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Synopsis
Deux flics sont lâchés par leur petite amie. L’un se promet de tomber amoureux de la première femme qui entrera dans un bar a Chungking House, où il noie son chagrin. L’autre, passe chaque soir au Midnight Express, un fast-food du quartier acheter à la jolie serveuse Faye une "Chef Salad" qu'il destine à son amour idyllique, une hôtesse de l'air.
20 ans après, j'aime toujours autant "Chungking Express", son scénario malin mais franc, ses acteurs à la beauté sublime, sa mise en scène constamment inspirée, contribuant de manière prodigieuse à la finesse de la narration, et surtout, surtout, ce romantisme urbain qui me touche à chaque fois en plein coeur. Moins abstrait, moins intellectuel sans doute que "Nos Années Sauvages" ou "Happy Together", moins splendide formellement que ...
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Kurosawa
477 abonnés
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4,0
Publiée le 30 mai 2015
Deux histoires d'amour douces-amères organisées en deux parties distinctes, tant d'un point de vue narratif que formel: voici à quoi ressemble très brièvement le superbe "Chungking Express" de Wong Kar-Wai. Deux histoires qui possèdent toutefois des points communs puisqu'elles donnent des rôles féminins forts et nourrissent les hommes d'une mélancolie et d'une poésie inspirées du cinéma de Godard et de Carax. Le cinéaste hongkongais ...
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stebbins
437 abonnés
1 747 critiques
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5,0
Publiée le 25 octobre 2007
Euphorisant et dynamique, Chungking Express est une vraie bouffée de fraîcheur dans le cinéma asiatique des années 90. Wong Kar-Waï signe l'un de ses plus beaux films avec 2046, par le biais d'une mise en scène brute et sensuelle, efficace au possible. A partir d'une histoire très simple, il crée une atmosphère enivrante, virevoltante, exaltante...Les personnages vivent une nouvelle fois par des rituels, singulière marque de fabrique du ...
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Julien D
1 043 abonnés
3 461 critiques
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3,5
Publiée le 21 août 2013
Le fait qu’il s’agisse de l’œuvre la plus contemporaine de Wong Kar-Wai n’est pas pour rien dans la poésie et le romantisme que dégage Chungking Express. Bien loin des effets visuels éblouissants d’In the mood for love, la mise en scène de cette romance urbaine n’en reste pas moins envoutante dans sa grâce et l’humilité de sa réalisation, et même plus attractive pour ceux qui juge cette graphique tape-à-l’œil. Les ...
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Faye, le personnage joué par Faye Wong a probablement fortement inspiré Jean-Pierre Jeunet dans l'écriture de celui du Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, pour le film éponyme. On peut notamment remarquer la similitude humoristique de Faye qui s'introduit dans l'appartement de matricule 633 pour y chambouler quelque peu son quotidien (changement de tong, de serviette, de savon, de nappe, etc.).Nomination au Cheval de bronze, lors Festival du film de Stockholm 1994.Nomination au prix du Leopard d'or, lors du Festival international du film de Locarno 1994.Nominations pour le prix de la meilleure actrice (Faye Wong), meilleur second rôle féminin (Valerie Chow), meilleur scénario, meilleure photographie (Christopher Doyle et Andrew Lau), meilleure direction artistique et meilleure musique, lors des Hong Kong Film Awards 1995.Nomination au prix du meilleur film étranger, lors des Independent Spirit Awards 1997.Récompenses:Prix de la meilleure actrice (Faye Wong) et prix FIPRESCI, lors Festival du film de Stockholm 1994.Prix du meilleur acteur (Tony Leung Chiu-wai), lors du Golden Horse Film Festival 1994.Prix du meilleur film, meilleur acteur (Tony Leung Chiu-wai), meilleur réalisateur et meilleur montage (William Chang, Kai Kit-wai et Kwong Chi-leung), lors des Hong Kong Film Awards 1995.
Ozzmovies
Je déteste ce type de réalisation (mouvements de caméras violents, images volontairement floues ...). Ça peut passer lorsque le scénario est bon mais ici je n'ai jamais accroché.1/5
Xoras66
Un film pétillant desservit par un jeu d'acteurs attrayant et un Hong Kong qui va à cent à l'heure, une très bonne surprise pour moi. Ayant déjà vue quelques films de ce réalisateur, cella me donne encore plus envie de découvrir d'avantage son travail.