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    Be Happy
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    Philippe C
    Philippe C

    81 abonnés 1 014 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2012
    Film pétillant, comme Poppy l'héroïne optimiste, dynamique et un peu barge comme dit sa copine Zoé...cette attitude positive fait le plus souvent du bien à ceux qu'elle rencontre, parfois elle crée de faux espoirs involontairement chez les êtres seuls, tel que le SDF ou Scott le moniteur d'auto-école...enchaiement de petites scènes très bien filmées où le caractère enjoué de Poppy révèle, par contraste les frustrations et la solitude des autres.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 février 2012
    "Be Happy", ou une preuve supplémentaire du talent de Mike Leigh à dresser le portrait de ses compatriotes. Le personnage de Poppy, c'est un peu la "positive attitude" faite femme, une fille perpétuellement joyeuse, tellement optimiste qu'elle peut en devenir agaçante. On s'en doute, tout n'est pas si rose pour elle, mais Mike Leigh ne force pas le trait et ne fait pas de son personnage une femme torturée se cachant sous son sourire et ses éclats de rire : de fait, si ses films traitent souvent du bonheur et de la difficulté d'y accéder, il ne fait aucune théorie et se contente de montrer les choses telles qu'elles sont. "Be Happy" est en cela assez proche de son film suivant "Another Year", si bien qu'ils pourraient presque former un diptyque. La vraie différence entre ses deux films, c'est la tranche d'âge des personnages : le premier parle de trentenaires, le second de sexagénaires, sa génération. L'exercice paraît de fait plus naturel dans le chef d'oeuvre qu'est "Another Year", ce qui n'empêche en rien "Be Happy" d'appartenir à la catégorie des grands "petits films".
    Cobandant_Bitchell
    Cobandant_Bitchell

    3 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2012
    Très sympa et rafraîchissant. Sally Hawkins est toute "pétillante" dans ce film qui devrait être prescrit en thérapie contre la dépression. Bon, ce n'est pas le seul.
    Severine S
    Severine S

    8 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2012
    AU début du film j'ai été enthousiaste par cette jeune femme semblant pétillante,drole puis petit a petit j'ai déchanté!!quelle FOFOLLE FOLDINGUE MEME DU JAMAIS VU UNE DEBILE MENTALE CETTE FILLE ADO ATTTARDEE ca craint!!courage fuyons!au volant elle est pas sérieuse,se fout de tout le monde sauf des gosses,très agacante et spéciale!pas étonnant quelle soit seule!bonne a assomer pour ma part.Enchantée au début elle m'a lassé!gavé saoulé trop c'est trop!elle a 30 ans on dirait quelle a 10 ans et l'age mental est de 10 ans!ca craint cette meuf elle craint!!!
    stillpop
    stillpop

