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    La Féline
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    Rodrigue B
    Rodrigue B

    18 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2019
    David Bowie en ouverture/fermeture accompagne la toute première séquence du film qui nous plonge directement dans une ambiance mystérieuse annonçant également une pincée d'érotisme ! 40 ans avant Paul Schrader, Jacques Tourneur assumait l'histoire de « La féline ». Si l'oeuvre de Tourneur était déjà brillante, Schrader va plus loin ! Déjà ne serait-ce que pour la remise à neuf, le film de Schrader a toutes les raisons d'exister mais grosse évolution également : les acteurs ! Notamment la magnifique Nastassja Kinski décidément aussi jolie que talentueuse ! Kinski est à son heure de gloire, elle enchaîne les gros contrats : Schrader venant entre Roman Polanski et Francis Ford Coppola... Malcolm McDowell excelle dans un rôle inquiétant, un de plus ... Le duo fonctionne à merveille !
    Reconnaissons qu'il n'y eut pas de décennie plus inventive que les années 80 dans le domaine du fantastique ou de l'épouvante. Schrader traite l'histoire dans un cadre intimiste mettant plus l'accent sur le mystère et l'attirance que peut ressentir chaque personnage l'un pour l'autre que sur les effets gores ! Le gore n'est pourtant pas totalement absent, les quelques scènes ensanglantées sont d'ailleurs bien nécessaires et renforcent la dimension tragique de la romance impossible découlant de l'intrigue. Le film vieillit très bien car il n'en fait pas trop ! Un jeu habile de mouvement de caméra donne l'illusion de transformation, de mouvement bestial... Les deux acteurs apportent beaucoup, les regards dénués de toute humanité que les deux artistes peuvent lancer auraient bien mérité un oscar ! La qualité du film se base sur une recherche toujours plus poussée d'effets visuels sans artifices mais efficaces. Sans artifices... ? Pas tout à fait ! Je suis un réel fan des techniques débrouillardes des années 70-80 utilisées pour les transformations ou autres effets, celles-ci me paraissent toujours plus efficaces que celles de notre temps ! Aussi j'admire tout particulièrement la séquence des prémisses de la transformation de McDowell et la transformation de Kinski, deux scènes très impressionnantes. Quand on sait que ce film a presque 40 ans, on déplore un constat de recul en matière de créativité ! Paul Schrader travaille chacun de ses plans et nous offre un film riche, un grand moment de cinéma ! Impossible de ne pas penser au chef-d'oeuvre « Le loup-garou de Londres » très actuel à l'époque, il paraît incontestable que Schrader s'en inspire mais il s'agit bien de deux oeuvres bien différentes et originales. Si l'érotisme n'était pas absent chez Landis, il aura encore plus de place ici.
    Eselce
    Eselce

