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    La Folie des grandeurs
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    343 critiques spectateurs

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    QuelquesFilms.fr
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    225 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2014
    On s'amuse toujours de ce film inscrit au Patrimoine national de la comédie et fidèle serviteur des bonnes audiences de TF1 depuis des dizaines d'années. À l'origine, Victor Hugo a dû se retourner dans sa tombe en voyant une telle adaptation de son Ruy Blas. Il est vrai que Gérard Oury n'a jamais fait dans la dentelle littéraire... En revanche, le réalisateur a souvent eu l'art de manier efficacement les grosses ficelles comiques (courses-poursuites, quiproquos...) et de créer de bons tandems d'acteurs. Montand et de Funès ne formaient pas sur le papier l'association la plus évidente au début des années 1970, tant les registres des deux acteurs étaient différents. Mais ils fonctionnent bien ensemble, le charme espiègle de l'un complétant le comique pète-sec de l'autre. Il faut toutefois passer sur leurs cabotinages respectifs, de même que sur les effets de style appuyés de la réalisation (notamment des zooms pas légers-légers), oublier aussi la relative minceur de l'intrigue, pour savourer quelques répliques cultes ("Il est l'or, Monseignor..."), apprécier les détails rigolos des costumes (les pompons verts de Don Salluste au début), se réjouir du rythme fou-fou de l'ensemble, s'emballer en écoutant la musique très "western" de Michel Polnareff et enfin goûter le pouvoir de séduction de la délicieuse Alice Sapritch...
    videoman29
    videoman29

    204 abonnés 1 809 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Après le colossal succès remporté par « le corniaud » et « la grande vadrouille », Gérard Oury se lance dans une nouvelle aventure avec son duo star « Louis De Funès – Bourvil ». C'est ainsi que voit le jour « la folie des grandeurs » en 1971. Malheureusement Bourvil vient de mourir, laissant le cinéma français un peu désemparé... Du coup, le cinéaste reporte son choix sur Yves Montand, peu habitué aux comédies, mais qui va littéralement exploser aux côtés de De Funes. Les deux acteurs nous offrent une prestation absolument délicieuse et qui reste dans toutes les mémoires. Il faut dire que le casting est royal, notamment avec une Alice Sapritch, incroyablement drôle. L'histoire est plutôt bien écrite pour un film de ce genre et réserve son lot de scènes et répliques cultes. Les deux heures passent comme une lettre à la poste et on ne s'ennuie pas une seconde en compagnie de ces personnages super attachants. C'est un plaisir à chaque fois renouvelé de replonger dans les années 1970 avec ce classique immortel de la comédie française.
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 avril 2019
    Elle partait bien cette "Folie des grandeurs". Elle partait même très bien. Pendant un peu plus d'une demi heure, c'est vraiment le pied. Les gags s'enchaînent, aucun n'est forcé. Donc ça fait mouche à chaque fois. On a le droit à une plâtrée de répliques cultes (les très pauvres et les très riches, le bain ou le réveil de Salluste) et ça file à vive allure. Et le duo de Funès/Montand tourne à plein régime. Mais, il y a un gros problème. Oury était alors en surrégime La sanction tombe rapidement : le soufflet retombe... pour ne jamais se relever. Aussitôt que Don Salluste est démis des ses fonctions ministérielles, c'est fini. On tombe alors dans un espèce de coma cinématographique. Oury n'a plus rien à nous proposer. La fin est plus que poussive et ce n'est malheureusement pas le célèbre strip-tease d'Alice Sapritch qui vient la secouer. Et le rythme devient mollasson. Et que c'est médiocrement joué. Yves Montand, que l'on avait vu cabotin mais très enjoué dans "Le grand escogriffe" ou "Le diable par la queue" est ici très loin de son rendement habituel. Les seconds rôles sont insignifiants. A l'image des deux fantômes jouant le Roi et la Reine. Reste donc Louis de Funès qui se plie en quatre et qui empêche le film de virer à la catastrophe. Ça ne vaut pas, ou plus grand chose.
    Lemmy K
    Lemmy K

    15 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 janvier 2016
    Film culte dont tout le monde connait le fameux 'il est l'or, l'or de se réveiller". Faces aux facéties et pitreries de De Funès, Montand tient la dragée haute et remplace aisément Bourvil qui devait tenir le rôle initialement.
    Ce film est atemporel, il fait rire chaque génération et est construit comme une pièce de théatre de grand boulevard.
    C'est naturellement à voir et à revoir !
    Loskof
    Loskof

    366 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 décembre 2012
    Pas mal, une bonne moitié des blagues fonctionnent (ce qui n'est pas si énorme que ça), mais surtout l'histoire est bonne, et c'est rare dans un film de Funès qu'il y ait une histoire. Après comme souvent le film aurait mérité d'être une pièce de théâtre tant on se croirait dans un Vaudeville. Au théatre il faut impressionner, surjouer pour que le public au fond ressente les choses, au cinéma il faut de la mesure. Et Louis de Funès en est dénué... C'est lourd à souhait, complètement surjoué, il n'y a là aucun talent d'acteur pour moi et si cela fait rire je me demande bien pourquoi ! Voilà quoi, c'est insupportable...
    septembergirl
    septembergirl