    77 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2012
    L'histoire d'une folle hystérique au sourire scotché à la cyanolite qui va apprendre que le monde a aussi le droit au respect de la tristesse.
    Pour commencer, il faut dénoncer un réel malentendu sur ce film. Ce n'est pas du tout une comédie. C'est indéniablement drôle grâce aux situations, aux contrastes et aux acteurs, mais ce n'est pas une comédie. Je soupçonne Mike Leigh qui n'est pas le dernier des imbéciles d'avoir fait le forcing auprès des journalistes pour entretenir le doute, afin d'offrir à ce « long » métrage toute l'audience qu'il mérite, mais c'est un peu limite au niveau déontologie.
    Tout le monde a connu ce type de vieille fille névrosée qui explose de joie et souri pour tout et n'importe quoi du moment qu'elle ne regarde pas en face ses frustrations et ses échecs. Plus elles en font, plus elles sont sûres de faire fuir n'importe qui, même les clochards, même si le monde professionnel est le seul qu'elles ne négligent jamais. Cependant, dans ce film, le réalisateur a le mérite de démontrer (ce que la jalousie crasse des bonnes femmes a tendance à oublier un peu vite) que les hommes dérouillent aussi, et qu'ils essayent aussi de se rattraper aux branches du « professionnalisme », seule carotte sociale qui reste accessible aux cœurs solitaires du monde entier. Peu importe leur niveau psychotique.
    Si les situations sont drôles, bien vues et distillée dans un rythme lent et original, on n'est pas dans une histoire hollywoodienne avec un début, une démonstration et une fin téléphonée, mais bien plutôt dans un quotidien qui se gère à la petite semaine, avec son lot de rencontres plus ou moins surprenantes. On découvre les cachettes de la foldingue hystérique au fur et à mesure des saynettes, jusqu'à la nausée de l'exagération, et surtout de cette puérilité fatiguante à force de non remise en question. Les critiques ont souvent écrit qu'elle faisait merveille dans son boulot, mais comment pourrait il en être autrement, elle a le niveau mental requis pour travailler avec des chiards, vu qu'elle a refusé de grandir pour ne pas souffrir à chaque râteau sentimental qu'elle se prend. C'est aussi le seul moment qui permette le contact avec autrui, puisque pour une fois, elle reste « calme » par pur professionnalisme évidemment, mais heureusement pour elle. Contrairement au titre anglais, c'est le seul moment où elle fait attention à la douleur d'autrui qu'elle redevient humaine et abordable, bref, qu'elle n'est pas « obligée » d'être « Happy » qu'elle devient « Lucky ». J'imagine que Leigh veut démontrer que les attitudes choisies pour ne pas souffrir font partie d'un système qui empêche de profiter de la vie et de ses surprises. Pas du tout que l'hystérie sourieuse constante de l'institutrice soit une force, juste une idéologie, et le titre en est le résumé, pas l'incantation.
    Les autres protagonistes sont aussi vernis, surtout la prof de flamenco, toutes les vies de ces filles qui ne savent pas ou ne veulent pas garder un homme sont pathétiques, et seul l'angle choisi de la comédie permet de sourire, comme dans un Woody Allen (de la période New Yorkaise bien sûr).
    Pour ceux qui voudraient éprouver de la sympathie pour cette névrosée, je rappelle que le pantalon en jean de la scène finale devant la voiture de l'auto école n'est pas innocent et certainement pas un oubli de Mike Leigh. C'est bien cet harcèlement constant qui est la cause des malheurs de tous les protagonistes qui se frottent à cette folle du bonheur à la « Amélie Poulain ». Bizarrement, dès qu'elle revient dans la normalité qu'elle désire depuis toujours, elle arrête ce personnage fatiguant et dangereux et la mini jupe qui en est le symbole.
    Car le moniteur psycho rigide montre l'exact inverse de la solitude, le repli sur les règles pour au moins avoir l'honneur de l'honnêteté, sur l'horreur du monde environnant pour mieux supporter son exclusion, il n'est pas étonnant que Leigh lui donne cette importance, Poppy n'a pas le monopole de la souffrance, juste celui de l'exhibitionnisme. D'autres souffrent en silence, n'emmerdent personne et ne font pas de dégats collatéraux !
    Bref, un très bon film puisque suivant son point de vue personnel, et le décryptage raisonné, on peut voir deux films différents. Dans l'ensemble, on dirait bien que Leigh à force de réalisme et de recherche poussée sur la psychologie des personnages, a simplement réussi à montrer la vie des célibataires anglais avec une vérité au scalpel. Après on peut adhérer ou non à son discours bon enfant pour les journalistes, il semble que ce film soit bien plus compliqué que la comédie qu'il veut vendre au grand public.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 janvier 2012
    A voir en VO surtout, pour la performance de Sally Hawkins, très connue en GB et qui commence tout juste à l’être dans le reste du monde. C'est un film qui vous plaira si vous aimez l'auto-dérision de l'humour anglais...
    Je retiens les scènes avec le moniteur d'auto école et la prof de danse.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 octobre 2011
    11/20 : Un film sur le positivisme où Sally Hawkins nous interprète un personnage rayonnant de bonheur : à la fois amusant et attachant. Cependant, cela reste globalement ennuyeux par le manque d'évènements peu palpitants. C'est un peu trop lent, le spectateur finit par lâcher prise...tout ça pour nous dire au final que le bonheur n'est pas dédié à tout le monde (ça on s'en doute).
    Aknary
    Aknary

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 décembre 2012
    Un très grand moment de bonheur.. la comédie britannique comme je l'aime. Et en bonus, je découvre une Sally Hawkins folle et déjantée. Bravo
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 juillet 2011
    Un film sympa. Ça ne fait pas de mal, c'est très british et on sort de la salle léger. Une vraie leçon de vie. A voir
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 juin 2011
    So British and we love it!!!
    C est LE film qui met de bonne humeur, plus frais et originale qu une comedie classique. Dans ce film la bonne humeur est contagieuse et c est tellement agréable. Cette heroine avec une personnalité complexe est tout simplement touchante. Tres bonne comédie, originale, qui a la peche et qui nous la donne. Encore une fois so british !!!!
    Mulder13
    Mulder13

    21 abonnés 866 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 juin 2011
    Un film original, mais qui lasse vite. L'histoire de cette fille toujours heureuse devient vite ennuyante, tellement le personnage manque de profondeur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mai 2011
    J'adore ce film, je suis fan de Poppy à 100%! Film touchant, sympathique, qui met la pêche ! Et British à souhait !
    Penny-Lane
    Penny-Lane