    1 203 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 août 2016
    Le début est parfaitement risible. La scène de la prostitué qui rampe dans les escaliers et dont le soutien-gorge s'ouvre est parodique ! Les premiers dialogues tiennent du nanard, et les effets spéciaux sont plus que mauvais pour "l'accident". Mais chapeau pour avoir pris une vraie panthère ! Et la deuxième partie du film se suit bien, les 3 acteurs principaux jouant bien mieux que les secondaires, on retrouve du sérieux dans la mise en scène.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2019
    Entre 1976 et 1982, Paul Schrader est un homme qui compte à Hollywood. Scénariste reconnu, il a écrit en quatre ans rien de moins que les scénarios de "Taxi Driver" (1976) et de "Raging Bull' (1980) pour Martin Scorsese sans oublier celui d' "Obsession" pour Brian de Palma (1976). Il a aussi effectué des débuts de réalisateurs plus que prometteurs avec "Blue Collar" (1978) et "Hardcore" (1979). Porté par la vague disco et l'esthétique MTV, chaîne diffuseur de clips en continu, il propose en 1980 "American Gigolo" qui permet à Richard Gere d'être propulsé au rang de star mondiale. Le film remporte un solide succès au box-office mais la critique renâcle quelque peu face à ce qu'elle juge comme un long clip principalement destiné à mettre en avant la plastique et les exploits sexuels de l'escort-boy interprété par Gere. La musique de Giorgio Moroder, pape du disco et découvreur de Donna Summer ne contribue pas à crédibiliser le projet aux yeux de l'intelligentsia. On commence donc à reprocher à Paul Schrader, fils de calvinistes rigoristes, un goût trop prononcé pour l'épate et un manque de discernement quant au choix de ses sujets quand il n'est pas cornaqué de près par un réalisateur. En un mot, on lui conseille gentiment de se cantonner au rôle de scénariste, le seul où il fait jusqu'alors autorité. Se moquant comme d'une guigne de ce premier avertissement, Schrader enfonce le clou en osant s'attaquer à "La Féline" de Jacques Tourneur (1942), emblème intouchable de la parfaite maitrise du noir et blanc au service de la diffusion du sentiment d'angoisse par le biais de la suggestion. Paul Schrader aura beau immédiatement derrière donner un gage de sérieux avec une biographie de l'écrivain japonais Yukio Mishima très réussie mais à la portée forcément confidentielle, il n'accèdera plus jamais vraiment à la reconnaissance critique et doucement sa carrière de réalisateur s'enfoncera jusque dans le marais des direct to video. Près de quarante ans après la sortie de "La Féline", il convient de porter un jugement dénué de la partialité contextuelle de l'époque. Tout d'abord il faut saluer l'effort de Schrader de conserver le postulat initial voulu par Tourneur pour en offrir ensuite une autre lecture. Nastassia Kinski, fille de l'acteur autrichien fantasque Klaus Kinski âgée de 22 ans fait alors un démarrage de carrière en fanfare. Dirigée par deux réalisateurs à très forte personnalité, sa beauté incandescente vient d'éclater au monde dans "Tess" (Roman Polanski en 1979) et dans "Coup de cœur" de Francis Ford Coppola (1982). Si comme dans la version de Tourneur, le récit s'articule autour de l'éveil à la sexualité d'une jeune femme encore vierge, apeurée à l'idée de voir se déclencher une malédiction familiale qui veut que dans sa fratrie, la montée du désir s'accompagne de l'instinct de mort matérialisé par la transformation en panthère noire tueuse, Schrader se veut plus ambigu quant aux réelles intentions d'Irena Gallier (Nastassia Kinski). C'est donc à dessein qu'est introduit le personnage de Paul Gallier interprété par Malcom McDowell, frappé de la même malédiction. Le dilemme cornélien auquel est soumis Irena lui intime de renoncer à toute vie amoureuse si elle veut éviter les conséquences criminelles qui en découlent ou alors de franchir le tabou de l'inceste si elle veut laisser s'exprimer ses pulsions. Pour faire ressentir au spectateur le combat incessant entre innocence et sensualité qui agite Irena, Paul Schrader ne pouvait sans aucun doute trouver plus convaincante que Mademoiselle Kinski dont la performance n'a pas pris une ride. Certes pour habiller le difficile cheminement d'Irena qui n'aura de choix que dans la radicalité, Paul Schrader a choisi une esthétique de son temps qui pouvait en 1982 être jugée un peu trop kitsch par les adeptes d'un classicisme pur et dur. Mais n'est-ce pas aujourd'hui ce qui fait l'originalité du film ? La musique de Giorgio Moroder par exemple ne s'avère pas aussi envahissante qu'on aurait pu le craindre et l'ancien disc-jockey italien parvient même à trouver des envolées aériennes ou hypnotiques tout-à-fait en phase avec le propos. Peut-être la scène de la piscine qui constituait le moment fort où tout le savoir-faire de Jacques Tourneur était à l'œuvre dans la version de 1942 aurait-elle dû ne pas être reproduite ? Ainsi il aurait pu complètement marquer sa totale indépendance par rapport à son glorieux aîné. Mais on absoudra Paul Schrader qui montre une fois de plus que sa vocation de réalisateur n'est pas surfaite.
    videoman29
    videoman29

    204 abonnés 1 809 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2020
    En 1982, le cinéaste Paul Schrader s'attaque au remake de « La féline », un vieux classique des années 1940 signé Jacques Tourneur. Ce film fantastique s'appuie sur un scénario simple mais efficace qui nous offre une intéressante variation sur le thème du loup-garou. En effet, sans en faire des tonnes au niveau des effets spéciaux, le réalisateur parvient à créer un climat étrange, empreint d'érotisme délicat et de fascination pour les superbes panthères noires qu'il met en scène. Une grande partie de la réussite repose évidemment sur la prestation impeccable de Nastassja Kinski qui semble vraiment investie par son rôle. Elle crève littéralement l'écran en campant une jeune « femme-féline » tout en nuances et en sensualité. La dualité de son personnage est d'ailleurs le thème principal du film, entre bien et mal, fragilité et sauvagerie... les pistes de réflexion ne manquent pas. Bien qu'un peu oublié aujourd'hui, « La féline » a donc gardé une bonne partie de son potentiel et ravira sans doute les amateurs de films rares et qui sortent de l'ordinaire. A redécouvrir avec curiosité !
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    92 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 avril 2020
    Un film très dérangeant, mêlant fantastique, épouvante et érotisme exacerbé. Le mythe donnant lieu à l'histoire est malsaint en tant que tel et l'impression que j'ai c'est que l'histoire fantastique est surtout le prétexte à un film érotique. Au-delà de ça, les effets spéciaux de la transformation est impressionnante pour l'époque.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mars 2020
    C’est un chef-d’œuvre cette féline 1982, la musique de David Bowie entre dans la danse de la savane orientalisme, pour composer un son envoûtant, la fascination qu’adviendra cette mise en scène, plus que la version de 1942.
    La suggestion fable intellectuelle dérive son bateau à bord, vers l’épouvante-horreur censurée révèle des peurs profondes, l’éveil des sens érotiques, le désir de transformation du nouvel Eldorado d’Hollywood, un zoo d’animaux tout neuf inédit.

