Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Hsiao-Kang est vendeur de montres dans les rues de Taipei. Quelques jours après la mort de son père, il fait la connaissance d'une jeune femme, Hsiang-Chyi, qui part le lendemain pour Paris.
Hsiao-Kang, oppressé par le comportement de sa mère qui attend le retour de l'esprit de son mari défunt, se réfugie dans le souvenir de cette jeune femme et tente de se rapprocher d'elle en réglant toutes les montres et horloges de Taipei à l'heure de Paris. Là-bas, Hsiang-Chyi connaît un séjour empli de vicissitudes qui semblent mystérieusement liées à Hsiao-Kang.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un film d'un ennui incroyable, même en accéléré il ne se passe rien, les plans sont longs, trop longs.
gimliamideselfes
2 429 abonnés
3 929 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 10 décembre 2016
Comme dans le poème d'Antoine Pol, Cecilia Yip est une passante. Celle "qu'on aime Pendant quelques instants secrets [...] Qu'un destin différent entraîne et qu'on ne retrouve jamais". Elle va perturber la vie d'un jeune homme, qui fout d'elle va changer l'heure de toutes les horloges qu'il croise afin de les mettre à l'heure de Paris, lieu où se trouve sa passante qu'il aimerait tant retrouver. Le sujet de départ me touche beaucoup, même ...
Lire plus
stebbins
426 abonnés
1 747 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 30 mai 2011
Chez Tsai Ming-Liang le cadre étaye tout. Exclusivement fixes et dilatés, les plans du cinéaste sont comme de petits monuments de mise en scène à part entière. A partir d'un semblant de romance amenée de manière timide, à peine esquissée, Tsai Ming-Liang suit le parcours de ses deux personnages qu'il va séparer dès les vingt premières minutes de son long métrage. Et Là-bas Quelle heure est-il ? est construit tel un improbable ...
Lire plus
Un visiteur
3,5
Publiée le 16 août 2010
Un film épuré, fantomatique, empreint d'une beauté plastique indiscutable et à la confluence de Duras et de Ozu. Un joyau cinématographique par l'un des réalisateurs les plus importants de ses dix dernières années.