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5,0
Publiée le 30 avril 2017
Avec un tel scénario on aurait pu avoir une bluette insipide digne d'un roman photo de "Nous deux". Et bien Becker parvient à nous transcender tout ça et en faire un chef d'œuvre. La direction d'acteurs est impeccable, Raymond Rouleau est exceptionnel, Micheline Presle magnifique, et Jeanne Fusier-Gir n'a jamais été aussi bonne. Le milieu de la haute couture (que Becker connait bien) est particulièrement bien rendu sous tous ces aspects. ...
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weihnachtsmann
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4,0
Publiée le 7 octobre 2014
Jolie comédie dramatique de la grande époque du cinéma français. Un très bon scénario et un charme inégalé.
willycopresto
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2,0
Publiée le 20 avril 2017
"Falbalas" (1945) Arte le 10.04.2017
Falbalas ? Patatras, oui ! Le tournage aurait été éprouvant ! Il n'y a pas que le tournage : sa vision aura été pour moi une épreuve à laquelle je suis rarement confronté lors de la vision d'un film de l'immédiat après guerre ! C'est mou, c'est long et c'est monotone, quasiment sans intérêt ! Raymond Rouleau en particulier est horripilant et Micheline Presle n'est pas dans un de ses meilleurs ...
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champignac
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5,0
Publiée le 22 mars 2016
La grâce absolue, le film majeur de la période (le film est tournée pendant la fin de l'occupation et est sorti après) et la réunion de tant de savoir faire. La postérité de l'oeuvre de Jacques Becker se dessine enfin, libérée de la fixation sur Casque d'or, bien inférieure à celui ci. (Micheline Presle a elle même livré ce diagnostic récemment lors d'une projection à la Cinémathèque)
En fait le cinéma de Becker est bien de la ...
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Le tournage du film a commencé en mars 1944, mais la guerre et la libération de Paris ont provoqué des retards ; finalement, Falbalas n'est sorti qu'en juin 1945. Parmi ces problèmes, de nombreuses pannes d'électricité ont provoqué des fermetures fréquentes du studio.
La haute couture s'en mêle
Pour la réalisation de Falbalas, on a fait appel au couturier Marcel Rochas pour créer toutes les robes du film. Seules deux contraintes lui ont été imposées : le fait de tourner en noir et blanc, ce qui l'a obligé à privilégier la ligne, et les besoins d'exportation, qui l'ont forcé à créer des habits intemporels, afin que le film se vende.