finit mal et pour la subtilité avec laquelle ait traité le sujet (on sent bien que le réalisateur ait passé par là et qu’il se raconte). Autre grande réussite : le fait de mettre le personnage féminin (Diane Keaton rayonnante de vie) au centre de l’évolution de ce couple et en faire un personnage fort. Car, si ce couple se dirige tout droit vers une inexorable séparation, c’est essentiellement en raison du refus de l’homme d’évoluer (il reste attaché à son quotidien, à ses racines et à sa ville) alors que la femme est en perpétuelle élévation (sociale, culturelle, intellectuelle). La encore, on ne saluera jamais assez le talent de Woody Allen qui sait magnifier les rôles féminins comme peu d’autres réalisateurs. On retrouver, enfin, le goût du réalisateur pour les ambiances jazzy ainsi que son amour pour New-York, à qui il déclare sa flamme en l’opposant au clinquant, absurde à son sens, de Los Angeles. "Annie Hall" est, donc, un film drôle, original et touchant qui a fait de Woody Allen la légende qu’il est aujourd’hui.
    John Henry
    John Henry

    99 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2020
    Il y a dans ce film tous les germes du cinéma de Woody ALlen au début de sa carrière, un humour décapant, une vision désabusée de l'amour, ses 1001 variations et une mélancolie sous-jacente. Le cinéma de Allen, c'est un peu comme des vieilles pantoufles, indémodable, éternel, pas très beau, mais très confortable.
    joelle g
    joelle g

    78 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2017
    Franchement pas mon film préféré chez Woody Allen , contrairement à sa notoriété.....d'où une certaine déception...des dialogues trop rapides ...comme c'est souvent le cas chez Allen.....il faudrait des sous titrages en français.....mais là c'est pire que tout. Un film à revoir peut être une deuxième fois? ....bref! Je n'ai pas accroché à cette romance, dans la pure tradition du cinéaste....
    Redzing
    Redzing

    939 abonnés 4 300 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2015
    Un comique new-yorkais mal dans sa peau évoque la relation qu'il a eu avec une femme quelque peu excentrique. "Annie Hall" marqua un tournant dans la carrière de Woody Allen : outre son succès public et critique, le film lança le genre de la comédie romantique post-moderne, où les réflexions philosophiques et détachées importent plus que l'intrigue amoureuse. Ainsi, l'acteur-réalisateur, avec son humour cynique et pince sans rire, parle de sexe, de psychanalyse, de souvenirs d'enfance déformés, du milieu artistique new-yorkais ou californien, le tout dans une narration déstructurée qui n'est pas sans rappeler Fellini (dont il est fait directement mention dans les dialogues !). Par ailleurs, l’œuvre propose de nombreuses inventivités sur la mise en scène, telles que le montage abrupt, le sous-titrage des pensées réelles des personnages, ou le split screen, qui forment une composition très originale à l'époque. Le tandem Woody Allen / Diane Keaton, bien qu'improbable, fonctionne sans mal à l'écran, et l'on repère également quelques petites apparitions sympathiques (Christopher Walken, Jeff Goldblum...). Au final, "Annie Hall" est une comédie dramatique importante pour le cinéma des 70's, et qui reste très plaisante à voir aujourd'hui.
    Roub E.
    Roub E.

    747 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 avril 2020
    Un des films les plus réputés de Woody Allen et qui symbolise parfaitement sa filmographie de cette période. Annie Hall est un film bavard, angoissé, en psychanalyse, perdu, nostalgique, pince sans rire à l'image de son personnage principal dont on comprend rapidement qu'il n'est qu'un avatar de Woody Allen lui même. Mais pour être très franc ça de sera pas mon film préféré de son auteur, dans un style très similaire j'avais trouvé Manhattan infiniment supérieur. La j'ai trouvé que la plupart des aspects du film étaient réussis mais sans plus, ça ne m'a pas touché ou amusé plus que cela. Reste Diane Keaton extraordinaire dans son rôle et dont la performance mérite à elle seule de voir le film.
    ferdinand75
    ferdinand75