    563 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2010
    Une très bonne comédie, dans laquelle on retrouve un duo d'acteurs de choc : Louis De Funes/Yves Montand, qui se retrouvent tous deux dans des situations toutes plus hilarantes les unes que les autres. "Il est l'or, mon seignor" !
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    51 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2013
    Personnellement, Louis De Funès n’a jamais réussit à me faire rire, je veux dire un vrai rire, et non pas un rictus, arraché après une énième grimace. Pourtant j’en ai soupé du de Funès à l’époque. Et bien j’ai un bon souvenir de ce film là, je ne sais trop pourquoi. Je le re-visionne pour voir, et en effet, les blagues n’ont pas pris une ride. Je m’en souviens comme si c’était hier, alors que c’est vieux, vieux, vieux dans ma tête. Peut-être pas si vieux quand même, je ne suis pas vieux à ce point là. Le couple De Funès-Montand fonctionne à merveille, et l’histoire est une parodie inspirée. Malheureusement il y a tous les tics de la comédie populaire française d’après guerre. Et moi je trouve ces comédies soi-disant populaires plutôt, franchouillardes, voire bornée, limite populistes. Les acteurs surjouent à mort, et les gags qui succèdent aux gags, pour un autre gag, à un moment, c’est lourd, ça devient très lourd. Comme d’hab, Oury lâche les rênes au beau milieu du film, et ça devient un bordel. L’intention de faire rire, aboutit à une farce grotesque comme d’habitude, sans réel direction au montage pour soutenir le tout. C’est sans prétention et « facile ». Encore une fois chez Oury, on pourrait dire. Dommage.
    bsalvert
    bsalvert

    320 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2013
    Un duo d'acteurs efficace au profit d'une comédie légère.
    PLV : un bon moment de détente
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2013
    Un grand vaudeville où se côtoient l'absurde, la satire et la farce qui repose sur un duo de comédiens magiques : Montand (remplaçant Bourvil, disparu à la veille du tournage) joue les valets loufoques face à un de Funès irrésistible. On ne s'en lasse pas.
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    158 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 octobre 2010
    Un film encore culte, Louis de Funes à son apogée de son talent fait une prestation grandiose !!! très bon duo avec Yves Montand
    titicaca120
    titicaca120

    348 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2009
    y a rien à jeter tout est bon, montand hausse son niveau de jeu et se met au diapason de de funés qui est comme d'habitude au sommet de son art,on rit du début à la fin,le film est ponctué de scènes grandioses comme l'effeuillage d'alice sapritch et autres,un classique indémodable.
    floramon
    floramon

    63 abonnés 1 357 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juillet 2014
    c'est un des premier film que j'ai vu et j'aime toujours autant je trouve l'histoire original , de funes est parfait comme d'habitude , les blagues sont hilarantes , un classique a voir !
    Vagelios
    Vagelios