    14 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2011
    Quel bonheur que de redécouvrir ce film trois ans après sa sortie !
    Be Happy – ou plutôt devrais-je dire Happy Go Lucky étant donnée cette fâcheuse lubie qui est de rebaptiser un titre de film anglophone par un autre titre… en anglais o_O – ou comment un film nous donne envie « to go on living »… et ce avec la patate si possible !
    Je suis sûre qu’un jour ou un autre, nous avons tous croisé Poppy quelque part! Ce personnage haut en couleur qui en agace plus d’un par son côté fantasque, foufou et déjanté, par sa façon un peu « rentre-dedans », qui cherche souvent à bousculer, à titiller le plus renfrogné d’entre nous , même si celui-ci n’a rien demandé … Mais mon Dieu, comme cela fait du bien ! Son côté parfois « too much » ne la rend que plus réelle, il n’y a aucun doute là-dessus ! La force de ce film est d’avoir mis en lumière, d’avoir « mis au monde » un personnage plus que vivant (dans tous les sens du terme). Il faut dire que Sally Hawkins y est pour beaucoup : quelle merveilleuse actrice avons-nous là !
    En ce qui concerne le leitmotiv, le crédo du film qui est lui-même compris dans son titre, soit « be happy », soit chercher à être heureux vaille que vaille, quelles que soient les épreuves, de ce leitmotiv-là, il faut savoir s’en détacher un peu et ne pas le prendre au pied de la lettre. En effet, je ne pense pas que Mike Leigh ait cherché à faire un film manichéen, univoque, ou même moralisateur. Il n’y a pas d’un côté les « gens heureux » et de l’autre les « gens malheureux », le camp des « gentils » faisant face à celui des « méchants » ; non, je pense qu’au contraire le film tend à montrer qu’il faut savoir regarder au-delà des apparences. Chacun vit, a quelque part en soi cette idée, cette sensation de manque que l'on ne peut vraiment définir et chacun, de par sa nature, de par son caractère, de par son parcours, aura une manière différente de le combler et d’aborder la vie et les gens qui la composent. Alors certes, Poppy a sûrement tout ce qu’il faut pour être heureuse – si ce n’est peut-être l’amour ;) – et le personnage qu’est le moniteur d’auto-école est et restera antipathique du début à la fin, mais que savons-nous vraiment de leur vie ? Si on réfléchit bien, pas grand chose… Tout ce que l’on puisse faire, c’est déceler les fissures - plus ou moins grandes - présentes chez chacun d’eux et émettre des suppositions quant à leur vie passée : Poppy aurait-elle souffert plus jeune d’une éducation trop normée, à l’image de sa sœur Helen ? La véhémence et la bigoterie exacerbée de Scott est-elle le résultat d’un sentiment d’abandon ? A tout cela, on ne peut vraiment répondre et je pense que c’est bien heureux, car il faut savoir aller à la rencontre des personnages à un instant T de leur vie sans forcément connaître leur passé et leur passif.
    Même si le film n’a pas la même intensité que Secrets & Mensonges (si ce n’est que pour ne citer que lui dans la filmographie de Mr Leigh), même s’il n’est pas aussi viscéral et à fleur de peau que ce dernier, on retrouve néanmoins dans Be Happy cette même authenticité, que ce soit dans l’essence même des personnages ou dans le regard bienveillant que le réalisateur porte sur eux, ce qui ne fait donc pas de ce film du « sous-Mike Leigh » malgré son côté badin pleinement assumé.
    Il me tarde désormais de découvrir Another Year, le dernier film du réalisateur sorti fin 2010…
    Maqroll
    Maqroll

    135 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2011
    Un film de Mike Leigh complètement dans sa ligne de conduite sur le fond mais différent dans la forme. Une sorte de fable montrant une invétérée chercheuse de bonheur… pour elle et pour les autres… tellement qu’elle en devient par moments franchement insupportable. Notons un détail important pour ceux qui sont partis avant la fin : cette impression va décroissant au fur et à mesure que l’on découvre toute la richesse et toute l’humanité du personnage. La scène presque finale avec le moniteur d’auto-école (raciste, sexiste, étriqué, hargneux, mais qu’elle parvient à rendre humain à nos yeux) est exemplaire. Les couleurs font l’objet d’une recherche toute particulière et contribuent à donner à ce film des touches de vie particulières. Ça vibre haut du côté de cette indécrottable de la vie… comme l’est Mile Leigh. Dernier point : on a comparé ce film à l’ineffable Amélie Poulain ! Comment peut-on avoir les yeux et les oreilles (et la cervelle) bouchés à ce point ? Entre le sous produit rance et stéréotypé de Jeunet avec une héroïne mièvre et ce magnifique essai sur le bonheur possible avec une héroïne adulte et ô combien responsable, il y a tout un fossé, celui qui sépare un cinéaste médiocre d’un authentique génie.
    Zoumir
    Zoumir

    61 abonnés 1 034 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2011
    Ploppy est une trentenaire de notre époque. Célibataire accomplie semblant être bloquée dans l'enfance, elle prend à coeur de distribuer son sourire et sa joie de vivre à tout le monde sans distinctions comme une véritable mission. Le film suit un fragment de vie de cette institutrice épanouie qui semble tout prendre avec légèreté, espèce d'étrangère aux problèmes de ce monde. N'y chercher pas de rebondissements, il n'y a là que le quotidien d'une personne, aussi espiègle soit-il. La réalisation très sobre donne donc la part belle à une Sally Hawkins sur ressorts, troublante et lumineuse dans son rôle d'adulte attardé. Si le récit ne fait pas de vagues, les dialogues font mouches et permettent de rester attentif là où le rythme ralenti. Pas de véritable message à passer et l'on sent que le réalisateur fuit toute possibilité de faire la morale où de porter un quelconque jugement. Be Happy reste jusqu'à son terme une série d'évènements mettant en lumière les relations humaines d'une personne qui n'en voudrait que des bonnes.
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