    La nouveauté d’une bête de sexe en rut, pendant et après l’acte sur scène, fiction fantastique avec beaucoup de peur sans tabou, une serial féroce arrachée série B, commence à bien faire, du bruit qui fait câlin, pour un rien quand le train passe.
    Ça ne s’arrête pas jusque-là, des idées dans la tête s’obstine, un hommage rendu à Jacques Tourneur est dans ce film réalisé par Paul Schrader, l’animalité serbe est tourné en Nouvelle-Orléans, où n’est laissé au hasard.

    C’est cat people, au pays des chats, un voyage initiatique extrême bout du globe désert mission martienne composition musicale, de rockstar interprète chanteur sans enjeu acté, retourne dans sa véritable nature sauvageonne lien frère sœur.
    La chatte panthère tigresse et le chat léopard lion, il y a du piquant vinaigre qui tourne la moulinette assaisonnement plat repas service à table addiction réglée, dont un amour impossible, à l’issue l’intrigue glauque se verra.
    djacno T.
    djacno T.

    32 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2012
    Bien mais pas aussi parfait que l'original.
    Nastassja Kinski et Malcolm McDowell sont en osmose et crèvent l'écran.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 183 abonnés 7 233 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 novembre 2010
    Paul Schrader réalise ici le remake US de l'oeuvre éponyme (1942) de Jacques Tourneur et en restitue une oeuvre très différente de la précédente, à savoir beaucoup plus accès sur le côté érotique et fantastique. Son casting à lui tout seul mérite que l'on s'y intéresse et ce, même si on reste très attaché à l'oeuvre originelle. Ainsi, dans les rôles titres, on retrouve Malcolm McDowell & Nastassja Kinski (dans les rôles du frère et de la soeur incestueux), ainsi John Heard & Annette O'Toole. Une distribution parfaite au coeur d'un scénario palpitant mais à la mise en scène beaucoup trop amorphe pour réellement capter notre intérêt durant les 120 minutes que compte le film. Ce qui est plutôt dommage car le film en lui-même a de grandes qualités.
    Julien D
    Julien D

    1 104 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juin 2013
    Quarante ans après la réalisation du long-métrage mythique de Jacques Tourneur, Hollywood nous en sert un remake en en transformant l’aspect fantastique, initialement prétexte à un film noir, en un support à un érotisme plutôt morbide et à quelques scènes terriblement sanglantes. La mise en scène très plate et le scénario assez longuet nuisent, au final, au charme mystique et très kitsch que se veut de dégager cette réalisation atypique. D’un autre coté, le charisme des acteurs, à commencer par le toujours impressionnant Malcolm McDowell et la ravissante Nastassja Kinski, et la qualité des effets spéciaux (les scènes de transformations étaient à l’époque révolutionnaires) parviennent à rendre la découverte des secrets de la relation malsaine qui va naitre entre ce frère et sa sœur absolument captivante.
    Shawn777
    Shawn777

