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cinéman
23 abonnés
740 critiques
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3,0
Publiée le 25 août 2019
Comédie où on a le plaisir de retrouver Romain Duris ou Vincent Elbaz très jeunes. L'ambiance du Lycée en 1975 (alors que le film est de 1994) est sympathique, notamment parce qu'elle est très marquée par des revendications politiques post-soixante huitardes. Quoi que faisant un peu réfléchir sur la scolarité qui reproduit un même système de classes sociales, ce divertissement reste assez bon, mais pas immémorable.
Un film sur les années lycée, qui nous dresse un portrait d une bande de pote en fin d adolescence. Le ton est forcément nostalgique, on parle de regret d actes manqués qui contraste avec l insouciance de cette période. Le film est bien ancrée dans une période post soixante huitarde qui m a du coup moins parlée. Un plaisir aussi de découvrir Romain Duris et Vincent Elbaz dans leur premier rôle .
Le film culte de toute une génération (n'ayons pas peur des mots !) qui révéla Romain Duris et son rôle d'éternel ado rebelle et dépravé au grand public.
J'aurais dû découvrir ce film plus tôt. Ce film a révélé Romain Duris puisque c'était son premier rôle, et il fait pratiquement le film à lui tout seul puisqu'on est intrigué par Thomasi, on l'admire, il nous fait rire, il a du culot. Et le fait qu'on sache dès le départ que ce personnage est mort au moment où tous ces souvenirs sont passés donne une dimension toute particulière au film et surtout au personnage principal. Le film est mêlé d'humour et de nostalgie, de tristesse, ce qui donne un excellent mélange de comédie dramatique. Vincent Elbaz est également excellent et drôle, comme à son habitude.
Pas vraiment du grand cinéma, mais juste pour voir Vincent Elbaz et Romain Duris les cheveux longs, tous jeunes et avec des fringues ringardes ca vaut le détour!!
Le film générationnel par excellence, Le péril jeune marque une époque tout en parvenant à réunir son sujet central, la jeunesse ! Un casting qui fait mieux que tenir la route, chacun dans son rôle contribue à l'alchimie global et procure des sensations divers et variée. Cédric Klapish signe un film culte.
un film sublime sur une période intense de la vie. Un excellent flash-back sur ce qu'on appel parfois l'age bête mais surtout le période de l'insouciance. Des acteurs parfaits, un scénario trés bon...bref un film à voir impérativement.
Le but du film aurait été de trouver le problème .. ? ce film est nul. On s’ennuit très rapidement, des propos pseudo-gauchos, encore une vision négative des forces de l’ordre, tout ca pour finir sur des pétards et du psychédélique, la fin on l’attend même pas car il n’y a rien a attendre ! Aucune psychologie intéressante, des personnages creux, aucune scène marrante et des supers clichés. Romain Duris et Vincent Elbaz assurent une prestation particulièrement moyenne de deux parfaits débiles. A voir si vous voulez perdre 1h40 de votre vie inutilement. 1 étoile car seuls les films irregardables ont 0.5… D’ailleurs un élève de terminale qui connait pas la lutte des classes ca me semble ‘très impossible’, vu de nos jours l’engouement démesuré des profs pour venter les mérites de ce cher MARX, en 1975 ca devait être pire.
Une bande de copains qui vivent leur vie de lycéen à fond : sexe , drogue et alcool !!! L'un d'entre eux couche même avec la correspondante anglaise !!! Cédric Kaplisch nous montre une jeunesse déséquilibrée mais tendre à la fois !!! Roman Duris alais Tomasti est le plus fou de la bande et finit par mourir !!!
Dialogues et scènes inutiles. Je l'ai vu il y a 10 ou 15 ans. J'ai voulu le revoir car on le dit culte. Ma première impression était la bonne : Je n'ai pas aimé la première fois, toujours pas la deuxième. C'est ennuyeux et futil malgré le talent certain du comédien Romain Duris. Le film appartient à une génération et une époque. Il est figé dedans et n'en sortira pas, selon moi.
Qui aurait pu prédire que le réalisateur de ce navet donnerait au cinéma français quelques années plus tard l'une de ses plus grandes réussite? Le Péril jeune, film cliché, série AB Production sur grand écran, contient en effet tous les ingrédients de l'Auberge espagnole, mais sans aucune virtuosité. Un film bancal, sans propos...
Klapisch ou le réalisateur qui brosse les français dans le sens du poil. Enfilant les clichés comme d'autres les perles, il réactualise en fait le cinoche franchouilllard et le met au goût du jour. Que l'on ne s'y trompe pas il n'y a rien ici de très différent que ce que faisait Max Pécas ou les zouaves de "La 7ème Compagnie" en leur temps, la vulgarité s'étant simplement dépassé ailleurs. De plus, c'est un triste plagiat de "The Big Chill" de Kasdan (grand film par contre, vous pouvez y aller) auquel on a ajouté une pincée d"Un Monde Sans Pitié" (suréstimé aussi mais infiniment meilleur que le film ici présent). Navrant.