    35 abonnés 975 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 novembre 2008
    Excellente comédie hilarante qu'on ne se lasse pas de revoir avec Louis De Funès brillant qui y tient un de ses + grands rôles.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 septembre 2018
    Oury, le champion du film comique alliant burlesque et dialogues finement ciselés et sur mesure pour des comédiens qu’il connait à merveille, fait toujours recette auprès de la jeune génération. La mort de Bourvil, pressenti pour reformer le duo magique des films précédents avec De Funes, change les plans du réalisateur et de sa dialoguiste de fille. Avec l’arrivée de Montant, il faut réécrire le rôle ; et en fait, le malheur du décès de Bourvil se transforme en vent de fraicheur. Montant évite un 3ème film qui aurait pu avoir un goût de déjà-vu.
    Ophélie Weil écrit à propos de ce film : « Y avait-il des critiques sérieux pour défendre La Folie des grandeurs lors de sa sortie en 1971? Voyait-on dans cette comédie glorifiant l’humoriste numéro 1 en France, Louis de Funès, le symbole de la mort du cinéma, comme les critiques se lamentent aujourd’hui devant le cinéma français dit «populaire»? Gérard Oury n’a jamais eu très bonne presse, en son temps et après sa mort, à raison sans doute. Et pourtant rares sont les cinéastes qui surent comme lui ériger son œuvre au rang de mythe, dépassant l’effet de génération: de 7 à 77 ans, tout le monde aimait, aime et aimera La Grande Vadrouille, Les Aventures de Rabbi Jacob ou La Folie des grandeurs. Petite leçon de savoir-faire à destination des Thomas Langmann et consorts par le «cinéma de papa».
    Envolées de violons et grattements d’une guitare ennio-morriconesque: la musique du générique de La Folie des grandeurs, composition géniale de Michel Polnareff, donne le ton à la parodie : alors que le western spaghetti fait des siennes de l’autre côté des Alpes et même outre-Atlantique et engendre déjà nombre de copies, Gérard Oury se fend, lui, de son western choucroute. Le décor choisi, une Espagne de l’âge de pacotille – où l’on parle français, espagnol, allemand au choix – permet de donner à plein dans la comédie d’aventures, qui connaît alors de riches heures en France (on pense notamment aux films de De Broca ou de Rappeneau). Il y a des vilains très vilains, des gentils amoureux très gentils, des précieuses ridicules et même des justiciers basanés aux airs de Zorro.
    L’Espagne de Gérard Oury ressemble à un tableau de Goya revu et corrigé par Andy Warhol. Les clichés détournés s’accumulent − les montagnes d’or de ce pays supposément richissime, les terrifiantes robes des dames de la Cour impossibles à manœuvrer dans l’encadrement d’une porte, les Grands du royaume − véritablement grands − portant des collerettes à empêcher de tourner la tête, les sérénades au balcon, le flamenco, les corridas: rien ne manque à l’appel… C’est l’Espagne d’Épinal, enrichie de foisonnantes références à la littérature française : Alexandre Dumas, évidemment (grâce au très clairvoyant «un pour tous, chacun pour soi»), mais surtout Victor Hugo, remercié au générique, quoique «toute ressemblance avec les personnages d’un célèbre drame ne serait que fâcheuse coïncidence». La Folie des grandeurs, bien sûr, c’est Ruy Blas version comique, l’histoire d’un «ver de terre amoureux d’une étoile», d’un valet qui convoite sa reine, aidé en cela par les machinations d’un noble machiavélique. Qu’il était bon le temps où le terme «populaire» n’avait pas encore été détaché de la littérature classique !
    La première grandeur de cette folie réside dans des dialogues d’une incommensurable saveur, époque bénie où Danièle Thompson, fille de son père Oury, n’avait pas encore des velléités de réalisatrice. Nombre de répliques, en sus de leur drôlerie, convoient un véritable message: dans Les Aventures de Rabbi Jacob, la famille Oury décapitait l’antisémitisme à coups de dialogues bien sentis ; dans La Folie des grandeurs, c’est au tour des riches oisifs de payer leur tribut. Dans l’un comme l’autre film, de Funès endosse avec un plaisir masochiste le costume du pur salaud : il faut le voir dire, avec l’aplomb de celui qui entend avoir raison, que «les pauvres, c’est fait pour être très pauvres, et les riches, très riches» ! Voici bien la vraie trouvaille des films d’Oury : faire du méchant le véritable héros, celui qu’on aime détester, en utilisant le génie comique de de Funès, pile hystérique en roue libre aux inventions de jeu extraordinaires : onomatopées incompréhensibles, diction théâtrale (le célébrissime «Elle ment en allemand» ou le «Das ist eine kolossale Konspirazione»), visage de fouine et pas de conspirateur. Il fallait bien un monsieur Louis pour parvenir au sommet de la gloire avec un physique aussi peu avantageux et des personnages profondément détestables. Le principe du duo mal assorti manipulateur/manipulé – que Francis Veber est bien loin d’avoir inventé – fonctionne d’autant mieux ici qu’il n’est pas une pâle copie du célèbre couple de Funès/Bourvil : avec son charme latino, Yves Montand apporte à son personnage la crédibilité du héros vengeur, celui qui se défoulera en lieu et place du spectateur sur le vilain de l’histoire.
    On doit la seconde grandeur de cette folie, et pas des moindres, à l’intelligence cinématographique de Gérard Oury (si, si). Le film ne peut en aucun cas, comme nombre de comédies contemporaines type Bienvenue chez les Ch’tis, être résumé à un concentré de bons sketchs. Le comique ne réside pas seulement dans la saveur des répliques ou la maestria des interprètes. Le décor comme l’espace et les «effets spéciaux» sont toujours utilisés à bon escient au sein d’une rythmique infernale : voir ainsi la transformation du chapeau imbibé d’eau de Don Salluste en couvre-chef napoléonien (la symbolique n’est pas innocente), ou la séquence très réussie du «balai» qui permet au valet de jouer de son patron comme d’une marionnette par plafond interposé. Certes, La Folie des grandeurs n’a pas vieilli d’une ride, et le strip-tease d’Alice Sapritch séduira encore les générations à venir. Mais en presque quarante ans, le film a fait plus encore, en gagnant ses lettres de noblesse auprès des cinéphiles : un pari que Gérard Oury n’aurait sans doute jamais osé relever. »
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Philippe C
    Philippe C

    78 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2018
    Un film qui a bientôt 50 ans et qu'on voit et revoit toujours avec le même plaisir, celui de retrouver le duo improbable de Funès/Montand et de découvrir Alice Saprich en vieille duègne sévère puis amoureuse et lascive. De jolis costumes, de beaux décors, du dépaysemant, une critique de la cupidité et une conte sur la reltivité et la fragilrté de la condition humaine. Une musique inoubliable... Petit bémol, De Funès fait comme d'habitude du de Funès (c'est ce qu'on lui demandait), parfois un peu trop
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