    460 abonnés 3 328 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 février 2020
    Ce remake de "La Féline", réalisé cette fois par Paul Schrader et sorti en 1982, n'est franchement pas terrible. Ayant apprécié la première version de 1942, je m'étais dit qu'ici, avec l'érotisme et les scènes explicites en plus, ça ne pouvait être que bon, mais finalement, j'en ai été très déçu. Nous reprenons donc plus ou moins la même histoire, une jeune femme fraichement arrivée à la Nouvelle-Orléans, pour rencontrer son frère, tombe amoureuse d'un zoologiste, Oliver, mais elle va vite se rendre compte que quelque chose cloche chez elle et son frère. Bon voilà, même si ce n'est pas exactement la même trame que celui du premier film forcément, déjà car l'histoire est transposée dans les années 80 où la vision du couple et du sexe n'était absolument pas la même, on retrouve les éléments principaux, à savoir le fait que nous ayons une femme se transformant en panthère. Contrairement à de nombreux remakes inutiles, celui-là s'avérait intéressant car il pouvait alors mettre en scène ce que le premier film n'avait pas pu et y ajouter alors une bonne dose d'érotisme, ce qui rentre tout-à-fait dans ce genre d'histoire. Mais malheureusement, enfin en tout cas à titre personnel, je n'ai pas réussi à rentrer dans le film car ce dernier est très long, tout simplement. Du réalisateur, je n'ai vu que "Dominion : Prequel to the Exorcist", d'ailleurs très mauvais, et nous avions déjà ce même problème de rythme. Tout est long et lent, on attend la fin avec impatience ! Malgré tout, ce n'est que mon avis personnel, je reconnais également que le film possède certaines qualités, notamment visuelles, à la fois au niveau de la mise en scène et des effets spéciaux. J'ai en effet par exemple beaucoup apprécié la scène d'introduction qui est magnifique. De plus, certaines reprises du premier, à savoir celle de la piscine, "l'effet bus" etc. sont assez réussies. Du côté de la B.O., nous retrouvons David Bowie et Giorgio Moroder qui nous donnent tous les deux une excellente B.O. En ce qui concerne les acteurs, nous avons Nastassja Kinski qui est certes mystérieuse mais beaucoup trop plate et puis Malcolm McDowell, John Heard etc. qui ne jouent pas trop mal. Cette seconde version de "Cat People" n'est donc pas franchement ma préféré.
    DarioFulci
    DarioFulci

    83 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2010
    Dans des temps lointains, un peuple avait la faculté de se transforme en félin. De nos jours, un frère et une sœur descendant de ce peuple se retrouvent.
    Paul Schrader était dans une période vaguement new-age après le difficilement regardable "L'Exociste, l'hérétique" où il y avait aussi ce versant mystique kitsch et ennuyeux. Et la musique de Giorgio Moroder n'est pas là pour arranger les choses. L'intrigue n'est vraiment pas captivante, et sombre dans de lourdes représentations de la féminité asservie. Avec des scènes qui frisent le ridicule pour couronner le tout.
    Ghighi19
    Ghighi19

    51 abonnés 1 758 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 août 2022
    Un film qui a fait les beaux jours de la 5 en son temps . C est d ailleurs là que je l ai découvert.
    Très ancré dans les années 80 c est surtout un festival Malcom Mc Dowell qui est extraordinaire de dualité. Sublime musique de Moroder avec une superbe chanson de David Bowie en plus ! un très bon moment avec une photo très belle .
    Pascal
    Pascal

    118 abonnés 1 395 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2022
    Remake de " cat people" de Jacques Tourneur, " la feline" réalisé quarante ans après son prédécesseur est un film de genre fantastique qui représente le plus grand succès public de son réalisateur.

    Schrader scénariste de Scorcese notamment pour " taxi driver" et " raging bull" , collabora avec Pollack et De Palma.

    Quatre ans avant " la feline" il passa à la réalisation pour son propre compte et aujourd'hui sa filmographie est très fournie, même s'il n'obtint pas d'autre succès public notables que ce film.

    Par contre, le soutien de la critique professionnelle à son endroit ne s'est jamais démenti, à juste titre.

    Il ne touchera que très peu le genre fantastique dans lequel il ne me semble pas le plus à son aise. Schrader y reviendra cependant une fois avec un prequel de " l'exorciste".

    "La feline" est dominée par la prestation de Natassja kinski ( fille de Klaus) qui fut dénichée très jeune, par Polanski avant qu'il ne la fasse tourner dans " Tess" sans doute le plus grand succès et le meilleur rôle de l'actrice allemande.

    " la feline" n'a pas très bien vieilli, mais il se laisse suivre sans ennui à part quelques longueurs malheureuses en milieu de projection. La première partie est nettement la meilleure mais ne suffit pas à sauver vraiment l'opus de Schrader.

    On rappelle qu'il s'agit d'une jeune fille qui a la capacité de se transformer en panthère et de tuer. On relèvera plusieurs scènes déshabillées de l'actrice qui paradoxalement sont assez plates.

    Réservé aux amateurs de fantastique et à ceux du cinéaste qui veulent connaître sa filmographie complète.

    Pour mémoire, Natassja Kinski eut son moment de gloire internationale toujours dans les mémoires, à la fin des années 70 jusqu'au début des années 80 avant de voir sa carrière péricliter définitivement. Il est étonnant de la voir aujourd'hui, elle est devenue presque méconnaissable.
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2019
    Un très bon film fantastique. Une bonne référence à la série manimal . La panthère noire est une sublime femme féroce.
    Marc H
    Marc H

    54 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 août 2008
    la composition de chaque plan est une merveille, le casting est excellent, le tout sur un scénario vicieux et bien huilé...une merveille.
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