    461 abonnés 3 655 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 décembre 2015
    Un classique dans la filmographie de Woody Allen. On est ici dans sa période très autobiographique, ou il se nourrit de sa vie amoureuse, et de son quotidien à New York, pour raconter des histoires. C’est avant tout une peinture de la vie New York d’une certaine classe d’intellectuels. Allen se moque beaucoup de lui même et de ses congénères, beaucoup d’humour corrosif. C’est par exemple ; la scène formidable dans la file d’attente d’un cinéma, ou son voisin de queue raconte toute sa vie culturelle, étale sa culture à sa partenaire et fait des commentaires sur tout et sur tous. Cela l’exaspère, (alors que ce pourrait être lui même), il prendra à partie le spectateur et fera même intervenir en live, comme guest star, le professeur d’ université dont il était question par le commentateur. Du pur Allen, désopilant. C’est ensuite sa relation amoureuse avec Diane Keaton ,en évoquant aussi ses mariages précédents. Il est gauche avec les femmes, et a du mal à suivre une relation régulière. Il se laisse beaucoup manipuler. Des quiproquos, des malentendus, des femmes volages ou inconsistantes.Et bien des séances de psy ( depuis 15 ans !!) Mais Diane Keaton est la seule qui le stabilise .Très belle scène de séduction sur les toits de New York. Mais elle est attirée par le milieu Hollywoodien en Californie, scène très caustique aussi contre le milieu de LA. Il y aussi toute l’évocation de sa jeunesse et de sa famille typiquement juive , un peu étouffante, qui explique beaucoup ses frustrations ( on est proche des romans de Philippe Roth , dans cette belle tradition des familles juives New Yorkaise, laïques, et part intégrante de l’esprit américain). La chronique est intéressante, même si cela pêche parfois par excès de verbe ; l’humour est caustique mais très fin. Du très beau Woody Allen de cette époque, très auto analytique.
    Ti Nou
    Ti Nou

    415 abonnés 3 365 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2015
    Les déboires de ce couple pourraient être ennuyeux si Woody Allen ne parvenait pas à rendre ses personnages attachants et à impliquer le spectateur en brisant le quatrième mur. D'autant plus qu'ils sont allégés par un humour fin.
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    136 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 avril 2016
    Annie Hall a 40 ans ! Il est pourtant toujours agréable à suivre. Les vêtements hippies et les posters de Kiss sur les murs font légèrement tiquer mais le récit est enlevé et les histoires d'amours et échecs sentimentaux sont toujours d'actualité en 2016 ! Une scène : les pensées en filigrammes des dialogues lors de leur rencontre.
    Jahro
    Jahro

    44 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2018
    Je me mets tardivement à la filmo de Woody Allen, et pour ça quoi de mieux qu’Annie Hall, doublement premier Oscar, virage ayant conduit l’intello juif newyorkais myope, dépressif et libidineux, de petit comique à grand cinéaste ? On le comprend presque immédiatement, c’est sa vie elle-même qu’il met ici en scène : sa liaison tumultueuse, mais qu’on croyait indestructible, avec une Diane Keaton qui offre en quelque sorte son nom au film (je vous laisse consulter les détails sur Wikipédia). Le réalisateur aussi voile son identité, passant d’Allan Konigsberg à Alvy Singer, en une sorte de mix anagramme et diminutif. Il a manifestement convaincu son ex-femme d’extérioriser jusqu’au bout tous ses souvenirs, joyeux et tristes, comme lui le fait si naturellement, comme si derrière l’objectif se trouvait leur psychanalyste. C’est bavard et c’est perturbant, mais on peut aussi bien y voir une certaine truculence, un humour à la fois dynamique et désabusé, qui vient s’ajouter aux nombreuses incartades surréalistes dont le script regorge. Car il se lâche, notre ami, il interpelle son spectateur, invite des célébrités à jouer leur propre rôle, fait un petit tour vers l’animation, s’amuse des époques et des mises en abîmes. Le résultat est à la fois quasi cheap, et incontestablement virtuose, comme le cinéma d’un précurseur à Michel Gondry, d’un Truffaut qui vivrait aux Etats-Unis, bref, comme celui d’un ponte d’hier et d’encore aujourd’hui.
    FAUX
    FAUX

    6 abonnés 236 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2011
    La matrice de tous les autres Woody, le moment où il dépasse le statut de comique. Whatever Works n'en est en réalité qu'une version grabataire. blue v. descend inévitablement encore... 78%
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